Ce matin de fête nationale, huit courageux se sont levés tôt , très tôt ( n’est-ce pas Sylvie) afin d’aller randonner du côté d’Eugénie. Ils méritent d’être cités: Christelle, Colette, Sylvie, Coco de Belloc, Dédé, Jean Pierre le jeune, Jean-Michel et Coco votre chroniqueur du jour.
Après une répartition éclair dans les voitures, nous partons dès 7h40 pour cette belle cité thermale. Une inscription rondement menée, un café pour les moins réveillés et nous partons à la fraîche. Dès le départ, les conversations vont bon train et cela entraîne une allure fort agréable. Après 30 km de routes parfaitement asphaltées, nous atteignons le ravitaillement de Samadet. Bien entendu, nous y faisons honneur. Là, nous retrouvons nos amis de Madiran vêtus de leur splendide nouvelle tenue. Hélas, nous assistons avec regret à la crevaison du vélo à l’arrêt de leur meneur. Eh oui, cette tenue est belle mais pas anti-crevaison!Après ce bon ravito, le groupe se disloque. Nos filles choisissent le petit parcours qui leur semble sûrement plus ombragé et certainement plus court. Les hommes, nous partons finalement pour le grand.
En haut de Samadet, nous retrouvons nos amis Jeanine et Charles de Soumoulou. Nous profitons honteusement mais honnêtement de la roue de Charles pendant un bon moment. Lors d’une montée, nous perdons Charles de vue. Nous nous dispersons mais les uns attendent les autres et les autres attendent les uns. A Garlin, certaines jambes se durcissent. Après Geaune, nous attaquons ( sans haine ni violence pour les uns, avec hargne pour les autres ) la côte de Sorbets et à son sommet, nous dévalons sur Eugénie.
Peu avant midi, nous atteignons l’arrivée. Les filles nous attendent toujours aussi fraîches et pimpantes. Une bonne bière offerte par notre Jean-Pierre et nous rentrons.
Bilan, une sortie bien sympathique qui nous a permis de rouler dans une campagne fort agréable à la vue et sur des routes d’un confort à faire rêver tous les Gersois habitués à des revêtements plus rudes.