archives 2020

2020

Attention, un peu de lecture pour Noël, Claude F a mis en ligne le CR de son Dédécaudax-Aspin de Noël à la rubrique « Sorties ext… ».

DECEMBRE

26 décembre: Ils ( pas tous) pédalent toujours! 

Nous partîmes à 9

Mais après tant d’efforts

Nous n’étions plus que 5

En arrivant au port !

Oui, 9 courageux ont répondu à l’invitation, presque tous décidés à éliminer les excès des derniers repas. Direction Saint-Aunix et Tieste avant de descendre sur la route de Maubourguet. Premier problème: Gérard qui a bien mangé et bien bu avant de venir n’arrive pas à digérer cette première difficulté, le groupe  explose et la descente de Tieste se fait par 3 chemins différents.(C’est le danger lorsque la feuille de route n’est pas distribuée aux participants, qui a organisé cette sortie ?) Gérard bifurque vers le nord, à son rythme et sur le plat.

La suite mène nos 8 rescapés à Estirac puis vers Rabastens, mais une deuxième défection se produit: à Barbachen, Olivier choisit lui aussi de tourner et de prendre le chemin du retour tandis que Serge a des soucis avec son boyau arrière. De Rabastens à Maubourguet, le vent hostile commence à user les troupes, et après Estirac, Coco et Josiane choisissent de ne pas continuer sur cette longue ligne droite trop exposée et d’emprunter des passages plus abrités. La suite se fait à 5 puis 4, Serge craignant d’être définitivement trahi par son matériel rentre directement alors que les irréductibles reviennent par Préchac: l’allure monte très sensiblement et à l’entrée de Plaisance les 3 hommes des côteaux et le Champenois de service retrouvent Serge dont le boyau a mieux tenu que prévu. Un peu plus de 66 km, on a brûlé des calories, on va pouvoir se remettre à table pour le réveillon !

Petit bilan de l’activité des uns et des autres signé par notre Président préféré

En ces périodes de fêtes, ça roule de façon plus ou moins dispersée, mais ça roule. Depuis le 16 décembre, on signale des sorties à 2, 3, 4, 5, ou même en solitaire, sous la pluie ou en plein soleil (comment font-ils ?), avec ou sans vent, le matin ou l’après-midi. Bref, l’USP est en pleine santé. Sans oublier pour autant les fêtes puisque certains départs sont précédés de commandes d’huîtres pour le réveillon, et que les sorties sont en grande partie consacrées à parler nourriture et menus alléchants.

La saison du renouvellement des licences est aussi bien lancée puisque 12 d’entre nous ont déjà resignés et qu’un ancien est revenu après quelques années d’interruption. Pour les autres, ce n’est qu’une question de temps malgré certaines inquiétudes sur la tenue des randonnées en 2021. La FFCT est consciente de la bonne santé de l’USP et nous a octroyé une aide exceptionnelle de 44,88 €, de quoi acheter recruter encore quelques célébrités !

Une sortie est prévue samedi 26 à 14 H pour éliminer les excès de Noël et profiter de l’air frais.

Mercredi 23 décembre

Une précision, je suis sorti seul ce matin pour des raisons familiales, je n’ai pas  boudé  la « sortie club » de cet après-midi. J’ai fait un parcours que je qualifierai de «  Route des vignobles » : les Rouges, Cahuzac, Riscle, St Mont, en haut de la côte►vers Maumusson, tout droit vers le carrefour D22 et là encore tout droit sur la « Route des vignes » , Madiran, Lascazères, Labatut, Jû-Belloc et retour aux Rouges. J’ai donc fait 51 km à une allure écologique ( mode économie d’énergie ) avec quelques arrêts pour prendre des photos pour la famille et d’autres que vous verrez ci-dessous. La météorologie est fort sympathique : température ni trop chaude ni trop froide et les paysages sont vraiment magnifiques avec en fond les Pyrénées. Le bruit des sécateurs pneumatiques des vignerons au travail m’a accompagné assez souvent. Eh oui, le bon vin se prépare à l’avance ! Ce parcours qui  ne comportait que deux côtes et seulement suffisait amplement pour mes vieilles jambes encore un peu fatiguées par ma dernière sortie à l’Aspin. Les commentaires des photos qui s’affichent lorsque vous pointez sur l’image sont destinés aux pauvres licenciés « non-locaux » afin qu’ils puissent parfaire leur culture générale. Je ne sais pas si en Champagne la taille s’effectue ainsi. Je pense que je ne vais pas tarder à en être informé!

Jeudi 17 décembre   :  Notre randonneur fou a réalisé  son 200 km mensuel  en allant faire son « Aspin de Noël ». Vous pourrez bientôt lire son compte-rendu à la rubrique habituelle si vous êtes bien sage.

Mercredi 16 décembre : L’USP est heureuse de vous annoncer la reprise de son école de cyclotourisme.

Ce mercredi , 5 jeunes ont participé à la première séance, parcourant 44 km sans aucune difficulté, sur les routes au sud de Plaisance. La moyenne d’âge de ces galopins ( 7 ans et 1/2) laisse augurer des jours meilleurs pour notre club. Et le phénomène semble général, puisqu’ils ont pu échanger quelques mots au carrefour de Préchac avec leurs 5 collègues de Riscle qui s’en retournaient dans leurs foyers. La moyenne d’âge était identique. Le cyclotourisme a de beaux jours devant lui ! Petit correctif: il ne fallait pas lire 7 ans 1/2 mais 75 ans, juste une erreur de virgule…Nous avons eu un peu moins chaud que sur nos home trainer ou vélos d’appartement mais c’est bien agréable de pouvoir être dehors et d’avoir de la compagnie. J’espère que vous allez tous bien et que vous préparez activement les fêtes.

Mardi 15 décembre : Les randonneurs des Rouges de sortie

Nos aventuriers , profitant de l’autorisation gouvernementale , sont partis , cette fois , à la découverte de contrées plus lointaines voire même pour certaines hostiles. Fini le rayon des 20 km donc direction Aire sur Adour en passant par les Barthères, Riscle, Tarsac, St Germé, à proximité de Geé-Rivière,  Barcelonne ( du Gers) et Aire. Pour le pique-nique, sur un banc près de l’Adour , ce ne sera pas pour cette fois car les berges sont boueuses et tous les bancs sont mouillés. Comme dit le proverbe indo-pakistanais  « Banc mouillé entraîne c.. pas sec »  donc ils vont  manger ailleurs. Ils  traversent le pont et obliquent à droite vers un lieu tranquille où ils  pique-niquent en observant ce beau fleuve coulé. Rassasiés, ils repartent vers chez eux par la piste cyclable. Ils  passent ensuite  par Barcelonne, le bas d’Arblade , de Caumont et de Maulichères. Ils sont  accompagnés un bon moment par un jeune chiot fort aimable. Notre randonneur s’arrête et utilise le peu de pédagogie qu’il lui  reste de sa carrière d’instit pour convaincre ce gentil toutou qu’il risque de s’égarer et devrait rentrer chez lui. Le petit animal s’arrête.  Notre ancien pédagogue en profite pour filer. Tout se termine bien car il voit une voiture stopper à côté  de l’animal et ce dernier saute dans le véhicule. Tout est bien ainsi. Nos cyclos montent vers Sarragachies, profitent bien du paysage sur la crête vers Termes avant de retourner dans leur paisible quartier.

3 Décembre: Allez c’est reparti! Les randonneurs des Rouges partent faire leur petite balade règlementaire. Bien sûr, le paysage est connu mais il a pris les couleurs magnifiques de l’automne. Cette promenade leur a permis de se rendre à Juillac puis de grimper sur la crête par la côte du Domaine de Pages. Ils ont alors aperçu de belles volées de palombes et la route de crête leur a offert de magnifiques panoramas. Après un passage mouvementé à Lasserade en raison d’une « attaque » canine heureusement sans conséquences. ( Il serait bien que les propriétaires de chiens ferment leur portail, il y en avait un mais grand ouvert. Le parc de cette « maison » est de plus largement assez étendu pour que ces gentils toutous au physique impressionnant ), nos modestes pédaleurs sont redescendus dans la plaine par le célèbre « Courderot ». La fin du parcours leur a permis de traverser les magnifiques villages de Tasque et Galiax.

Au fait , pour avoir la légende, passer le curseur sur la photo! 

1er décembre  : Les randonneuses sont sorties faire leur petit tour règlementaire. Elles ont eu la chance d’apercevoir plusieurs chevreuils dans la campagne environnante. Cette sortie avec une seule  1/2 côte n’a pas trop mis leurs divers mécanismes à contribution. La grisaille leur a permis d’essayer leur éclairage, tout est ok. Le randonneur fou en a profité pour vérifier une étude scientifique. Il  aperçu 3 chevreuils dans son quartier de Tasque ( 32)  qui en s’enfuyant lui ont montré leur derrière blanc et deux autres animaux de cette espèce vers Lascazères ( 65)  qui lui ont aussi fait voir leur blanc derrière, il en a conclu que le théorie que énonce que « les chevreuils ont bien le derrière blanc quand ils ont peur  » est vrai puisque malgré le changement de département , ce phénomène s’est avéré exact. N’hésitez pas pas à lui faire part de vos remarques car il risque d’entreprendre une thèse sur ce sujet et toute aide sera la bienvenue.

NOVEMBRE 

28 NOVEMBRE : LA REPRISE!

Profitant des dernières mesures gouvernementales , nous sommes enfin ressorties! Certes, nous ne sommes pas allées très loin afin de respecter le fameux rayon ( ce n’est pas de l’humour cela) et la plage ( sans sable) de 3 heures. Nous avons tout de même eu le plaisir de prendre l’air et de faire balader nos propriétaires. Nous avons opté pour un parcours alliant plaine et route de crêtes avec deux petites montées. Les palombes volaient dans le ciel bleu et les chevreuils détalaient dans les champs. Notre randonneur fou a même pu apercevoir un écureuil plus vif et alerte que lui. Nous avons été de retour dans notre garage un peu avant l’heure réglementaire , nous avions 44 km au compteur.  Pour une fois, nos pilotes ont respecté leur monture.

Nous sommes confinés par décision gouvernementale.
Patience et prenez soin de vous , de vos proches et de tous les autres.
A bientôt

OCTOBRE

Semaine du 25 au 31 octobre

Jeudi 29 :  A deux, moins de risque d’en perdre un en route, mais cela n’empêche pas les mésaventures.

Devant l’annonce d’un nouveau confinement, Dédé et Jean-Michel se paient le luxe d’une dernière sortie en plein air. Direction Vic Fezensac par Bassoues, mais dès le sommet de la côte de la Vierge, ils rencontrent Jean-Jacques et c’est le début d’une longue discussion. Un peu de retard donc, mais la route est bonne, l’allure assez vive et le vent absent. L’heure tournant plus vite que prévu, on bifurque vers Belmont, puis Dédé propose de passer par le Bois de Mazous et le château de Bats. On va rentrer vers 12 h 10, juste à temps pour prendre des cailles rôties sur le marché, sauf que Dédé prend un trou dans la descente de Lupiac: crevaison. Après réparation, on remonte sur le vélo pour… 200 m et la roue est à nouveau à plat ! Tandis que l’un appelle sa moitié à la rescousse, l’autre rentre le plus vite possible pour ne pas faire attendre le rôtisseur qui, averti, a promis de rester le temps qu’il faudra. Encore une sortie mouvementée, il est temps de ranger les vélos et de rester sur le home trainer ou le vélo d’appartement !

PS: les cailles étaient cuites à point. Dédé ne devrait-il pas vérifier l’état de ses pneus?

Dimanche 25: Des hommes étourdis voire  peu « galants ». Heureusement qu’on les connaît bien et que l’on sait tous  que lePREMIER qualificatif est le SEUL VALABLE.

4 participants seulement, Christel qui bénéficie d’un week-end libre, Michel qui est privé de sa partenaire habituelle et  a proposé à Dédé de s’initier au tandem et Jean-Michel venu surveiller ce petit monde. Jako et Olivier sont passés pour les encourager et nos 4 vaillants partent pour Cannet, Riscle et après on verra. Pourquoi pas Viella dit Dédé ? Et ces imprécisions sont la cause du couac du jour: tandis que les 3 garçons attendent sur la route de Balembitz, Christel n’arrive pas.  Après la descente jusqu’à la route de Madiran  à Riscle, coup de fil pour savoir où est passée: vous êtes sur la messagerie de… Séance entre 35 et 40 à l’heure pour la rattraper avant Riscle, mais toujours personne en vue. Deuxième coup de fil mais c’est toujours la messagerie… A Saint-Germé, la sonnerie retentit, SMS disant: Bonjour, je suis la fille de Christel, maman est partie sans son téléphone. Les 3 compères poursuivent leur route pour constater à l’arrivée que la voiture de la « perdue » n’est plus là, et un échange d’appels permet de connaître le fin mot de l’histoire: ne voyant pas ses compagnons, Christel a grimpé la côte de Maumusson vers Viella, a questionné des chasseurs qui lui ont dit n’avoir vu aucun cycliste, et est donc rentrée à Plaisance.

Réussir à perdre 25 % des effectifs, il faut le faire… Dédé a trouvé que la selle du tandem est un peu dure à son goût.

Semaine du 18 au 24 octobre

Mercredi 21 octobre : Les deux  habitués se retrouvent pour un petit tour sur des routes un peu moins empruntées ces derniers temps: montée au domaine de la Rose (aucun ravitaillement, on continue, le raidillon est toujours là), poursuite sur la crête jusqu’à Laveraët, retour sur Plaisance avant de rejoindre Coutens (la côte y est toujours), Beaumarchès et nouvelle crête jusqu’à Courderot, Tasque et Préchac. Bonne balade d’une soixantaine de km par beau temps, avec une vue superbe en dehors des Pyrénées qui sont restées dans les nuages. Nous espérons avoir un peu de compagnie ce week-end. Votre chroniqueur habituel remercie le participant-rapporteur régulier des aventures de ce duo « infernal ». Il félicite les deux irréductibles pédaleurs qui sont sur leur vélo si régulièrement et n’hésitent pas à tititiller quelques côtes « célèbres » dans notre petit coin du Gers.

Semaine du 11 au 17 octobre

 Samedi 17: sortie « montagne ». 

