2024

2024

Rappel :  Notre Assemblée Générale se tiendra samedi 11 janvier à 10 h à la Mairie de Plaisance salle n°1. Elle sera suivie d’un apéritif et d’un repas au restaurant « La Petite Toquée » à Plaisance.

Décembre

Mercredi 18 décembre:

Après 3 semaines d’interruption, les 4 retraités encore valides sont de retour. Il faut dire qu’entre le froid, la pluie, les douleurs des uns et des autres et un manque de motivation qui a trouvé ces prétextes, les vélos ont eu des vacances bien méritées. Toujours est-il que les 4 compères ont retrouvé les routes de sud, les moins accidentées pour une sortie vers Rabastens avec quelques variantes à l’aller et au retour mais en évitant soigneusement les pentes les plus fortes. Au total un peu plus de 60 km et comme il ne faisait pas assez chaud pour aller boire une bière, et pas assez froid pour déguster un chocolat, tout le monde est rentré sagement à la maison. Encore 3 ou 4 sorties et on va entamer une nouvelle année, avec une licence à l’USP ou sans, ce sera la question… 

NOVEMBRE

Samedi 30:

Les troupes sont démobilisées: Olivier fait du bois, Jean-Mi assiste à l’AG du Codep, les jeunes de Castelnau sont en piteux état, Chantal a des soucis de vertèbres, Maryse travaille. Christel a cherché en vain des partenaires et a fini par faire un petit tour seule, de même que Dédé dans ses collines. Tout ça sent l’hiver…

Jeudi 28 : « Nouvelle sortie de reprise » du duo des Rouges

      Le parcours a été  court , son compte-rendu sera donc succint. La prochaine fois, si leur forme leur permet , nos compères essaieront d’atteindre la célébre barre des 50 km.

https://www.openrunner.com/route-details/20324468

Mercredi 27:

Petite affluence aujourd’hui encore: Dédé, Olivier et Jean-Mi pour une sortie classique et peu accidentée. Départ pour Cahuzac en passant par Izotges pour changer, détour par les Barthères et le bois de Riscle pour éviter à Dédé d’affronter la piste cyclable qu’il ne digère toujours pas et poursuite jusqu’à Saint-Germé. C’est bien plat tout ça, on va tout de même se faire une petite côte: Saint-Mont, un petit bout de chemin de crête avant de regagner Riscle, son bois et le retour classique par Cahuzac et Galiax. 58 km mais les 3 compères estiment que c’est suffisant pour leurs vieilles carcasses.

Avertissement aux vieilles carcasses : Attention c’est bientôt la période du foie gras, des magrets  et des carcasses grillées!!! Planquez-vous! Bien sûr, cette alerte est amicale et son courageux auteur gardera l’anonymat.

Samedi 23:

Les 3 dames sont occupées, les 3 jeunes sont empêchés et 2 retraités sont pris par ailleurs. On se retrouve à 2, pas les plus jeunes, et on prend la route du sud. « Si on montait à Tourdun » ? Dédé estime que vu l’état du genou de son compère ce n’est peut-être pas raisonnable et comme Chantal n’est pas là, c’est une fois de plus Villecomtal notre destination par Buzon et Haget. Le vent n’est pas vraiment notre allié mais le faux-plat jusqu’à Rabastens est avalé en un rien de temps: route magnifique, vent dans le dos, tout va bien. Pour changer nous ne rentrons pas par Liac et Gensac. Les jambes n’étaient pas terribles mais le genou a tenu et après 66 km il ne restait plus qu’à regarder la télé pour le multiplex rugby

Samedi 16:

C’est le week-end, mais seuls 3 retraités sont présents à l’heure du rendez-vous. Pour changer des derniers circuits plats, on va corser l’affaire: d’abord Castelnau, puis Crouseilles avant de suivre le chemin de crête jusqu’à Viella. La descente par les Charmettes nous amène à Saint-Mont et Saint-Germé, mais là le genou du plus vieux commence à protester. Selon la rhumatologue, ce n’est que de la « vieillerie » mais ça commence à faire mal… et à force d’appuyer plus sur une jambe que sur l’autre, et par conséquent à être de travers sur le vélo, c’est le postérieur qui proteste, comme si on avait fait 5 ou 6 heures de selle ! 67 km mais que les 20 derniers ont été pénibles. Mercredi ce sera repos.

Mercredi 13 : Sortie du duo des Rouges

   Eh oui, ils sont sortis malgré la froidure naissante. Pourtant, le midi même , notre randonneur avait appris le forfait pour leur sortie aussi habituelle que fréquente de nos deux retraités Jean Michel et Dédé. D’un commun accord, nos deux compères avaient décider de laisser leur vélo au chaud car ils  craignaient  la température en baisse . Notre duo des Rouges n’écoutant que son courage et profitant d’un mercredi après-midi libre est donc parti quand même faire un tour certes assez court mais à l’extérieur. Ils ont pédalé tranquillement dans la campagne silencieuse accompagnés par les vols de palombes.

https://www.openrunner.com/route-details/20251444

Jeudi 7:

On est en semaine donc seuls des retraités sont présents, 3 précisément pour prendre une fois de plus la direction de Villecomtal par Buzon et Haget. Le temps est idéal une fois de plus mais un petit vent pas trop favorable vient contrarier notre progression. A Villecomtal, nous renonçons à pousser jusqu’à Sénac et optons pour un retour plus raisonnable avec vent dans le dos dans la vallée de l’Arros. Au pied de Saint-Justin, virage à gauche mais nous montons tout de même jusqu’à Sauveterre pour dire que le parcours n’était pas tout plat. Nous n’avons pas quitté les petits chemins jusqu’à Labatut et avons regagné Plaisance par un temps quasi printanier. Encore une soixantaine de km, c’est la dose en cette fin de saison.

