Sortie Montesquiou le 18/02/2020

Mardi 18 : Sortie délocalisée.

Un rendez-vous de dernière minute et un malentendu ont empêché Claude F et Karin de participer à cette première sortie délocalisée. On ne retrouve donc que les deux compères, Dédé et Jean-Michel, pour découvrir le circuit proposé par notre expert des Rouges. Sur ses conseils, arrêt de la voiture en haut du village de Montesquiou (bien vu, une côte en moins !), préparation des vélos et c’est parti à 13 h 31 précisément. Cela commence par une longue descente, génial ce circuit. Après une côte, nouvelle descente sur l’Isle de Nöé et c’est le début d’une promenade très agréable sur la rive gauche de la BaÏse sur un petit chemin parfois un peu cabossé. Un automobiliste nous rattrape pour nous donner la pompe de Dédé, victime de ces accidents de terrain, puis fait demi-tour. Il existe encore des gens sympathiques…

Arrivés à Saint Jean Poutge, les deux compères retrouvent la « civilisation » et les camions de la N 124 pour une centaine de mètres, avant de reprendre leur balade champêtre, cette fois sur la rive droite de la Baîse. Le cadre est tout aussi sympathique, le relief un peu plus accidenté et aucun véhicule ne dérange les deux cyclos, seuls quelques chiens agrémentent le parcours. A partir du km 30, la D 939 avec vent dans le dos permet à la moyenne de grimper allègrement, et ça dure, et ça dure, tant et si bien qu’à Mouchès, le nez dans le guidon, quelques libertés sont prises avec le parcours prévu (tout à fait involontairement). Un petit tour à Mirande et c’est reparti pour Montesquiou, mais maintenant ça monte, et ça monte encore, pas très dur mais longtemps, et après ça monte à nouveau… Après un peu plus de 60 km et 2 h 40, la pancarte annonçant le village apparaît au détour d’un virage. C’est fini.

Merci au traceur du circuit, le parcours était superbe (dommage qu’il n’ait pas pu le faire, même s’il le connaissait). On attend déjà avec impatience la sortie délocalisée du mois prochain, en espérant un nombre de participants plus important et un temps aussi clément. Attention, pour les illustrations, Jean-Michel  cherche sa boite de crayons de couleurs et il s’y met ( son portable refuse de prendre des  photos. ).