Départ un peu plus précoce que prévu, l’Etape des Pyrénées nous fournissant le VAE à 8 h 30. A notre arrivée, tout est prêt et à la sortie du magasin, les 11 participants se retrouvent sur le parking, y compris Claude dont la venue était incertaine et dont la présence fait plaisir à tout le monde. 2 accompagnateurs et 9 cyclos, la parité est presque respectée mais comme il n’y a pas de 1/2 portion à l’USP, on s’en rapproche au mieux: Christelle, Maryse, Muriel et Sylvie pour les féminines, Claude, Dédé, Jacques, Jean-Michel et Michel pour les messieurs. Après avoir préparé le matériel et dégusté le café et les petits gâteaux apportés gentiment par Nelly, posé pour notre photographe attitré Vincent, le groupe est prêt à partir dès 9 h soit 30 mn avant le départ prévu.

Il valait mieux d’ailleurs, car dès le 2ème km, les choses se gâtent: Boô-Silhen est un village perché et si la montée permet de se réchauffer (3° seulement), elle coupe les jambes de certaines, à tel point que Dédé décide de crever pour permettre une petite pause bienvenue. Tandis qu’il répare sous le regard mi-narquois, mi-admiratif, mi-moqueur (oui, ça fait 3 moitiés, et alors ? on était nombreux), une voix se fait entendre: il est où Claude?

Après des essais infructueux, l’un appelle, l’autre n’entend rien, quand le 2 ème appelle à son tour, le premier envoie un SMS tandis que l’autre laisse un message… le contact finit par s’établir et rendez-vous est donné à Lugagnan. Le groupe au complet entame alors la montée vers le col de Lingous, chacun à son rythme, on s’attend en haut.

Là, 2ème contre-temps: 2 dames manquent à l’appel. Contact établi, nous sommes sur la D7 et elles aussi, les retrouvailles sont donc une affaire de minutes. Le temps passant, l’inquiétude monte d’autant que les vautours commencent à décrire des cercles au dessus de nos têtes. Nelly et Vincent partent à la recherche des 2 fugueuses et les autres redescendent sur 2 km, jusqu’à une intersection qui est à l’origine de l’égarement: il n’y a pas une mais deux D7, l’une qui monte vers Gazost et l’autre qui va vers Neuilh. On reprend la route du col de Lingous où Claude nous prouve que malgré son âge avancé, il n’a pas perdu ses réflexes d’excellent pédagogue: profitant de l’arrêt, il a ouvert un atelier mécanique pour expliquer à Sylvie, démonstration à l’appui, comment réparer une crevaison.

Direction Arrodets où le groupe se sépare: les dames se restaurent tandis que les plus en jambes vont jusqu’à la Croix Blanche pour admirer le paysage.

Muriel a choisi de suivre son homme sur le tandem, mais avait-elle le choix ? Les retrouvailles se font à Neuilh et c’est la longue descente vers Pouzac, Bagnères puis le Haut de la Côte pour un dernier regroupement avant de rejoindre Orignac. Excellent repas, cuisine familiale simple mais bonne et copieuse, service agréable et souriant, prix très raisonnable et un voisin de l’auberge a accepté de garder nos vélos chez lui: Vincent lui offre une bouteille de Colombelle en souvenir du passage des Plaisantins. Ce village d’Orignac gagne à être connu.

Le retour est nettement moins mouvementé, chaque changement de direction et chaque sommet de côte donnent lieu à un regroupement, Nelly et Vincent nous attendent régulièrement pour vérifier qu’on n’a perdu personne et prendre des photos qui agrémenteront ce compte-rendu.

La fin de parcours vers Argelès-Gazost se fait par la voie verte des gaves, sauf pour Dédé, accompagné de Claude, le premier nommé faisant une allergie aux pistes cyclables, allez savoir pourquoi. Avant 16 h 30 tout le monde est arrivé à bon port, on range les vélos, on échange nos impressions en dégustant le bourret et le jus de raisin apportés par Vincent, et on repart pour Plaisance. Un grand merci à tous les participants qui ont pris avec le sourire les quelques incidents de la sortie, et un merci tout particulier à nos deux accompagnateurs Nelly et Vincent. Il est un peu tard dans l’année pour organiser une autre sortie, mais pour 2021, c’est promis !

L’arrivée de certains, il en manque mais ils sont arrivés aussi.

Merci Vincent, photographe amateur éclairé, pour tous ces clichés. Quelques photos de paysage en cadeau!

Jeudi 15: La sortie du mercredi ayant été annulée pour risque de pluie, Dédé a rameuté les troupes et retrouve Muriel, Michel et Jean-Mi, déjà présents dimanche, pour un dernier entraînement avant l’épisode pyrénéen. Il conduit son petit monde sur ses routes favorites, Beaumarchès, Armous-et-Cau, Peyrusse, Saint-Pierre et Castelnavet avant de rentrer par Loussous-Débat et Lasserade. Sortie brève (55 km) mais avec un peu de dénivelé (plus de 600 m) avant d’affronter les contreforts pyrénéens.

Dimanche 11: 6 courageux au rendez-vous, tous en jambes, on décide donc de muscler le parcours pour la plus grande joie des deux frères descendus de leurs côteaux. Direction Madiran par château Perron et Crouseilles, avant de suivre Olivier sur la route de Moncaup. La montée de Sombrun est évitée « pour cette fois » (ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd) et on regagne Caussade. L’impression de ne pas en avoir fait assez pousse le groupe à faire un petit détour par Tieste avant de redescendre sur Saint-Aunix et Plaisance. 53 km dans la bonne humeur et un retour suffisamment tôt pour déguster l’apéro, mais une mauvaise nouvelle: Christian et Olivier ne seront vraisemblablement pas de la sortie au col de Lingous, dommage.

Semaine du 4 au 10 octobre

Jeudi 8:  9 h au lieu habituel : seuls les 2 compères ont répondu présent au rendez-vous des jeunes gens riches et beaux. Pourquoi ? Les autres ne se sentent-ils pas suffisamment jeunes ? Riches ? Beaux ? On ne va pas y penser toute la journée, on va où ? Saint-Sever et la côte de Sénac, ça te va ? C’est donc parti, à un rythme modéré parce que pour se raconter tout ce qu’on a fait depuis une semaine, il vaut mieux rouler de front. On est vite à Saint-Sever et la seule difficulté du parcours se profile. On la connaît mieux dans l’autre sens mais ce n’est pas mal non plus. Après le sommet, comme les sujets de conversation sont à peu près épuisés, on roule un peu plus vite, puis encore plus vite jusqu’au pied d’Auriébat où les jambes commencent à être douloureuses. Donc on finit sur un rythme plus raisonnable, contents d’avoir bouclé ces 76 km après une semaine de pluie, en espérant que le nouvel épisode humide prendra fin à temps pour la sortie montagne du 17.

SEPTEMBRE

Semaine du 27 septembre au 4 octobre

Mercredi 30: Les deux natifs de 1948 ont décidé de rouler une dernière fois avant l’arrivée de la mousson. Ayant consulté la brochure « Le Gers à vélo », le plus vieux propose de se lancer sur le circuit 3 SUR LES PAS DE D’ARTAGNAN, et c’est parti pour Cannet, Maumusson, Riscle, Sarragachies, Termes, Saint-Go et Aignan. N’ayant toujours pas vu la moindre trace de d’Artagnan, ils décident de revenir à Plaisance, d’autant que le plus jeune doit honorer le repas de fin de vendange. S’il dit avoir mal aux jambes et même un peu partout après sa semaine dans les vignes, lui seul s’en est rendu compte et il a fait souffrir son compagnon de route dans les quelques côtes qui émaillaient le parcours. Une jolie sortie tout de même avant une interruption plus ou moins prolongée selon la météo.

Mardi 29 octobre :  Lac de Miélan

Les deux passionnés des eaux tranquilles sont sortis en mode pique-nique. Ils sont tranquillement partis par Préchac, Plaisance, St Aunix, le chemin du Chalet, Ladevèze-Rivière, Juillac, Marciac avec un arrêt bidons, Tillac, bas de Miélan puis le haut et enfin le lac . Enfin presque, les entrées le long de la route principale sont barrées, fermées. Notre cyclo se souvient quand haut de la côte, il a aperçu un panneau « Lac de Miélan » indiquant la direction de Masseube mais , sûr de lui, il n’en a pas tenu compte. La cyclote, elle, n’a rien vu: la vitesse , l’effort? Bon, ils font demi-tour et ont le plaisir de remonter le célébre faux-plat. Pourquoi célèbre? Parce que c’est en le  montant que notre JMC a été osé avoir « l’Audax » de se faire prendre  en excès de vitesse! Revenons à nos randonneurs, ils finissent par tourner vers Masseube et réussissent à trouver le route du lac qui se transforme vite en chemin en terre battue puis en gravier et enfin en « caillasse ». Au point que nos aventuriers finissent à pieds. Enfin , ils aperçoivent le fabuleux lac si bien caché.

Nos deux comparses mangent tranquillement leur pique-nique sans se presser et dégustent le paysage. Puis il faut rentrer. Des ouvriers locaux leur indiquent un autre chemin pour repartir. Il est plus court , pas plus confortable mais il permet de ressortir face à la gendarmerie. Le retour décidé en mangeant se fait par la descente vers le bas de Laas, la montée vers Laas, la descente vers Tillac, la plaine Tillac-Tasque avec arrêt café à Marciac puis le chemin des Rouges et le chemin du Canal. Au bilan, une sortie fort agréable qui a permis à nos randonneurs de passer une bonne journée et de faire un peu de sport ( 92 km à l’allure aussi faible que le dénivelé).

Dimanche 27 : Les deux frères descendus des côteaux voient arriver successivement Jean-Michel, Olivier et Sylvie. Programme tranquille avec un minimum de difficultés. Maubourguet, Lafitole, casse-croûte avant Artagnan puis Vic, Larreule et Maubourguet. Tandis que les garçons décident de grimper une 1/2 côte de Lahitte, Sylvie opte pour la poursuite du terrain plat et tous se retrouvent au rond-point d’Estirac. Christian, qui n’a pas réussi à entraîner Dédé (fatigué par les vendanges), a rattrapé un « pro » qui venait de nous dépasser au pied de la côte et provoqué l’énervement dudit « pro ». Une double attaque a rappelé à l’ordre le fautif… dont acte, on ne jouera plus avec les spécialistes. Retour tout aussi tranquille que le départ pour une sortie de 66 km à 21 km/h de moyenne avec un dénivelé de 152 m, et le lendemain personne n’avait mal aux jambes. Etonnant, non ?

La sortie montagne du 17 octobre s’annonce bien, 11 ou 12 participants et des accompagnatrices. Pourvu que le coronavirus et la météo ne viennent pas gâcher nos projets !

Semaine du 20 au 26

Mercredi 23:  8 H 30, Maison des Associations. JE SUIS SEU-EUL ! DESESPERE-E ! Enfin, il ne faut pas exagérer, seul oui, mais il n’y a pas de quoi en faire un drame. Je pars donc en mode contre la montre, mais comme je n’ai ni planche, ni belles filles sous la main, ce sera Riscle, la crête de Balembitz, bercé par le doux chant (?) des pintades, Madiran et le côte de Villenavette, Maubourguet puis la côte d’Auriébat avant la Saubole et Marciac. Le retour sur Plaisance avec le vent dans le dos est un vrai plaisir. A 11 H 30, je pousse la porte de la maison, accueilli par un « DEJA ! »  Si j’aurais su, j’aurais roulé moins vite…

En fait, tu n’étais pas seul à rouler mon pauvre ami . Les nageurs du Chemin du Canal étaient eux aussi en balade. Cette fois, c’était pique-nique au lac du Houga qui est très grand , mais non, pas le pique-nique, le lac. Les abords étaient calmes et le soleil radieux. Pour l’aller , nous avons emprunté la voie Jacko juste après le silo de Lanne-Soubiran sans nous tromper. Le retour a été plus pittoresque car entre Vergognian et Arblade , nous avons hésité plusieurs fois en raison des fameux croisements muets. Heureusement que la féminine du couple sait  s’orienter à l’aide de la carte et du soleil. Nous sommes rentrés joyeux  à bon port .

Dimanche 20:  Arrivée la première, Maryse se demande si elle aura de la compagnie, les abords de la Maison des Associations étant désespérément vides. Mais Jean-Michel arrive, suivi de peu par Dédé. Le groupe est au complet: la fête du Saint-Mont, les invitations du samedi soir, les déplacements des collectionneurs et autres événements ont dispersé les troupes. Direction Saint-Justin votée à l’unanimité, et à la sortie de Plaisance, notre Dominique et son VAE rejoignent le groupe et acceptent le circuit proposé. Saint-Justin, puis la crête en direction du sud, mais comme c’est le Champenois qui mène le groupe, on se retrouve vite à Sérian faute d’avoir trouvé une descente confortable pour rejoindre la route de Ricourt. Pause casse-croûte à Sérian et tout le monde étant alerte, on affronte une côte courte mais sévère vers Troncens. C’est parti pour la crête mais brusquement la route descend: encore une erreur de trajet du guide défaillant qui n’a pas encore compris que les panneaux de signalisation sont facultatifs dans la région. On se retrouve au pied des ruines du château de Monlézun, et il faut virer à gauche vers Ricourt pour retrouver le chemin de la chapelle de Marciac: au sommet, la mémoire revient, on est sur le chemin de Hailla que Jean-Luc avait sélectionné lors d’une Randonnée des Vendanges. A la croisée des chemins, Maryse nous remercie pour le bizutage… même pas, c’est juste de l’incompétence ! Promesse lui est faite que c’était la dernière difficulté. Et effectivement on évite Lavaraët malgré la proposition malhonnête de Dédé et on rejoint Plaisance par la plaine. Petit arrêt à la cave pour saluer Nelly, Jako, Philippe et Yvan et c’est terminé pour une sortie agréable, par un temps idéal et sur des routes inhabituelles.

Semaine du  13 au 19 septembre

Lundi 14: Les » Rougeards » sont allés faire un tour de début de semaine alternant plaine et crête. Balade de 60 km fort agréable!

CaptureMercredi 16: 7 cyclos au rendez-vous habituel, c’est bien pour un jour de semaine. Personne ne se décidant à proposer le menu du jour, Jako prend l’initiative, ce sera Marciac et la route de Ricourt. 100 m après notre départ, nous voyons un ancien du club, Dominique THINEY à qui nous proposons de se joindre à nous et nous voilà donc 8 lancés en direction du sud. Nous admirons le splendide vélo de notre compagnon d’un jour, un magnifique VAE PINARELLO qui semble lui donner toute satisfaction. Après une bonne vingtaine de km Jako et Gérard nous quittent pour rentrer par la route de la chapelle à Marciac, plus que 6. Le reste de la troupe opte pour Betplan, mais comme c’est le Champenois égaré qui mène le groupe et qu’il confond Betbat et Malabat, on va dans la cour d’une ferme, puis sur un chemin pourri. Enervé, le guide perdu passe sa colère sur un pauvre roquet qui ne faisait que son travail de chien de garde et lui envoie une giclée dans les yeux. Pauvre bête dont la vocation a peut-être été stoppée par ce geste intempestif… Après cet intermède dans le Gers très profond, on finit par retrouver la civilisation et l’église de Malabat. La route est droite et bonne, les panneaux indicateurs sont bien présents et l’allure s’accélère. Au pied de Saint-Justin Dominique tourne à droite pour tester son VAE, plus que 5. A Ju-Belloc c’est Coco qui rentre à la maison, plus que 4. Heureusement, ces survivants de la sortie matinale se surveillent mutuellement et aucun ne parvient à s’éclipser. Ils arrivent groupés au Plaisantin et les adeptes du tandem et les deux septuagénaires renouent avec la tradition du pot d’après sortie, certaines traditions ont vraiment du bon !

Jeudi 17 : Les amateurs de lac continuent, ils sont allés pique-niquer à Soues.

Semaine du 6 au 12 septembre

Samedi 12   : Nouvelle sortie montagne vers Gavarnie

  Dès 9h , ils sont 12 de nos licenciés sur le parking de l’Etape Pyrénéenne à Argeles-Gazost. Il faut dire que les préparatifs de départ à Plaisance ont été rondement menés par notre expert-organisateur Jean-Michel. A peine le temps de se saluer dans le strict respect des consignes sanitaires que personnes, vélos, sac à dos…sont déjà en place dans les véhicules et la remorque. Ce n’est pas le cirque!

 Le déchargement, la préparation , la location d’un VAE par une licenciée ayant apprécié la possibilité d’un soutien aussi moral qu’électrique lors de son expérience du Soulor et qui a donc décidé de remettre le couvert est tout aussi rapide. Les mollets piaffent, les cuisses frétillent et les langues sont déliées.

 Notre chef donne les consignes que l’on peut résumer ainsi : On mange à Gavarnie, ça va un peu grimper mais seuls ceux qui arrivent en haut pourront se restaurer. Ancien enseignant, il ne peut s’empêcher de faire l’appel : Maryse, Muriel, Christel , Sylvie, les frangins Dédé et Christia ,Jack, Coco F, Michel, Olivier, Loulou qui nous escortera en voiture et bien sûr notre guide suprême. Les 12 sont présents ! Il faut noter que Muriel et Michel feront vélo commun car ils roulent en tandem.

 C’est parti, un court échauffement jusqu’à Pierrefitte-Nestalas et nous voilà au pied de la montée. Tout le monde se regroupe et il est convenu que chacun adopte son propre rythme mais que de temps en temps auront lieu des regroupements : les grimpeurs « confirmés » attendront les moins rapides afin de faire le point et quelques brefs commentaires. Loulou fera l’accordéon, sans en jouer ,et assurera le reportage photographique de cet évènement. Notre peloton est renforcé par Claire la sœur de Christelle.

 Tout se passe bien jusqu’à proximité de Luz St Sauveur. En effet , là le peloton se dirige vers le pont Napoléon. Notre randonneur est désorienté : pas de passage en ville= pas son café traditionnel dans son bar-pâtisserie habituel. Le connaissant personnellement, je peux vous dire que son moral a été atteint et qu’il s’est senti diminué jusqu’au sommet.

 Le passage redouté au-dessus de Gèdre n’arrive même pas à couper l’élan de notre peloton. Entre 12h et 12h 30, tout le monde arrive en haut. La faim décuple les moyens. Certains nous apprennent qu’ils n’ont même pas vu Loulou au bord de la route. Est-ce dû à leur vitesse ou bien aux gouttes de sueur dans leurs yeux, on ne le saura sans doute jamais. Quoique les photos seront peut-être révélatrices ? Le rassemblement a lieu près de la voiture de Loulou, chacun récupère ou se délaisse de divers équipements.

  Attention, c’est l’heure du repas , le moment essentiel de cette journée ! Les rues sont un peu encombrées mais nous arrivons au restaurant sans perdre personne. Là , excellent accueil par un serveur au débit impressionnant ! Nous formons deux tables de six. Claire est redescendue chez elle à Luz. Les commandes fusent : petit apéro, plats locaux : les frangins et nos tandemmistes n’hésitent pas à s’attaquer à de splendides morceaux de bœuf Toy, d’autres dégustent de savoureuses côtelettes d’agneau Toy …, un délicieux dessert que chacun choisit à sa guise et le café surtout un pour notre randonneur en manque.

 Remarque plaisantine adressée à mes amis randonneurs Toy, j’ai noté que dans votre contrée , l’usage de l’assiette n’est pas encore connu car nous avons mangé sur des ardoises. C’est vrai qu’il en manque sur certains toits.

 Ce délicieux repas dégusté, nous décidons de redescendre. Les Pagès nous quittent, Olivier, Co-Président de l’USP rugby, doit rejoindre ses troupes en stage d’oxygénation à Cauterets. Nous espérons qu’après avoir fait le plein de globules rouges ses joueurs voleront de victoire en victoire.

Les consignes sont rappelées : prudence et encore prudence avec regroupements occasionnels.

Vers 16 h, tout le monde arrive à bon port. Comme convenu, nous allons en vélo prendre le pot final. Notre Président-organisateur nous guide vers un bar. Son trajet nous permet de grimper un bon « raidar» au pourcentage bien plus important que ceux de la matinée. Il a parfois la tête ailleurs ou des idées bizarres. Enfin, les boissons au goût fortement Dédé nous permettent de nous remettre de cet ultime effort.

 Encore un effort et nous voilà au parking. Le rangement est un peu moins rapide que ce matin mais ça papote et peut-être que la fatigue est là pour certains. Les plus solides parlent d’aller au Soulor mais finalement ils renoncent pour ne pas vexer les autres. Tout est chargé , nous repartons vers Plaisance.

 Au final, une sortie fort agréable dans une ambiance aussi détendue que solidaire ! Le projet de refaire un tel type de balade en octobre est déjà en gestation.

Semaine du 31 août au 6 septembre

Dimanche 6 septembre: La sortie de ce jour a des petits airs de répétition générale puisque sur les 9 présents, 8 participeront à la sortie montagne de samedi prochain. Pourtant le parcours ne pousse pas à puiser dans les réserves et s’annonce tranquille: Plaisance-Maubourguet à l’initiative du guide du jour, qui passe la main à Olivier pour la suite et ce n’est pas plus accidenté jusqu’à la pause casse-croûte de Caixon. Comme il faut tout de même une côte au programme, c’est celle de Monségur qui fait l’affaire avant un classique suivi de la crête jusqu’à Lahitte et un final le long de la route de Bordeaux par le petit chemin. Pour se donner bonne conscience, la majorité emprunte la 1/2 côte de Castelnau, de quoi mériter le pot offert par Christian.

Beaucoup de bavardage comme d’habitude, mais parfois (toujours!) utile puisque les équipages pour samedi sont pratiquement constitués. Seuls les menus ne sont pas encore choisis, mais on a le temps de voir venir…

AOUT

Semaine du 24 au 30

Dimanche 30

Dimanche 30: Ce n’est pas la grande foule, seuls Olivier, Dédé et Jean-Michel sont présents. Direction Beaumarchès, Peyrusse-Grande et Belmont avant de rejoindre la route de Vic à Bassoues, puis le retour  sur Plaisance: un peu de portions vallonnées, du plat, et surtout beaucoup de bavardage. Dire du mal des absents pendant 74 km, est-ce bien raisonnable ? En tout cas, personne n’a protesté.

Mercredi 26 :

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Claude des Rouges est sorti. Il a pu voir que les vendanges étaient bien commencées du côté de Panjas et Laujuzan. Les machines à vendanger étaient au boulot de bonne heure. Il faut souhaiter aux viticulteurs du coin que la  grêle n’a pas fait trop de dégâts. Son parcours était assez vallonné au départ mais le fin plus facile. Etant parti avant le lever du soleil, il est rentré tôt pour savourer son rôle de papi d’Ezra.

 

Mardi 25: Olivier ayant prévenu qu’il ne pouvait pas rouler le mercredi, un appel est lancé pour l’accompagner mardi. Appel entendu puisque 6 cyclos sont là pour lui tenir compagnie. Comme c’est sa journée, c’est à lui de choisir le terrain de jeu. Et c’est parti Termes, Saint-Griède et Mormès avant de revenir par Laujuzan et Nogaro. Comme la répétition des bosses finit par user, on choisit le parcours le moins accidenté le long de la rivière (la Riberette ?) mais il faut tout de même regagner les hauts de Terme. A partir de là, le groupe éclate. Coco de Ju-Belloc doit filer pour être à l’heure au repas, les frères des côteaux ont quelques courses à faire à Plaisance et Christel (dont le coup de pédale est de plus en plus léger à chaque sortie), Philippe (qui digère difficilement le profil mal plat de ces routes gersoises), Olivier et Jean-Mi rentrent tranquillement à Plaisance. 74 km sur des routes vallonnées, c’est bien pour un jour de semaine, chacun se prépare déjà pour la sortie à Gavarnie et ses 40 km de faux-plat descendant… au retour.

Semaine du 17 au 23

Dimanche 23  : Le groupe est remarquablement homogène, au moins par l’âge puisque tous les participants sont nés en 1948. Enfin tous… les 3 présents en tout cas. Départ classique par Hères, Vidouze et Arriagosse, montée sur le plateau par la Coste de Buron (de quoi, buvons ? demande Dédé) et option plein sud et la route de Pau à Vic avec deux belles bosses. Reprise du classique avec la crête jusqu’à Lahitte et Maubourguet et la plaine. Jacques et Jean-Mi ont bien du mal à réfréner les ardeurs de Dédé qui, à chaque relais hausse la vitesse de 4 ou 5 km/h, mais ses deux comparses ramènent obstinément la cadence à 27-28 et c’est bien suffisant. Belle sortie de 76 km à 3 seulement mais les troupes sont dispersées en ces temps de vacances. On fera mieux la prochaine fois.

Aujourd’hui mercredi 19, seulement 3 candidats mais je crois que Sylvie avait invité à une sortie pacifique hier, d’où peut-être cette faible affluence. Les 3 présents se lancent dans un périple bien connu de notre spécialiste des côteaux béarnais: Garlin en passant par Viella et Portet à l’aller. Seulement la pâtisserie qui proposait des pains aux raisins (existe-t-il un mot gascon pour cette spécialité ?) est fermée. On se contentera donc de remplir les bidons parce que, même s’il n’est que 10 h 30, il fait déjà chaud. Le spécialiste de Garlin leur signale que l’ancienne pâtisserie tenue par un chef-cyclo est fermée mais que  ce charmant village offre d’autres commerces fort appétissants! Comme quoi « réfléchir » et « pédaler » en même temps n’est pas donné à tous! Christophe, qui avait attaqué les premières côtes tambour battant, semble n’apprécier que moyennement les environs de Castetpugon et cherche des lacets dans la montée vers Aydie. Alors qu’il fait de plus en plus chaud, ses deux compagnons de route le laissent terminer à son rythme la côte de Castelnau, ou plus exactement Dédé attend le Jean-Mi qui avait proposé ce circuit mais commence à en avoir plein les bottes. Très beau parcours à expérimenter dans l’autre sens pour éviter une descente périlleuse sur une route bien abimée et à faire quand les températures seront redevenues raisonnables.

Lundi 17 : Les randonneurs des Rouges sont allés admirer un autre lac; celui de Payolle. Ils sont partis tôt de Soues non sans avoir dégusté un café. Une approche tranquille jusqu’à Sainte Marie de Campan leur a permis d’atteindre Payolle sans fatigue excessive. Etant en avance sur l’heure de pique-niquer , ils ont continué vers la Hourquette mais ont sagement fait demi-tour au fameux virage en épingle si cher à leur vénéré Président ( pas Macron, Jean-Michel). Dès 13 h, ils dégustaient leur repas assis dans l’herbe face au lac et entouré d’un panorama splendide. Bien sûr, le retour Payolle- Soues fit bien remonter la moyenne malgré un arrêt café au wagon-pâtisserie près d’Ordizan. Claude ne résista pas au plaisir d’alourdir ses sacoches d’un bon gâteau local afin de le faire déguster à sa famille.

Semaine du 10 au 16

Dimanche 16 août: Décidément l’USP se porte plutôt bien depuis la fin du confinement. Nous étions encore 7 présents (dont 2 dames) pour la sortie dominicale, renforcés par Sébastien et son fils venus effectuer une sortie de récupération. Pas de longue distance, ni de côtes extravagantes, non plus que d’allure folle, mais une gentille sortie par Cahuzac, Balembitz (il faut bien monter un peu tout de même), Riscle, Saint-Germé et Saint-Mont. Le temps de se ravitailler et d’avoir une pensée pour Jean-Luc, et il faut se décider à repartir, mais par où ? Après un bref conciliabule, la côte de Saint-Mont est préférée à la route des Charmettes, et on revient sur Riscle puis le pied des coteaux avant de retrouver Izotges et Préchac. Une soixantaine de km qui ont permis de faire le tour des candidats à la sortie de Gavarnie: entre ceux qui étaient présents, ceux qui ont répondu au mail d’invitation et ceux qui ont été rencontrés par hasard à Plaisance, au moins une douzaine. Quand on vous dit que l’USP se porte bien ! 

Samedi 15 août: Une sortie facile offerte par les licenciés des Rouges.

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Sortie montagne du 12:

Moment d’inquiétude dans les voitures aux abords de Tarbes, la pluie commence à tomber et la météo consultée par Sylvie n’est guère optimiste pour la journée… Pourtant le ciel se dégage et le soleil fait même son apparition sur les Pyrénées. Les Plaisantins retrouvent Loulou et Olivier sur le parking et voient arriver Claude sur son vélo: parti à 5 h des Rouges, il a déjà 80 km à son actif. Seul le fournisseur de VAE a pris quelque retard mais tout le monde est en selle peu après 9 h 30, les horaires sont respectés.

Direction Pierrefitte pour ne pas attaquer trop vite l’escalade, mais là il faut commencer à monter. Dédé, Jacques et Jean-Michel ont du mal à rivaliser avec Sylvie qui impressionne avec son VAE et semble ravie de suivre sans s’épuiser le rythme des machos. Après 5 ou 6 pauses pour permettre au groupe de se reconstituer et de s’assurer que la courageuse Christel prend bien la même route que nous, un arrêt un peu plus long permet de reprendre des forces et de se ravitailler, l’occasion pour Claude de voir Jean-Pierre, son ami des longues distances, qui descend du Soulor… en voiture ! Il ne reste plus qu’à avaler les derniers kilomètres, les plus durs, et là chacun pour soi, donc plus de peloton mais des individus qui se battent avec leur machine et avec la route alors que la température monte.. Entre 12 h 20 et 12 h 50 les arrivées se succèdent et il est temps de passer à table.

Un peu d’attente pour passer commande et ensuite pour être servis, mais comme nous avons beaucoup de choses à nous dire, les conversations vont bon train et le temps défile. Les côtes d’agneau sont bonnes, les desserts et le café aussi mais il est déjà 15 h et il faut repartir. Descente par Ferrières avec une petite frayeur à l’entrée du village où le marchand de gravillons est passé, puis superbe route le long de la rivière. A proximité d’Asson, la batterie du VAE montre des signes de faiblesse et quelques kilomètres plus loin, il faut recourir au plan B: le VAE est hissé sur le porte-vélo de Nelly. A Bétharram, irrésistiblement attiré par le nom qu’il lit sur un panneau « Montaut », Claude nous quitte pour rejoindre sa douce et ainsi finir son 200 et quelques  kilomètres. Bon courage à lui pour les 4 h de route à venir. Après la traversée de Lourdes et la voie verte, le groupe des 5 finit en miettes, chacun au rythme qu’il peut.

Au final, une superbe journée pour les 7 cyclos qui remercient Loulou et Nelly de les avoir suivis (ou devancés), encouragés et photographiés tout au long du parcours. Merci aussi au patron des Marmottes qui a oublié de facturer les desserts et félicitations à Christel qui a avalé ces 92 km quelque peu indigestes. Il ne reste plus qu’à se préparer à la prochaine sortie montagne qui devrait avoir lieu le samedi 12 septembre d’Argelès à Gavarnie et retour et réunir davantage de participants.

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Semaine du 3 au 9 Août

Dimanche 9 Août : Aux 8 Plaisantins sont venus s’ajouter Jean-François de Blois et Jean-Pierre de Mont-de-Marsan (et Plaisance). Pour faire plaisir aux 3 dames et aux 7 messieurs, Jako annonce un circuit avec une seule côte, pas trop dure… Direction Lascazères par la petite route parallèle à la route de Tarbes et montée vers Moncaup (celle qui est indiquée par un fer à cheval), c’est une découverte pour la quasi totalité des participants. On continue jusqu’au Château avant de filer vers le sud en longeant le lac de Bassillon, le parcours n’est pas aussi plat qu’annoncé selon certain(e)s et la chaleur commence à se faire sentir. Retour sans problème  de Vidouze jusqu’au pied de la côte de Castelnau, que les plus courageux (ou ceux qui sont en manque) escaladent à moitié et tout le monde se retrouve près de la maison des chameaux. Le Jako farceur a passé son temps à suggérer aux autres de tourner à gauche à chaque intersection, sans le moindre succès.

La dernière ligne droite se fait à allure libre, 3 se lâchent, un navigue entre les deux groupes et les 6 autres rentrent tranquillement, mais au Plaisantin le peloton est regroupé pour une double tournée, moment agréable qui nous permet de renouer avec une tradition oubliée depuis le confinement et que tous ont semblé savourer puisque l’instant s’est prolongé…

Vendredi 7 :   Dès 7h15, le petit randonneur, aussi  fou que moustachu, pris d’une envie folle de pédaler est sur sa randonneuse. Sa gentille partenaire a décidé de l’accompagner en partie dans sa folie. Ils partent donc tous deux à la fraîche en direction de Riscle mais préfèrent bifurquer à droite à Lacaussade pour bénéficier de la tranquillité des petites routes. Ils enchaînent vers le bas de Caumont et St Germé. Là , madame rentre sagement chez elle où l’attendent Ezra qui doit déjà avoir  réveillé  ses parents. Monsieur décide de continuer vers Barcelonne . Là se pose l’éternelle question  » où aller ». Il réfléchit peu de temps car il lui faut être prudent et éviter un réchauffement cérébral . Donc, il hésite entre Garlin ou Lembeye et finalement opte pour une solution simple: aller à Lembeye en passant par Garlin. Aussitôt décidé aussitôt mis en pratique, il file donc vers le bas d’Aurensan et prend à droite vers Projan. Un peu de montée et le voilà qui prend la direction de Garlin à gauche. Jusqu’à Garlin, il progresse tranquille dans un bel environnement rural. Un chien tente bien de goûter ses mollets velus mais l’animal bat en retraite sous l’effet de la vue de cette toison velue, des  « demandes » de sa proie ou des appels timides de sa « gentille » propriétaire. Enfin, la montée pour Garlin  arrive, le revêtement est parfait et facilite les efforts de notre survivant. Là, il prend un bon café allongé et un grand verre d’eau ( et rien d’autre). Malgré la température qui commence à monter, il reprend sa monture et file vers Castelpugon -Diusse – Conchez – Cadillon puis Lembeye , un profil assez ardu avec une côte à 15% , une ua moins à 10 et ensuite un long faux plat montant agrémenté de petits  » coups de cul ». A Lembeye, un bon plein d’eau mode douche  à la caserne des pompiers et il faut repartir car l’heure avance et la chaleur augmente. Heureusement, la fin du parcours est aisée: descente de Bassillon-Vauzé puis plaine jusqu’à l’arrivée. Tout se passe bien avec un retour à l’heure prêvue et un bon pousse-rapière aussi rafraîchissant que désaltérant. Au fait, l’après-midi, cela a été SIESTE.Capture GAR

Mercredi 5  : Les deux retraités habitués des sorties en semaine ont le plaisir d’accueillir deux vacanciers: Jean-François de Blois et Olivier qui vient de moins loin. Décision rapide: on part pour Lembeye. Les conversations vont bon train puisque la dernière sortie commune remonte à un certain temps. Après château Perron montée à Crouseilles puis Lembeye, déjà 3 côtes. Le retour n’étant pas envisageable aussi tôt, Olivier propose de continuer sur le plateau vers le sud, jusqu’à un panneau Vidouze, quartier Arriagosse: nous découvrons une belle petite route ombragée qui nous donne envie de la faire dans l’autre sens lors d’une prochaine sortie.

Olivier toujours, qui veut s’entraîner dans l’optique du Soulor, propose d’en monter une petite dernière, ce sera Monségur, avant de filer sur Larreule et Maubourguet ou nous reprenons le chemin qui longe l’Echez, découvert le week-end dernier. La fin de parcours est plus classique mais au total c’est 78 km faits avant l’arrivée des grandes chaleurs.

A la lecture des comptes-rendus des uns et des autres, depuis le début du mois ce sont pas moins de 14 membres du club qui ont sorti le vélo. Ils ont bien fait car la fin de la semaine s’annonce plus rude.

Mardi 4 : Héhéhé ! Les tranquillous sont sortis et revenus ravis.

Après une visite de notre irremplaçable Jean-Michel venu superviser le départ et de Colette qui nous a fait l’agréable surprise de passer nous faire un petit coucou, voici un groupe composé de 7 personnes dont 4 filles (Belle performance !) parti sous la houlette de Maître Jacquot qui nous a concocté un parcours aux petits oignons.

Direction Riscle donc par les Barthères, petit détour par la route des bois, puis via Tarsac où une petite pause s’impose, le bas de Maulichères et Sarragachies pour un retour par Izotges et Galiax ce qui nous affiche au compteur 50 kms.

Ce périple nous a permis de retrouver notre Loulou qui a mené la cadence malgré ses craintes au départ et nous a gentiment offert un pot à l’arrivée sur une terrasse plaisantine.

Notre Jean-Pierre a fait quelques petites pointes. Serait-ce pour vérifier ses performances ou pour appliquer les consignes de distanciation ?

Philippe, également de la partie, nous a suscité quelques idées intéressantes côté organisation des sorties et a bien veillé à la sécurité de tous.

N’oublions pas Christelle déterminée à défier les sommets pyrénéens et Maryse toujours avec un bon coup de pédale bien régulier.

Ce petit groupe satisfait d’avoir pédalé à un rythme adapté (même si tous adorent leurs compères du dimanche bien entendu ! ) semble prêt à renouveler l’expérience.

Mardi 4 (bis ): Les Tranquillous des Rouges sont eux aussi sortis. Comme souvent, ils sont partis pique-niquer près d’un lac, aujourd’hui celui de Gabas ou Luquet. La licenciée des Rouges est allée saluer les Plaisantins puis est parti récupérer son époux vieillissant qui avait une séance chez le kiné. Finalement, ils se sont regroupés près de Labatut car le « de-travers », impatient , était parti à sa rencontre. Bien sûr, sur cette route bien gravillonnée, tout commence par une crevaison . Le pneu avant de monsieur est percé. La réparation s’avère rapide mais le réparateur se dit qu’il aurait mieux fait de prendre un autre café à Maubourguet et d’attendre . Bon, ce n’est pas grave ( n’est-ce pas grand Tom)! Nos deux compères ne modifient rien et se dirigent vers Vidouze par la côte de Lahitte-Toupière. Là, ils prennent la direction de Maure en passant par Arragiosse. Cette petite route est toujours aussi agréable. Arrivés à la GRANDE ROUTE, ils grimpent un peu puis prennent le plateau de Ger. Ils roulent tranquillement sur un revêtement bien régulier entre les maïs et les tournesols. Ils passent à Séron puis Gardères et parviennent au fameux lac de Gabas proche de Luquet. Quelques photos, une recherche rapide d’un coin à l’ombre et voilà nos compères qui s’installent pour déguster un pique-nique sorti des sacoches. Calmement, ils dégustent leur repas en profitant de la vue sur le lac paisible.

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Un peu de repos pour l’un , d’étirements pour l’autre et les voici qui redécollent. Le retour sera aussi rapide que facile: Aast , descente vers le bas de Montaner, montée vers Vic-Bigorre , plaine vers Larreule puis arrivée à Maubourguet.

Bilan, une belle balade , un lac de plus sous un soleil raisonnable, un bon pique-nique. Que demander de plus.

JUILLET

Semaine du 27 au 2 août

Dimanche 2 août

Encore 7 participants, les effectifs restent satisfaisants malgré les vacances. Philippe devant rentrer tôt pour cause de réception (quel fêtard celui-là !), le parcours sera réduit. Une 1/2 côte de Castelnau tout de même pour ne pas tomber dans la facilité, Hagedet (le bas, il ne faut pas exagérer), Caussade et Maubourguet par un chemin inédit dont on ne savait pas s’il menait quelque part. A Lareulle, Sylvie commençant à présenter des signes de fatigue à cause des sauvages qui l’accompagnaient, on reprend la direction de Plaisance, en appréciant au passage le nouvelle route: les gravillons étant en solde, la DDE n’a pas hésité à en étaler des tonnes entre Maubourguet et la limite du Gers…

A Préchac, dispersion générale: Sylvie et Philippe vers Plaisance, Olivier à Préchac pour admirer les chevaux de la course d’endurance, Christophe, Dédé, Jacques et Jean-Michel pour une séance de plat, à bonne allure jusqu’à Termes et un peu plus vite encore vers Plaisance: on n’entend plus une parole, tout le monde serre les dents et on perd Christophe ! Entre la cave et le centre ville, on prépare la sortie montagne et la répartition dans les voitures. Quant au menu proposé par le restaurant les Marmottes au Soulor, il semble convenir à tout le monde, il suffit maintenant d’aller jusqu’au sommet…

 Mercredi 29 :

    Notre papi-randonneur a profité d’une fenêtre météo pas trop chaude et d’un trou dans son emploi du temps « papinesque » pour effectuer son Dodécaudax  de juillet. Il a eu la surprise de croiser des membres du groupe du mercredi ( c’est cohérent un mercredi!). Il ne leur a fait qu’un petit coucou car il ne  les a identifiés qu’au dernier moment. Il faut dire que leur couleur dominante était le rouge et non le jaune.

Seuls 4 vénérables vieillards ont répondu à l’appel. A proximité de la Maison des Chameaux, ils croisent Claude qui regagne son domicile des Rouges: au vu de l’éclairage de sa machine et de son accoutrement de sapin de Noël, ils supposent qu’il a profité de la fraîcheur de la nuit pour réaliser son 200 km de juillet (le 29, il était temps…) et qu’il rentre à la maison pour boire un café avant d’effectuer une autre boucle. Pour les 4, direction Madiran par Château Perron puis montée sur Arrosès par la petite route dont l’état de dégrade d’année en année. Là le groupe se scinde en 2: Gérard et Jako rentrent à Plaisance alors que les moins vieux poursuivent vers Viella, la route d’Aire et la montée d’Aurensan avant de retrouver Saint-Mont et le bois de Riscle. Bonne allure surtout grâce à Dédé et bon entraînement aux côtes avant d’affronter les pentes du Soulor, mais ce sera une autre histoire…

Semaine du 20 au 26

Ce dimanche 26, pour récompenser Christel et Sylvie qui nous ont fait le plaisir de se joindre à nous, un programme sans difficulté majeure est proposé aux 6 participants. Gérard qui est venu nous saluer ne se laisse pas convaincre: il est tiré par son chien de traîneau et a roulé la veille avec Jako et Jean-Pierre, tandis que Dédé accompagnait Olivier sur les hauteurs de Saint-Justin à Malabat. Le concepteur du parcours ne s’est pas cassé les méninges: Hères et la route de Vidouze pendant 30 km puis demi-tour parce que Dédé devait rentrer à 11 h 30. Le demi-tour s’est fait entre Arriagosse et Sérée, avec une pensée pour Jean-Luc qui appréciait le Cami de Loubich escaladé plus d’une fois. Retour par Lascazères, Caussade et Préchac et le groupe est arrivé dans les temps, même pas fatigué mais décidé à rester au frais tout l’après-midi.

Toujours ce dimanche 26, le vieux Solitaire des Rouges , grincheux d’avoir appris que certains vont pédaler sue “ses” terrains de vélo a décidé de partir à la fraîche pour voir le niveau d’eau du lac de Lizet.

Il a suivi le même trajet que ces camarades du 22 du sauf entre le lac et Monclar car il a tenu à passer près de fermes qu’il connaissait. Cela a allongé un peu le parcours mais notre randonneur est, parfois, un peu nostalgique. A Marciac, il a pris son café allongé ( le café pas le pédaleur!) à la Péniche. Mesures d’hygiène parfaites, serveuse souriante, café excellent: une adresse à recommander! Notre pédaleur a eu le plaisir de discuter avec Michel le patron, ex- tenancier plaisantin et ex-président de l’USP RUGBY . Au final, une sortie fort agréable même si elle est un peu pentue et longue pour un dimanche matin.

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Depuis la levée du confinement, les deux compères septuagénaires avaient très envie d’aller faire un tour au lac du Lizet. Ce mercredi 22 juillet, ce parcours  fut proposé aux 6 présents: environ 70 km, des côtes à ne plus savoir qu’en faire, mais  la promesse d’une allure tranquille décida tout le monde à tenter l’expérience. Rythme tranquille sur la crête, détour pour éviter la côte avant Bassoues, mais après la Baradée les jambes commençaient à être lourdes et une pause à Montesquiou permit de se détendre, de se restaurer et à chacun de raconter ses exploits de jeunesse au volant d’une 2 CV, d’une Dauphine ou au guidon d’une mobylette. Direction le lac du Lizet, la petite route sur les rives, tout se passait relativement bien, mais la succession de petites relances finit par faire son œuvre de destruction. Malgré l’aide de Dédé, Gérard a trouvé la montée après Monclar pénible et a commencé à s’inquiéter de l’heure et du nombre de kilomètres nous séparant de Plaisance. Les « petits » mensonges destinés à le rassurer n’ont pas vraiment eu l’effet escompté, et la route étant toujours aussi mal plate, le petit groupe s’est séparé à Saint Christaud: 3 devant pour cause de rendez-vous en début d’après-midi à Tarbes, et les 3 autres au téléphone pour rassurer les épouses et leur annoncer un retour plus tardif que prévu. A Marciac, Gérard, victime de crampes a décidé d’appeler Maryse à la rescousse, pour finir l’expédition en voiture après une boisson rafraîchissante à la Péniche.

Résultat, après consultation des uns et des autres et prise de nouvelles: Coco de Ju-Belloc, Michel et Muriel à fond la caisse entre Marciac et Plaisance, Dédé qui pensait que les deux derniers avaient opté pour une autre route à fond la caisse aussi, et Jean-Michel après avoir laissé Gérard à à la Péniche rentrait le plus vite possible pour essayer de rejoindre Dédé. Tout le monde a fini par rentrer à bon port et Gérard a pu récupérer après une bonne douche et apprécier le repas en compagnie de son Maire de fils. Mais promesse lui est faite que la prochaine fois ce sera plat, plat et encore plat ! 

Semaine du 13 au 19

Samedi18 et Dimanche 19:

  Dimanche, pendant que certains se préparent à l’arrivée d’un nouveau venu dans la famille et révisent tous les gestes pour pouponner, d’autres n’hésitent pas à braver le froid (?) et le vent (?) pour continuer leur préparation en vue du retour des compétitions. Ils sont 7 à se lancer en direction du sud, 2 autres ont préféré un départ plus tardif. Comme le plat semble convenir à tout le monde (il ne faudrait pas tomber dans la facilité tout de même…), c’est parti pour Auriébat et Villecomtal, le faux plat montant sur la superbe route de Rabastens et la pause devant le foirail. Retour vers Artagnan, Liac et Maubourguet et les petits chemins qui permettent d’éviter la longue ligne droite qui sape le moral de certains. Le vent favorable suscite la bonne humeur du groupe qui entre à Plaisance peu avant midi.

Sachant que samedi les futurs papy et mamy ont roulé aussi sur ces routes du sud et ont réalisé une petite sortie matinale. Un départ à 7h15 leur a permis de rouler “ à la fraîche” et de rentrer bien avant la chaleur. Ils ont roulé jusqu’à Beccas puis sont revenus par le bas de St Justin. Ils ont effectué une sortie pour non-violents ( 65 km, dénivelé: 192 m) à une allure leur permettant d’apprécier la croissance du maïs et du tournesol sans prendre de douches intempestives. Ce sont 11 membres de l’USP qui ont sorti le vélo ce week-end, pas mal pour un club de 24. Peut-être plus si certains ont joué les cachottiers.

Pour cette sortie inhabituelle du 14 juillet, (traditionnellement l’USP participe à la randonnée d’Eugénie les Bains) ils sont 9 à avoir fait le déplacement, parmi lesquels Christel dont c’est le grand retour.

Le début du parcours est tranquille et emprunte les chemins peu fréquentés des Bartères, de Tarsac et Saint-Germé. La suite est un peu plus accidentée avec la côte de Saint-Mont, la crête jusqu’à Aydie avant d’apprécier la belle descente sur Madiran. Mais étant maintenant dans la vallée, il faut bien remonter: on a le choix entre la côte de Castelnau, celle de Château Perron ou celle de Villenavette; le temps de se décider (on n’est pas très rapide quand il s’agit de réfléchir…) les deux premières options sont dépassées. On grimpera donc la troisième en ayant une pensée pour Papy Jacky: « ça monte, mais la route est bonne ». Sauf que Christel et Philippe trouvent surtout que ça monte…

Le retour par Caussade et Hères se fait à un rythme modéré tout en tentant de mettre au point une sortie montagne en août, avec départ éventuel d’Argelès Gazost, location d’un VAE et ascension (s?) à déterminer. On en reparlera et peut-être dès dimanche prochain.

Semaine du 6 au 12

Dimanche 12 , c’est exactement un tiers des membres de l’USP qui a répondu à l’invitation à rouler, et sur les 8 présents 3 féminines. Pour les remercier de leur présence et pour ne pas imiter notre guide suprême, il est décidé non pas de multiplier les côtes mais de les éviter au maximum. Et c’est parti pour une longue série de routes plates par Maubourguet, Lafitole, Artagnan et Vic. Là, même si personne n’est fatigué, tout le monde s’arrête pour la pause casse-croûte au cœur de la ville. Et c’est reparti sur le plat par Larreule quand, pris de scrupules et se demandant si après aussi peu de difficultés l’apéro serait mérité, le rouleur du Moulin suggère une 1/2 côte de Lahitte. Proposition acceptée à l’unanimité (ou subie en silence ?), descente devant le domicile de l’Aigle de Sombrun et retour sur des chemins à nouveau plats jusqu’à Plaisance.

Jolie balade qui aura permis aux langues de travailler autant voire plus que les jambes, et de revoir Maryse parmi nous. Un neuvième cyclo a pédalé , c’était sa sortie-souvenir dédié à son père sur les routes de Castillon-Débats ( route de Ragayne et celle du bois de Mazous) et de Lupiac.

Attention , le prochaine Rendez-vous est proposé non pas mercredi mais mardi 14 pour permettre aux travailleurs du groupe de pédaler en compagnie des oisifs.

Jeudi 9 :  Notre randonneur part chez le kiné en mode « randonnée ». Tout d’abord, après quelques détours , il passe par Plaisance pour réserver des abricots-confiture. Hélas, il n’y  en a pas. Ce n’est pas grave, cela lui permettra de ne pas zapper sa sieste de l’après-midi. A 8h30, il entre dans le cabinet et passe entre les mains expertes de son kiné. 45 minutes plus tard, tout est de nouveau en place: cervicales, dorsales… Notre patient repart à l’aventure mais n’oublie pas son café dans un  bar du coin. Il part ensuite nez au vent. Il a été sensible à l’avertissement des rouleurs fous d’hier qui annonçaient 5 ou 6 côtes. Il décide donc de privilégier l’option circuit court ( c’est à la mode) mais pentu. Ce sera  donc par Sombrun ( il aperçoit l’Aigle qu’ilCapture n’oublie pas de saluer), Moncaup, Monpezat

Lascazères, Hagedet ( eh, il ne se refuse rien),  Madiran , Saint Lanne ( cette côte sera le bouquet final!), Cannet, Cahuzac sur Adour et puis la maison. Le profil ci-dessous vous donnera une idée de ce retour tranquille. 73 KM aller-retour pour les intéressés.

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Mardi 8  :  5 participants au rendez-vous de 8 h 30, perturbés au moment du départ par un SMS leur enjoignant de rouler avec modération alors que la discussion portait sur le nombre de côtes (5 ou 6 ?) et la vitesse horaire (28 ou 30 km/h ?). Donc changement de programme et direction Villecomtal par un itinéraire inhabituel: Juillac, Marciac, route de Tillac et direction le bas de Troncens avant de remonter sur la crête. Un petit ralentissement pour apprécier la vue sur les Pyrénées, descente à Betplan et pause casse-croûte pour manger la banane au point de ravitaillement de Villecomtal. Le retour se fait par des routes bien connues: Haget et la vallée jusqu’à Armentieux. Encore 69 km soit nettement moins que l’âge moyen de nos 5 retraités, et une note particulière pour Jako qui a affiché une forme resplendissante, se permettant de se tester dès que la route s’élevait un peu.

Lundi 6 , les cyclotouristes des Rouges sont allés faire un petit tour au lac de Luby. Prudents, ils ont utilisé la formule “Sortie délocalisée”. Ils sont donc partis de Nogaro près du siège des cyclos locaux. En arrivant, surprise, il y a du monde sur le parking. Qu’est-ce? Le nouveau gouvernement? Non, tout simplement, des candidats au permis de conduire. Avec leur masque, impossible de lire sur leur visage s’ils sont inquiets, tranquilles ou confiants. Bon, nos deux compères déchargent leur randonneuse. Eh oui, les randonneuses car ils font suivre le pique-nique de midi. Allez, ça roule! Le traceur a prévu un aller par des petites routes. A la sortie de Nogaro, direction Salles d’Armagnac mais dès la première tournée, tout  à droite. La route est effectivement étroite et peu fréquentée mais son revêtement s’avère un peu limite. Qu’arrive-t-il dans ce cas là? Crevaison! Le pneu arrière du vélo de notre cyclote est à plat. Allez, monsieur Coco au boulot. Le changement de chambre… à air ( il faut être précis ) est effectué en un éclair. Nos deux compères repartent , le ciel est toujours gris. Ils atteignent sans autre encombre, Bourrouillan, Ayzieu, Marguestau, Larée puis les voilà à Cazaubon. Là, une petite côte les attend, ils l’avalent avec appétit mais en ralentissant bien la cadence. Enfin, ils arrivent au Lac puis au parc de l’aire de jeux. Il y a si peu de monde ( entre 3 et 5 personnes, c’est bien ça fait 4 , bravo JMC) que le guide se permet d’annoncer qu’il a pri20200706_115815vatisé ce site! Midi approche, nos

sportifs ouvrent leur sacoche, s’installent confortablement et attaquent leur repas. Tranquilles, au calme, ils peuvent déguster le paysage en écoutant les clapotis faits par de 2 ou 3 courageux nageurs dans la piscine proche. Durant leur trajet aller, ils ont pu observer le maïs ( du petit, du un peu plus haut, du qui “tire la belle, du qui a déjà l’épi ”poilu”) et de la vigne ( de nombreuses nouvelles plantations qui permettent de penser que l’on va pouvoir boire de l’Armagnac encore longtemps). Le pique-nique terminé , nos courageux aventuriers repartent sans oublier de faire de suite un arrêt café ( ni sucre, ni Armagnac) à Cazaubon dans une pâtisserie. Eh oui, ni gâteaux, ni viennoiseries, veillez bien noter, chers lecteurs, cette remarquable performance! Le retour s’est effectué par la route “normale”: D32 vers Estang mais D33 puis D931. Le paysage est le même qu’à l’aller avec quelques pointes de pins en plus. Une allure aussi souple qu’adaptée a permis à nos deux randonneurs d’atteindre Nogaro sans problèmes et bien décidés à remettre ça dès que possible.

Semaine du 29 juin  au 5 juillet

Dimanche 5 juillet : Le record n’est pas battu, mais ce sont tout de même 8 cyclos qui sont présents au rendez-vous à 8 h 30. Direction Termes et les crêtes par Saint-Griède et Luppé-Violles avant la pause casse-croûte au Houga. La route est belle, la vue magnifique mais les jambes commencent à être lourdes. Petit conciliabule pour savoir quelle est la route la moins accidentée pour le retour, et l’option Barcelonne est retenue, moins difficile mais un peu plus longue. Au final, 76 km et un grand bravo à Sylvie qui est allée jusqu’au bout avec le sourire malgré les côtes et des douleurs un peu partout.

Elle a même l’idée très intéressante d’une journée à la montagne avec l’option location d’un VAE pour accompagner les « malades » dans un ou des cols. Renseignements pris, la location est possible au départ de Lourdes, de Luz ou d’Argelès. Pourquoi ne pas envisager une telle sortie fin juillet ou en août ? Avec pique-nique ou resto à la clé bien sûr. En attendant, rendez-vous mercredi 8 avec quelques côtes pour se préparer…

1er Juillet : La sortie du 1er juillet entrait dans le cadre des actions souhaitées par la FFVélo : initiation des jeunes à la pratique du cyclotourisme. En effet, la moyenne d’âge des 4 participants, dont nous tairons le nom par discrétion, s’élevait à 73 ans et 10 mois… Et comme ils étaient peu habitués à lire la météo avant de partir, ils ont eu le plaisir d’essuyer un bel orage peu après Hères où Karin, qui ignore elle aussi les caprices du climat gersois, étendait imprudemment son linge. Après une pause improvisée sous un hangar agricole, retour à Préchac, puis le temps redevenant clément, direction Termes et Plaisance où les deux plus jeunes (?) décidaient de prolonger vers Beaumarchès, la montée vers Tieste et retour. Une petite sortie qui en appelle d’autres.

JUIN

28 juin: Record de participation  10 présents puisque Karin et son mari Yan ont rejoint le groupe des habitués du dimanche matin, ajoutant une touche britannique aux accents déjà variés du petit peloton. Les conversations allant bon train, le détail du parcours a échappé au chroniqueur qui a cru reconnaître le domicile de l’Aigle de Sombrun, Larreule, l’aire de repos de Caixon, lieu du casse-croûte, Sauveterre ou Auriébat. Un joli tour avec quelques petites bosses mais pas trop difficiles qui aura permis d’apprendre que de petites sorties avaient eu lieu les dimanches 14 et 21 ainsi que les mercredis 17 et 24, regroupant quelques participants dont plusieurs retours. Etant donné que d’autres sont annoncés, Maryse, Christophe ou Claude notamment, gageons que dès le premier dimanche de juillet nous allons battre notre record et devoir constituer plusieurs groupes… Hommes d’un côté et femmes de l’autre, mais comment faire avec le tandem ? Bavards d’un côté et taiseux de l’autre, mais tout le monde a la langue bien pendue à l’USP… Ceux qui seront présents dimanche auront la réponse à cette question si importante !

Du 7 au 21 : Votre chroniqueur a eu divers problèmes et occupations qui l’ont rendu  muet ( eh oui, ça peut lui arriver!) . De plus, notre Président était en vacances , il est allé caresser le Ventoux donc absence également de ses chroniques aussi précises que précieuses. 20 juin C’est l’été. Notre randonneur fait son Dodécaudax mensuel. Vous aurez bientôt le CR à la rubrique habituelle.

Semaine du 1er juin au 7.

Dimanche 7 juin : Fêtes des mères et faites du vélo   On prend presque les mêmes que le dimanche précédent et on part à nouveau à 9, Christel et Jako ayant été remplacés par le grand Jacques et Gérald que nous retrouvons tous les deux avec grand plaisir. Comme annoncé sur l’invitation, le parcours reste assez plat, les jambes ayant encore besoin d’un peu d’entraînement. Riscle par les Bartères, Saint-Germé, Arblade le Bas, pause casse-croûte au restaurant de Colette à Gée Rivière et notre petit monde se lance à l’assaut de la côte de Saint-Mont. Dédé y fait preuve une fois de plus de sa galanterie en aidant quelque peu Sylvie et le retour se fait par le bois de Riscle à 8: Gégé est parti devant pour acheter des fleurs pour la fête des mères, c’est un bon petit et nous lui avons donné l’autorisation de quitter le groupe. Résultat, une bonne soixantaine de km, beaucoup de petites routes tranquilles et rendez-vous est pris pour jeudi, avec peut-être une bosse supplémentaire ?

Jeudi 4    : On retrouve le chiffre habituel de 5 éléments. Le projet initial d’aller au lac de Lizet est abandonné en raison du fort vent défavorable annoncé au retour et du nombre de côtes qui inquiète. On réduit donc les ambitions pour tourner à droite avant Bassoues, rejoindre Mascaras et Laveraët. Au début, vent dans le dos mais des côtes, ensuite vent de face mais une belle descente et pour terminer fort vent de face et une joli grain à Ladevèze-Rivière, juste après la phrase imprudente de Dédé « Finalement, on n’a pas été mouillés »… Rendez-vous est pris pour dimanche, sortie courte pour permettre d’honorer comme il se doit les mamans du groupe.

Mercredi 3: Les Rouges sont sortis le matin avant l’arrivée annoncée de l’orage . Une panne de  réveil  tardif a bien sûr entraîné un départ tardif. Le vieux renard des Rouges n’est pas né de la dernière pluie.  Le circuit « choisi  » , au fur et à mesure, leur a permis de parcourir une soixantaine de bornes sans jamais s’éloigner de leur refuge douillet et au sec. Le vieux renard des Rouges n’est pas né de la dernière pluie! Bien sûr, vous l’aurez deviné , le retour a été tardif surtout qu’une petite crevaison-éclatement a agrémentée la fin du parcours ( à environ 5 km de l’arrivée). Bilan, une sortie fort agréable à un rythme peu vif mais régulier. Le record du temps mis à changer un pneu arrière a été « titillé »l’effet des premières gouttes  sans aucun doute.

MAI 

Dimanche 31 : ça y est le compteur est débloqué.

A 9 h se retrouvent au lieu habituel de rendez-vous Sylvie, Dédé, Jako, Olivier, Philippe et Jean-Michel mais aussi le tandem de Muriel et Michel. Le parcours proposé: Préchac, Mazères, la petite route jusqu’à Vidouze, Monségur et retour par Lahitte-Toupière, Sombrun, Estirac, Caussade et Préchac ou la même chose en sens inverse. Olivier suggère sagement que la montée de Lahitte par Sombrun est moins « brutale » que celle de Monségur. Avant la sortie de Plaisance, une voix connue nous signale la présence de Christel: 9 participants, nous avons failli atteindre la limite autorisée de 10 qui nous imposait de former 2 groupes…

Jolie sortie à rythme modéré pour tenir compte de l’état de forme de chacun, et  montée de la 1/2 côte de Castelnau pour les plus vaillants. Bonne nouvelle pour l’USP puisque Muriel et Michel prennent rendez-vous pour la prochaine sortie et demandent les formulaires pour prendre la licence. Les effectifs sont de nouveau à la hausse, ça s’arrose, je vais prendre l’apéro. A la vôtre et à bientôt.

Le 29, notre randonneur  » pas si fou que ça »  a fait son dodécaudax de 200 km ( 202 plus précisément) du mois de mai.

Aussi bien dimanche 24 que jeudi 28, 5 participants à la sortie. Le chiffre de participation semble bloqué à ce niveau, mais selon les renseignements glanés ici ou là, ce sont au moins 13 d’entre nous qui ont repris le vélo, parfois seul, à 2, à 3 ou à 5. Et les effectifs tournent, les 5 ne sont jamais exactement les mêmes.

C’est ainsi que dimanche 24 nous avons eu le grand plaisir de rouler avec Jean-Pierre l’Ainé après une absence de près d’un an. Il a perdu certains automatismes et oublié de remplir son bidon, mais Sylvie est venue à son secours. Au programme de petites routes jusqu’à Maubourguet et un parcours rarement emprunté vers Larreulle avant de renter par Nouilhan, Lafitole. Que du plat mais certains ont trouvé que la selle de vélo est moins rembourrée que le canapé…

Jeudi 28 le parcours a été encore peu accidenté mais la distance un peu plus longue pour 3 des participants avec un grand classique: Plaisance, Rabastens, Villecomtal et retour. Les 2 autres ont coupé au niveau de Sauveterre, nous avons cru comprendre que Gérard avait rendez-vous avec le Premier ministre qui devait lui annoncer si oui ou non il pouvait partir en vacances en juin. Ce 28, il convient d’ajouter les 2 cyclos des Rouges qui ont vagabondé en matinée pendant 70 bornes dans le coin à une vitesse touristique.

Lundi 24 mai   Les Tasquais des Rouges sont sortis. Dimanche, ils n’ont pas pu se balader car  ils  attendaient avec impatience le compte-rendu du 1er Conseil municipal afin de savoir si le quartier avait toujours un ou des adjoints . Finalement, ils n’ont pas eu l’information mais tout finira par se savoir. Ils vous proposent leur circuit.

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64 km; 370 m de dénivelé, 2 côtes et un lapin qui s’enfuit

Jeudi 21 mai  : Sylvie (qui a pris soin de se « tartiner » de crème solaire), Dédé et Jean-Michel ont pu goûter la compagnie de Coco de Ju-Belloc et de Philippe. Comme prévu, le terrain plat et une allure raisonnable sont à l’ordre du jour avec une incursion vers le nord-ouest. Les distances règlementaires sont respectées puisque les deux patrouilles de gendarmerie postées à l’entrée et à la sortie de Saint-Germé ne trouvent rien à redire. 52 km à 19,5 km/h de moyenne, nous confirmons notre rythme et  donnons déjà rendez-vous aux amateurs dimanche 24 à 9 h toujours sur la plat mais en direction du sud..

A noter qu’à l’arrivée, nous constatons que le quartier sud de Plaisance est particulièrement bien représenté. Est-ce la proximité de notre ancien sponsor ou un micro climat favorable à la pratique de la petite reine ? En tout cas le fait est incontestable, d’autres quartiers d’autres communes rassemblent plutôt des amateurs de repas familiaux plus ou moins arrosés. Je ne pense à personne en particulier, quoique…

Lundi 18 mai : Le « randonneur fou » a fait son Dodécaudax de 200 km ( il comptera pour mai ou avril). Il vous fera son CR dès qu’il aura récupéré. Mais il est très pris par ses activités de jardinage, de bricolage et de nettoyage. Son confinement lui a un peu retourné les neurones et il s’est mis à travailler. Espérons que cela va vite lui passer!

Dimanche 17 mai : 

Ce matin du 17 mai, ils sont 5 à répondre à l’appel à la reprise. Sylvie, Jako, Olivier, Dédé et Jean-Michel ont le plaisir de voir Gérard en civil, venu pour dire qu’il va rouler cet après-midi avec Madame. On apprend à l’occasion qu’il a déjà fait un petit tour cette semaine, de même que Dédé hier, Olivier ainsi que Philippe, chacun de son côté pour des distances allant de 30 à 52 km.

Personne n’a monté les stabilisateurs, belle preuve de confiance en nos facultés, et les vélos ont été bichonnés: pas une trace de poussière, pas une toile d’araignée, et à l’usage pas un grincement suspect, tout le monde est prêt pour l’expédition. Direction… on ne sait pas trop, mais sur terrain plat. Sylvie a dit: « tranquillou car la machine est rouillée » et chacun semble dans le même état d’esprit.

En essayant de respecter les 10 m d’écart entre nous tout en bavardant, car nous avons de grosses voix et beaucoup de choses à nous dire après 2 voire 3 mois de séparation, nous optons pour les petites routes vers Villecomtal, la petite montée de Sauveterre et un retour par Maubourguet. A l’arrivée à Plaisance, la satisfaction est générale, chacun sait comment les autres ont vécu le confinement et les Plaisantins du Sud de l’agglomération font même un brin de conduite à ceux des quartiers nord, tous se donnant rendez-vous pour renouveler l’expérience jeudi prochain. 47 km à moins de 20 de moyenne, qui peut encore avoir peur de nous ?

Vendredi 15 mai :   La randonneuse de notre conteur d’hier n’a pas du tout été satisfaite de voir son maître sortir avec le Giant hier. Donc, pour la voir de nouveau sourire, ce dernier lui a fait prendre l’air aujourd’hui. Il est parti accompagnée de son binôme. Tous les deux ont parcouru 52 km pour un dénivelé de 226m. Ils ont constaté que les joueurs de jazz sont encore confinés sur les parois du château de Ladevèze-Ville et que la vue depuis le Porche de la Madeleine était toujours splendide.

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Jeudi 14 mai : Parcours réalisé par un de nos licenciés qui vous en offre le tracé. Ne tenez pas compte des numéros entourés de blanc ( un bug). Sous le 3, il y a PANJAS; 64 km et 469 m de dénivelé. Au croisement de Panjas-Bourrouillan, il faut aller tout droit , passer le Domaine de Joy et ensuite prendre à gauche la route du Louvre. Vous verrez jusqu’à Panjas, c’est bucolique.

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Mardi 12 mai Enfin une vraie sortie

Après la fausse sortie d’hier et  grâce à l’intervention très efficace  de la brigade des tronçonneurs-débardeurs des Rouges, aujourd’hui a été le premier jour de sortie cyclotouriste des pédaleurs du chemin du Canal. Une belle balade d’une cinquantaine de kilomètres qui a parmi à nos pédaleurs de constater que le colza n’était plus jaune mais que, par contre, les marguerites et les glaïeuls étaient déjà là . Peut-être d’autres cyclos plaisantins ont-ils profité eux aussi d’une météo plutôt clémente pour aller faire tourner les jambes? Il faut dire que les dernières consignes de notre fédération soulignent qu’il est recommandé de rouler seul ou bien en groupe inférieur à 10 cyclos et en laissant un espace de 10 m entre les participants. Donc, ce n’est pas encore demain que l’on pourra pédaler ensemble en bavardant. Mais la santé avant tout! Portez-vous bien et restez prudents!

Lundi 11 mai : Une reprise inachevée

Enfin le déconfinement est arrivé. Parfaitement révisée par Jean-Jacques de SOS Gers Cycles et bien reposée, peut-être un peu trop, je suis d’attaque. Mon maître m’a sortie du garage et nous allons pouvoir partir rouler dans notre belle campagne. Le temps est mauvais :  pluie et vent mais à « pédales vaillantes » rien d’impossible.

20200511_114123Nous avons à peine parcouru 100m environ lorsque la catastrophe arrive!

20200511_113139Notre route est barréeUn arbre colossal est tombé sur le chemin du Canal ( c’est notre nouvelle adresse). C’est sûrement un signe! Mon pilote et moi décidons donc de faire demi-tour et de rentrer sagement à la maison. Bien entendu, cet « abandon » n’est en rien dû à la météo calamiteuse! On sortira peut-être demain si le temps est plus favorable, pour aujourd’hui c’est encore « confinement ».

Lionel Saint-Martin

Président du Comité Départemental de Cyclotourisme du Gers

06.45.30.83.72

Bonjour à tous,

Voici le dernier courrier que je viens de recevoir de Martine Cano notre présidente Fédérale!

En résumé une pratique individuelle du vélo du 11 Mai au 2 Juin dans un rayon de 100km de son domicile.

10 cyclistes maximum , espacés de 10mètres.

Aucunes randonnées inter clubs avant le 2 Aout.

Nous attendons une nouvelle circulaire ministérielle qui devrait sortir lundi prochain,qui précisera les activités des personnes en situation de handicap et des tandems.

En attendant chers cyclottes et cyclos reprenez le vélo calmement et progressivement en allongeant progressivement et régulièrement les distances!

Sortez seul ou à deux cyclos dans un premier temps ,jusqu’au 2 Juin

Merci Mesdames et Messieurs Présidents, secrétaires , trésoriers de faire passer largement ce message à tous vos licenciés!

En attendant de vous revoir toutes et tous soyez prudents ,faites attention à votre santé l’épidémie est toujours présente!

Amitiés Sportives

Lionel Saint-Martin

 

 

MARS AVRIL

Attention!!!!!  Pour vous aider à passer le temps pendant cette longue période de confinement, votre randonneur fou a mis en ligne le CR de son Dodécaudax de  Mars  ( le 10 ) qui est en fait le BRM 200 du CODEP 65. Notre « fou »  a peut-être été le seul à le faire puisque le confinement a empêché le déroulement de cette « balade » prévue officiellement  le 21 mars . Il vous invite à le lire et à lui transmettre vos commentaires( voir la rubrique Sorties et vie du club).

Attention , confinement!

Message du COREG Occitanie relayant celui de la FFCT

En ces premiers jours de confinement, nous sommes (et vous aussi) souvent interpellés par des licenciés qui souhaiteraient avoir notre avis (parfois même notre caution) sur ce qui est ou n’est pas autorisé dans le cadre du confinement.

Le message de notre Fédération est clair. C’est la solidarité et l’esprit du confinement qui priment.

Nous devons tous, dans la mesure du possible, stopper toute activité cycliste non indispensable, même dans un cadre individuel. Et ceci, jusqu’à nouvel ordre.
Nous devons faire comprendre à tous nos licenciés l’importance de ces mesures, par respect des autres, par respect des soignants et par respect des malades. L’intérêt collectif doit l’emporter sur un souhait individuel.
Merci à tous de relayer ces messages
Cordialement
Philippe Deveaux
Président du Comité Régional Occitanie de Cyclotourisme

Message du COREP32

Bonjour Amies Cyclotes et Amis Cyclos,
 
 Notre Fédération  nous recommande de ne plus pratiquer notre activité favorite même à proximité de notre domicile et en individuel.
Je compte sur vous tous pour respecter ces consignes solidaires et préventives !
Pour ceux qui en ont ,utilisez vos » home-trainer  » ou faite de la marche à pied et toujours en individuel.
Prenez bien soin de vous
Amitiés Sportives

Lionel Saint-Martin

Président du Comité Départemental de Cyclotourisme du Gers

Du 15 mars au 15 avril: Confinement!!!!!

Mardi 7 avril: Une sortie de rêve pour Coco des Rouges

    Aujourd’hui, je sors. J’enfourche mon vélo et me voilà parti. Je passe le pont de Cahuzac et prends la direction du moto-cross. J’avale la côte de Léon, survole celle de Balembitz.  Vraiment, c’est la grande forme! Je décide donc d’aller vers Viella. La montée vers Maumusson s’avère être une formalité et l’ascension jusqu’à Viella se fait à une allure soutenue. Là, je passe le château d’eau et je fonds sur Labarthète puis Saint Mont. Je longe   la cave. Bizarre, elle est fermée! Je monte avec une facilité déconcertante la côte de St Mont. Ma moyenne est idéale!!! Je m’arrête un moment pour vérifier mon compteur. Tiens, il se met à pleuvoir. C’est étrange, je ne me mouille pas!!!???? Je réalise alors que je suis en fait  sur mon home-trainer dans mon garage, bien à l’abri. En fait, je pédalais tranquillement sur place et il pleut à l’extérieur. Enfin, j’ai passé quand même un bon moment tout en respectant les règles du confinement. Le rêve n’est pas encore interdit que je sache.

 

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Christophe vous signale qu’il respecte le confinement mais que son nouveau  vélo s’ennuie!

 

 

 

 

 

 

 

Les 3 miniatures ci-dessous sont introduites afin de couper court à des rumeurs, que dis-je, à des racontars qui insinuent que le home-trainer ne serait pas utilisé par son propriétaire. Il paraît que ces cancans viendraient d’en  haut.

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Concentration avant le départ et visualisation du parcours!
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Il souffre dans l’effort et n’hésite pas à tout donner.

 

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Toujours prudent. Direction la douche!

 

 

 

 

 

 

Eh oui, même le randonneur fou sait être raisonnable. C’est vrai qu’ainsi on n’avance pas vite.
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La randonneuse boude un peu, elle ne sort plus! Mais elle aussi comprend les consignes de confinement!

 

Semaine du 9 au 15.

Samedi 14 : Dédé et Olivier ont probablement été les derniers du club à montrer nos couleurs avant le confinement.

Mardi 10 mars, notre randonneur est allé faire son BRM 200 avec un peu d’avance. Ce 200 lui servira de Dodécaudax de mars, il vous fera un compte-rendu prochainement.

Semaine du 1er au 8 mars

Dimanche 8 : Nous étions 7 au départ pour aller rendre visite à nos amis de Rabastens à l’occasion de l’ouverture du Codep65 et de celle du Coreg Occitanie ( journée Albert Bures). Les courageux étaient Karin,  Dédé, le grand Jacques, Jean-Michel, Olivier, Coco des Rouges et Christophe. Le parcours aller a été tracé au fur et à mesure mais nous sommes bien arrivés à Rabastens. L’accueil était libre , le bétail du marché du lundi n’était pas là mais y-a-t-il encore ce marché? Nous avons été reçu de manière royale par la troupe du Président  Pierre. Bien sûr, nous avons fait honneur au café chaud et à tout le reste. D’ailleurs certains étaient si bien que d’autres les attendaient patiemment au soleil. Enfin, notre troupeau reconstitué a pris la direction du retour. Ce dernier s’est fait, vent de dos,  par un chemin plus classique: Liac, Gensac , Lafitole, Maubourguet. Ensuite, il a tenu compte des « déposes »: Karin à Hères, Claude à Préchac est parti vers son quartier magique et les 5 autres sont rentrés sur Plaisance. Bilan, une sortie fort agréable à une allure régulée selon les remarques des uns ou des autres afin de bien rester ensemble. Il a été remarqué qu’en l’absence de notre Monsieur Sécurité certains ont  « oublié » certains points du code de la Route. Heureusement, ils se sont vite ressaisis , il faut dire qu’un des présents les menaçait d’instaurer un permis à points avec un règlement drastique allant jusqu’à la suspension provisoire de sorties!

Samedi 7 : Les Cocos ont roulé car ils n’étaient pas certains de pouvoir être de la sortie du dimanche. Ils ont effectué une cinquantaine de km à leur rythme de croisière habituel. Tout s’est bien passé sous le soleil. Un fait à signaler à Jean-Michel, ils ont été victimes d’une malencontreuse  erreur de parcours  car le guide a , comme d’habitude, pris une fois de trop à gauche.

La réponse à la question du pont du 24 est donnée en image à la rubrique du 24 février bien sûr.

Semaine du 24 février au 29 février

Vendredi 28:  Les Cocos des Rouges ont profité d’un temps plus clément pour effectuer une sortie un peu au hasard et selon le profil. Menacé par les grues et les palombes, le Coco a dû se cacher. Quel endroit a-t-il choisi pour se réfugier?
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Après une cinquantaine de km, vers Izotges, notre pédaleur a laissé sa compagne rentrée seule au quartier et a eu l’idée saugrenue d’allonger un peu. Je dis bien « saugrenue » car il est allé escalader la rampe de l’église de Goux. Il vous rassure , elle est toujours bien raide. Il a terminé en passant devant la demeure de Christophe notre Castelnauvien et par la célèbre route des chameaux.
Lundi 24 :    Le Coco des Rouges a effectué une courte sortie pour tester son genou droit ( eh oui, Jean-Michel, c’est bien le droit!) récalcitrant. Sa compagne l’a accompagné dans son périple. Cette sortie très locale a été fort agréable sous un soleil remarquable. Il paraît qu’il va être rare cette semaine. Le paysage était splendide depuis la crète Tieste/Ladevèze-Ville. Nos deux compères ont même testé une nouvelle route. Pour vous occuper ces prochains jours de pluie, le Coco vous pose une petite devinette ci-dessous.
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Où cette photo a-t-elle été prise?  Réponse dans quelques jours.

20200224_162445Semaine du 17 au 23 février

Samedi 22: Affluence record!!!!

Etait-ce l’effet d’une « annonce alléchante » (selon une participante)? Le résultat d’un temps magnifique? Ou plus simplement la conjonction des deux avec la chance d’avoir des emplois du temps libérés ce jour-là?  En tout cas, 9 représentants du club avaient décidé de venir rouler, record de la saison. Christel, Karin, Maryse et Sylvie pour la gent féminine (BRAVO LES FILLES!,  Alain, Dédé, Jean-Michel, Olivier et Philippe ( bien les garçons) pour les accompagner. Tout ce petit monde a roulé groupé jusqu’à Vic en passant par Maubourguet et Artagnan, est revenu le nez dans le vent par Nouilhan, Maubourguet, Caussade et Hères avant de faire une entrée triomphale (?) à Plaisance.

Belle balade que tous aimeraient renouveler la semaine prochaine et les suivantes, avec le retour d’autres membres du club, mais déjà s’annoncent des absences pour cause de travail le week-end à Saint-Germé, de « Tue cochon » à Beaumarchès, de « Semaine pâtés » dans le Lot et de voyages au Vietnam, à la Réunion, en Hollande ou dans le Vaucluse. Bref une USP en mode éparpillée, mais on trouvera bien le moyen de se retrouver, pour commencer le 8 mars à Rabastens.

Mardi 18 : Sortie délocalisée.

Un rendez-vous de dernière minute et un malentendu ont empêché Claude F et Karin de participer à cette première sortie délocalisée. On ne retrouve donc que les deux compères, Dédé et Jean-Michel, pour découvrir le circuit proposé par notre expert des Rouges. Sur ses conseils, arrêt de la voiture en haut du village de Montesquiou (bien vu, une côte en moins !), préparation des vélos et c’est parti à 13 h 31 précisément. Cela commence par une longue descente, génial ce circuit. Après une côte, nouvelle descente sur l’Isle de Nöé et c’est le début d’une promenade très agréable sur la rive gauche de la BaÏse sur un petit chemin parfois un peu cabossé. Un automobiliste nous rattrape pour nous donner la pompe de Dédé, victime de ces accidents de terrain, puis fait demi-tour. Il existe encore des gens sympathiques…

Arrivés à Saint Jean Poutge, les deux compères retrouvent la « civilisation » et les camions de la N 124 pour une centaine de mètres, avant de reprendre leur balade champêtre, cette fois sur la rive droite de la Baîse. Le cadre est tout aussi sympathique, le relief un peu plus accidenté et aucun véhicule ne dérange les deux cyclos, seuls quelques chiens agrémentent le parcours. A partir du km 30, la D 939 avec vent dans le dos permet à la moyenne de grimper allègrement, et ça dure, et ça dure, tant et si bien qu’à Mouchès, le nez dans le guidon, quelques libertés sont prises avec le parcours prévu (tout à fait involontairement). Un petit tour à Mirande et c’est reparti pour Montesquiou, mais maintenant ça monte, et ça monte encore, pas très dur mais longtemps, et après ça monte à nouveau… Après un peu plus de 60 km et 2 h 40, la pancarte annonçant le village apparaît au détour d’un virage. C’est fini.

Merci au traceur du circuit, le parcours était superbe (dommage qu’il n’ait pas pu le faire, même s’il le connaissait). On attend déjà avec impatience la sortie délocalisée du mois prochain, en espérant un nombre de participants plus important et un temps aussi clément. Attention, pour les illustrations, Jean-Michel  cherche sa boite de crayons de couleurs et il s’y met ( son portable refuse de prendre des  photos. ).

Semaine du 9 au 16 février

Dimanche 16:  5 de nos licenciés ont participé à la « Plaimont Jean-Luc Garnier » organisée par l’USP cyclisme. En bons cyclotouristes, ils se sont inscrits simplement et humblement  à la randonnée  cyclotouriste ( 45 km) . Ces 5 « courageux » étaient Christel, Karin, Christophe, Jean-Michel et Coco des Rouges.

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Ils devaient rouler ensemble mais Christophe qui étrennait son vélo-compétition est parti devant en solitaire afin de tester son engin. Ces 4 compagnons l’ont pardonné et ont  roulé, eux,  bien en groupe. Malgré un incident technique qui est  survenu au vélo de Christel ( elle a avoué avoir préparé son vélo à « l’arrache »)  vite réparé par ses amis « experts » en mécanique (nous tairons le diagnostic de cette avarie) tout s’est bien passé pour eux. Ils ont remarqué avec plaisir que beaucoup d’anciens du club faisaient partie des bénévoles chargés de la régulation de la circulation aux différents carrefours et ont apprécié leurs encouragements . Il est à noter que nos 4 compagnons ont mis un point d’honneur à ne pas se faire reprendre par les premiers  cyclosportifs avant l’arrivée et pour cela n’ont pas hésité à placer une violente « accélération » sur  les 4 derniers kilomètres. Ils ont pu ainsi, de justesse, assister à l’arrivée des cyclosportifs qui ,eux, avaient parcouru 90 km.

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Christophe lui avait déjà fait un tour au ravitaillement final. Ils sont  repartis en vélo chez eux après avoir reçu leur traditionnelle récompense , la si fameuse bouteille de Plaimont  ce breuvage si cher au cœur de notre Pépé Jean-Luc.

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Bien sûr, avant de partir , ils ont fait honneur au casse-croûte final. Tous remercient  l’USP cyclisme pour son organisation remarquable ainsi que tous les bénévoles connus ou inconnus.

Samedi 15 : Les Cocos des Rouges ont fait une sortie pique-nique qui les a conduits jusqu’au Houga puis à Aire sur les bords de l’Adour lieu « habituel » de leur pause méridienne.  Après  un bon café, ils sont rentrés par Gée-Rivière mais sans passer par l’ église préférée de notre JPR  car la route vers la gravière a bien souffert lors des derniers caprices de l’Adour. Bilan: 73 km sous un soleil fort agréable et dans un silence surprenant.

Semaine du 2 au 8 février

Samedi 8 : Point Café à Lourdes ET sortie club traditionnelle.

Point café : Grosse affluence mais un seul Plaisantin présent ( tournoi des 6 Nations?). Très bon accueil et ambiance très détendue et fort conviviale. Merci et bravo! Le Plaisantin présent est parti d’Ibos et a effectué une de ses fameuses boucles : Azereix, Ossun, Adé et sa côte, voie verte , siège des cyclos lourdais, Arcizac les Angles, Escoubes, Orincles, Bénac, Lanne, Ossun, Azereix et Ibos ( Méridien). Au bilan, une cinquantaine de km et surtout un point café fort agréable à l’image du parcours accompli.

Voilà un café GOURMAND!
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Un Président au boulot! Eh oui, ça arrive!

Sortie normale: Les troupes sont éparpillées façon puzzle comme disait l’autre. Notre vaillant secrétaire représente l’USP au point café de Lourdes, certains sont à Limoges pour supporter nos vaillantes Françaises contre l’Italie, d’autres sont au Pays basque ou en Australie pour raisons familiales, un genou encore douloureux nous prive d’un « jeune », un pneu défaillant handicape un moins jeune tandis que la chasse ou la taille des vignes en retiennent d’autres. Finalement ils sont 4 à se lancer en direction du sud pour suivre le parcours préféré de Didier: Vidouze, Monségur, Lahitte et retour. Sylvie craignait la côte de Monségur mais Dédé s’est engagé à l’aider et le bougre a tenu parole: tout en la poussant, il a monté cette côte aussi vite que Alain et Jean-Michel, lui qui venait d’expliquer qu’il avait un esprit de 50 ans mais un corps de 70 selon son médecin… Coup au moral pour ses accompagnateurs ! Après une séparation momentanée (3 sont partis vers Maubourguet et un vers Sombrun) les portables font des miracles et tout le monde se retrouve à Estirac pour un final groupé. Troisième sortie avoisinant les 60 km pour Sylvie qui prépare activement son rendez-vous « Toutes à Toulouse » de septembre.

Jeudi 6 : Seuls les deux inoxydables ont répondu à l’appel. Ils optent rapidement pour un classique: bas de Saint-Justin, Villecomtal, Saint-Sever, Sénac, Rabastens et retour. Ils sont freinés par un vent du sud-est mais se réjouissent déjà d’un retour vent dans le dos et n’épargnent pas leurs forces en roulant côte à côte pour mieux évoquer leurs sorties passées et futures. La côte de Sénac avalée à bon rythme, ils plongent vers Rabastens où une mauvaise surprise les attend: le vent a tourné et vient de l’ouest. Pas de quoi les impressionner, mais en arrivant à Maubourguet, le moins jeune des deux a subitement envie de troquer son vélo contre un confortable canapé…La fin du parcours est donc beaucoup plus raisonnable, et la moralité c’est que pour le 200 km du 15 mars, ce n’est pas gagné, les 78 km du jour contre le vent suffisent pour l’instant, sauf pour Dédé qui avait comme d’habitude la socquette légère ! Ce jour là, le Claude des Rouges a bouclé son 200 Dodécaudax en allant grimper le Couraduque. Ce parcours lui a permis de rouler 201 km pour être précis.

Janvier

Le randonneur de votre club adoré a mis en ligne son Dodécaudax de janvier. Il vous invite à le lire et à lui transmettre vos commentaires( voir la rubrique Sorties et vie du club).

Semaine du 27 janvier au 1er février.

Semaine du 20 au 26

Dimanche 26 : Dès 9h, ils étaient 7 au départ: Sylvie, Christophe, Dédé, Jacques, Olivier, Jean-Michel et le Coco des Rouges. Ils sont partis au gré du vent décidant du parcours au fur et à mesure. Ils pédalaient tranquillement lorsque soudain un bruit étrange les surprit. Le Coco était à terre , le nez dans le gazon ou le goudron! Heureusement, comme le 9 qu’il était, il se remis rapidement sur les pattes. Eh oui, il venait de prendre une belle crêpe! Était-il trop impatient ce gourmand et ne pouvait-il pas attendre midi pour déguster ce fameux dessert? Était-il déjà dans le match France-Angleterre? Était-il un peu inattentif tout simplement? Je vous laisse , mes chers lecteurs, vous faire votre propre opinion. Notre peloton rassuré a repris sa route et continué son périple. Christophe étrennait son nouveau vélo semi-professionnel , il a donc régalé ses compagnons en piquant quelques accélérations aussi étonnantes qu’époustouflantes.  Il faut dire qu’il se prépare pour la randonnée cyclotouriste de l’USPlaisance Cyclisme du dimanche 16 février. Finalement, tout s’est bien terminé. Olivier a été à Plaisance à l’heure pour aller s’occuper de l’USP rugby. Coco en a été pour quelques égratignures au coude gauche, un bon hématome à la main droite et quelques remarques de ses coaches. Et surtout, NOUS avons vaincu les Anglais l’après-midi. Bien sûr, notre Lise Arricastre a perdu contre les Anglaises à Pau mais a été excellente concassant de l’Anglaise à qui mieux mieux.  Ces Anglaises n’ont pas très bon esprit, elles auraient pu lui laisser le plaisir d’une victoire à domicile ( LONS son club est à côté de Pau).

Samedi 25: Les Tasquais des Rouges sont sortis sur la journée,  enfin une courte journée ( 11h-17h repas de midi compris). Ils ont fait une balade en deux boucles en mode cyclo-découverte sur des charmantes routes aux alentours. Ils ont eu le plaisir de faire la côte de Pichard en descendant bien sûr. Parfois, cela sert de connaître sa région! Ils ont parcouru environ 75 km. Vendredi soir, d’ autres licenciés semblaient prêts à sortir . L’ont-ils fait?

 Semaine du 13 au 19

Samedi 18 : Olivier a pédalé le matin. Seul ou en compagnie? L’après-midi pour répondre à l’invitation « Point-café » du club d’Orleix, notre club avait décidé d’un départ délocalisé afin de rester dans une distance raisonnable pour la saison. Les 5 pédaleurs  présents ( impossible de respecter la parité avec un nombre impair) sont partis de Maubourguet avec un peu de retard. Figurez-vous que le pneu arrière du splendide vélo de Sylvie avait refusé d’être gonflé! Heureusement, l’ami Jean-Michel avait sa pompe miracle et notre Dédé les muscles appropriés. En associant ces éléments fournis par  cette célèbre doublette , la réparation n’a été qu’une formalité accomplie à vitesse grand V. Sous la conduite du guide des Rouges qui n’a pas hésité pas faire   emprunter à leur peloton une multitude de petites routes,  ils  sont  arrivés à Orleix. Là, ils ont été accueillis comme des rois ( galette, café, thé,  chocolat, pruneaux, sourires à volonté…) par les cyclos locaux. Ce ravitaillement leur a permis de revoir quelques pédaleurs pyrénéens et d’avoir des nouvelles d’autres. Pour le  retour , il a été décidé de prendre la célèbre D8 que certains connaissaient bien. Avant d’emprunter cette voie mythique, il a fallu la rejoindre et cela a entraîné quelques détours. Dès que le groupe est arrivé sur la bonne route,  il a filé (le vent dans le dos, ça aide) vers Maubourguet où il est arrivé  joyeux et frais vers 17h.

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Ils n’ont l’air ni triste ni fatigué et remercient la photographe locale.

Jeudi 16 : De bon matin, le Coco F est sorti de sa tanière pour se rendre à vélo chez son kiné à Maubourguet ( RDV à 8h30). Après sa séance, il a été rejoint par sa Coco venue à sa rencontre. Après un café bien chaud au bar si cher à l’Aigle de Sombrun, ils ont pris la direction de la côte de  Lahitte-Toupière qui leur a permis de se réchauffer. Après le  château d’eau , ils sont descendus vers Vidouze. En bas, ils ont bifurqué vers la  droite. Très prudemment car ils se remémoraient l’étrange  chute  car à l’arrêt de l’Homme de Champagne. A partir de là, ils ont adopté un  rythme de cyclo-baladeur. Ils n’ont pas hésité à multiplier les arrêts contemplatifs allant même jusqu’à aller jeter un coup d’œil au jardin des Plantes et à l’aire de pique-nique de Lascazères. La 1/2 côte , le chemin des chameaux , le lac de Préchac et nos Cocos étaient  de retour aux Rouges . Si vous voulez connaître le kilométrage de ce parcours, relisez ce « texte » et vous avez assez d’indices pour le tracer et l’étalonner.

Mardi 14   : Parité parfaite à cette sortie, on est prêt pour constituer une liste aux prochaines municipales. Seul problème, les participants venaient de Jû-Belloc pour un couple, de Hères pour notre Anglaise préférée qui n’a pas le droit de se présenter et d’un Plaisantin d’adoption qui ne parle pas patois et qui ne pourra donc pas régaler l’auditoire avec des anecdotes du cru. On renonce donc à la liste et on part, improvisant le parcours. Heureusement, de bons bouts droits permettent de réfléchir avant le carrefour suivant. Préchac, les Rouges, (une grosse pensée pour Jean-Luc en ce 13 janvier), Termes, la crête jusqu’à Maulichères et la descente jusqu’à Tarsac. Après Riscle direction Balembitz puis descente sur Cahuzac, ligne droite que Coco B apprécie peu, donc tour du lac de Préchac, maison des chameaux où Karin se demande ce que les chameaux pensent de l’hiver, Herès, Jû-Belloc où Coco décide de raccompagner le Champenois, craignant qu’il se perde sur les routes sinueuses jusqu’à Plaisance.

Sortie sympathique, une soixantaine de kilomètres, beaucoup de papotage sans jamais dire du mal de qui que ce soit, et une allure raisonnable convenant fort bien à tout le monde. On va recommencer samedi car le temps s’annonce clément. N’hésitez pas à venir vous aussi!

Semaine du 6 au 12

Samedi 11:  Olivier avait lancé une invitation matinale. Il a été aperçu pédalant avec un autre licencié qui pourrait bien être Dédé. Ils étaient très bien emmitoufflés. Il faut dire que la température était un peu fraîche. Nous espérons tous qu’ils sont rentrés sans être transformés en glaçons. L’après-midi, les Cocos des Rouges ont profité de la chaleur revenue pour aller faire un petit 50 km qui leur a permis d’aller prendre  un café à Marciac après avoir dégusté les côtes d’Auriébat et de la Saubole. Ils sont rentrés enchantés avant que le soleil se cache. Peut être que d’autres licenciés sont sortis mais votre chroniqueur ne l’a pas su.

Jeudi 9 :  Notre randonneur a effectué son 200 Dodécaudax. Il ne va pas tarder à vous « offrir » son CR.

Mardi 7 : 13h30 : Dédé, Jean-Michel les irréductibles et Coco des Rouges l’intermittent  sont au rdv. Dédé a une idée de circuit qui est immédiatement acceptée par ses deux comparses. Le petit peloton se dirige vers St Aunix, une erreur d’itinéraire évitée de justesse grâce à la vigilance du Seigneur de Loutziges et les voilà près du stade de Beaumarchés si cher à Pépé JL. Ils attaquent la montée de la célèbre côte du Domaine de la Rose et arrivent en haut sans puiser exagérément dans leur réserve. Là , ils prennent la route des crêtes vers Armous-et-Cau puis Peyrusse-Vieille. Ils ont la chance d’apercevoir quelques membres cornus de l’élevage du Lartet. Avant Lupiac, ils sont contraints à un arrêt. Notre Président se dégonfle, enfin pas lui, la roue arrière de son vélo. Quelques coups de pompe et ils repartent vers le village de D’ARTAGNAN. Ils le traversent et filent vers Aignan. Hélas, le pneu est cette fois à plat, la fameuse « crevaison lente ». Cette fois, il faut réparer. Dédé, l’expert désigné, se charge de la réparation : démontage , changement de chambre à air, remontage et gonflage sont exécutés en un temps record. Bravo Dédé ! Allez c’est reparti mon Kiki. Aignan, une belle descente , quelques bosse de plus et les voilà en bas de Termes. Nos trois compères décident de rentrer car ils sentent déjà que le chocolat chaud est en préparation. Izotges, Tasque, le bois de Darech et voilà qu’ils attaquent le dernier tronçon qui n’a plus grand-chose à envier aux pavés de Paris-Roubaix. Ils s’arrêtent sur la place de l’Église et vont déguster le chocolat chaud traditionnel au Ripa Alta cette fois-ci. Bilan , un peu plus de 60 km , quelques côtes, de beaux paysages, une malencontreuse crevaison, c’est parfait.

Semaine du 1er au 5

Samedi 4 janvier : Ils étaient quatre au rendez-vous pour cette première sortie 2020, Dédé, Olivier, Jean-Michel et Coco des Rouges. Après les vœux traditionnels et quelques hésitations sur le parcours, ils sont partis sous la conduite du gars des Rouges. Le premier arrêt imposé par le guide a eu lieu à Belloc où ce dernier a tenu a faire découvrir la fameuse porte de Belloc hélas si méconnue. Les 3 compères ont reconnu faire une découverte et se demandaient comment ils ne l’avaient jamais aperçue. L’ancien maître d’école de Jû-Belloc leur a promis de se renseigner sur l’historique de ce monument. Ensuite, ils sont repartis vers Labatut puis Maubourguet et sont arrivés au bas de la côte de Lahitte-Toupière. Malgré les restes des réveillons et divers repas de fêtes, ils ont avalé cette dernière. A croire qu’ils ont été raisonnables et n’ont pas oublié les règles de diététique indispensables aux cyclotouristes !
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Ils doublent le tracteur dans la montée? La déontologie journalistique m’oblige à dire que c’est le tracteur et sa remorque qui les rattrapent. J’espère que ces 2 cyclos ne m’en voudront pas mais il faut lutter contre les « fake news ». Eh oui, les agriculteurs ramassent encore le maïs 2019!

Après un petit coucou au château d’eau, ils sont descendus vers Vidouze et là ont pris vers le lac de Bassillon. Ils ont pu profiter du paysage et du silence de cette petite plaine paradisiaque. La côte de Moncaup a été un peu moins agréable à déguster que la précédente. La fatigue sans doute ! Au bas de cette belle descente nos pédaleurs ont hésité : en face, Sombrun et sa côte ou à gauche la plaine de Lascazères. Très rapidement, sans avoir besoin d’un 2ème tour de vote, l’option Lascazères a été choisie. L’adoption d’un rythme de croisière a permis aux conversations de reprendre. Soublaucause, Hères, Belloc, Jû où Coco a abandonné ses camarades pour une halte familiale et enfin Plaisance. Au final, environ 60-65 km pour une « reprise » en douceur fort sympathique par une température agréable pour la saison.

Jeudi 2  : La randonneuses des Rouges vous informe qu’elle a fait sa première sortie de l’année accompagnée de sa copine. Elles ont eu la joie  de transporter leur guide respectif  à Aire déguster un bon goûter. Elles ont compris  que les fêtes étaient finies lorsque la commande est arrivée: deux cafés mais une seule crêpe pour les deux cyclistes! J’avais bien trouvé que mon maître pesait un peu plus mais son moral va-t-il tenir à ce régîme? Enfin cela devait aller puisque nous étions en vue de notre quartier lorsque , à la sortie d’Izotges, nos pilotes ont bifurqué brutalement vers la droite. Il paraît qu’ainsi notre compteur indiquera bien 60 km! Enfin, nous sommes bien rentrés. Comme j’avais grincé horriblement , mon maître m’a aussitôt fait une séance de nettoyage-graissage. Eh oui, il avait fait oublié de graisser ma chaîne et mes pignons lors de la dernière séance.

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Nous voilà au repos!
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Eh oui, il prépare une seule crêpe pour deux!
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