Samedi 2 novembre:

Le beau temps est au rendez-vous et trois retraités sont accompagnés par Christel et Kévin pour un petit tour vers le sud. Il paraît que la route du lac de la Barne a été refaite alors on va jouer les contrôleurs des travaux routiers; effectivement, la partie défoncée a laissé place à un revêtement de gravillons beaucoup plus confortable et c’est rassurés que nous continuons notre sortie. Que du classique, Labatut, Lafitole, Nouilhan et Larreule, c’est tout plat mais Kévin a déjà un peu de mal. On le raccompagne à Mazères et nous l’abandonnons lâchement au pied de la côte de Castelnau qu’il nous promet de monter… à pied ! Rendez-vous dans 15 jours pour savoir s’il a cédé à la facilité. Un tour facile d’un soixantaine de km par un temps estival, seules les palombes nous ont montré qu’on est bien en automne.

OCTOBRE

Jeudi 24 : Nouvelle sortie solo pour notre pédaleur des Rouges

Cette sortie s’est déroulée sans encombres sous un soleil splendide. Notre baladeur a bien profité de ces éléments favorables. Il a croisé le groupe du club de St Germé toujours aussi soudé et bien discipliné, il n’est pas arrivé à les compter car ils pédalaient fort , il estime qu’ils étaient une bonne dizaine. Peu après, il a croisé avec plaisir Coco de Belloc  accompagné de Josiane et d’un des petits-enfants.

https://www.openrunner.com/route-details/20132302

Dimanche 20:

Chantal a remplacé Christel auprès des deux « vieux », non, »moins jeunes »  selon Dédé. Et si on allait à Rapastens ?

Encore dit Chantal. Oui mais avec deux variantes pour ne pas tomber dans la routine: à l’aller on grimpe jusqu’à Auriébat pour changer du plat, et après Villecomtal on grimpe à Saint-Justin. Est-ce que nous sommes en forme olympique ou est-ce notre mémoire qui flanche, en tout cas la montée de Saint-Justin nous semble moins longue et moins difficile qu’attendu. La circulation étant fluide, nous rentrons par la grande route à un bon train: 67 km, deux côtes et une bonne partie de manivelles, nous avons mérité l’apéro !

Dimanche 20 : Sortie solo pour le pédaleur des Rouges

Alléché par une météo plus favorable, notre randonneur a décidé de prendre l’air. C’est dimanche, il « décide » de partir un peu tardivement pour Maubourguet. A peine sorti de sa demeure, il évite une collision avec trois chevreuils qui sûrement se croyaient seuls sur l’Impasse des Rouges. Ils étaient tranquillement immobilisés sur le chemin et ne se sont décidés à traverser qu’à l’approche de notre baladeur. Heureusement, ce dernier venait de démarrer et n’avait pas encore sa vitesse maximale.

Le trajet aller se déroule ensuite dans le calme de la campagne. Les moissonneuses-batteuses sont sous les hangars car la semaine pluvieuse a détrempé les terres. Les agriculteurs vont pouvoir passer un dimanche tranquille.

Le café du bar des autobus est toujours aussi bon et servi avec le sourire. Notre cyclo-gourmet le boit lentement, non il ne traîne pas mais il prend le temps de la dégustation.

Le retour se déroule sur le même mode : pédalage en douceur et observation du paysage. Notre randonneur voulant rentrer de bonne heure , il prend le trajet le plus court. Cet après-midi, c’est rugby ( en spectateur bien sûr).

https://www.openrunner.com/route-details/20132355

Mercredi 16:

Les deux mêmes, renforcés par la présence de Dédé, ont eu le plaisir de voir Olivier qui a préféré ne pas rouler en raison d’une douleur au mollet, mais qui est venu donner de ses nouvelles. Le parcours du jour sera le petit circuit d’une future Randonnée des Vendanges, soit 54 km, traversant les villages de Tasque, Termes, Sarragachies et Maulichères; aucun de nous 3 n’avait emprunté la petite route menant à l’église de ce dernier village, assez pentue tant à la montée qu’à la descente. La suite a été plus classique: Saint-Germé, Saint-Mont, Maumusson, Balembitz n’ont plus de secret pour nous.

Seul incident à signaler: au sommet de la côte de Léon, nous constatons l’absence de Christel. Deux minutes d’attente, elle n’arrive pas, demi-tour et nous la trouvons au croisement de la route du bois de Riscle. Dédé prend les choses en mains pour un changement de chambre à air rapide et efficace, sous le regard admiratif de Jean-Mi qui aurait mis trois fois plus de temps… Seul mystère, Christel a appelé 3 fois, nous n’avons entendu aucune sonnerie, et arrivé à Plaisance mon téléphone mentionnait 3 appels rejetés et un message enregistré. Je ne comprends pas tout à ce monde moderne !

Lundi 14 :  Petite sortie des duettistes des Rouges

    Nos randonnneurs ont pris le mode automnal pour effectuer cette sortie : après-midi car il fait souvent plus chaud, distance réduite pour ne pas rentrer tard, dénivelé en baisse comme la température, trajet au fur et à mesure de leur envie… Ils ont eu la chance d’apercevoir un beau faisan qui salua leur passage d’un chant mélodieux, les Miscanthus qui repoussent et leurs fleurs éclatent en épis soyeux et élégants. Ils ont aussi vu de nombreuses moissonneuses qui avalaient le maïs. Le paysage va changer mais les palombes ne vont pas tarder à venir profiter des restes.

https://www.openrunner.com/route-details/20077018

Samedi 5 : Sortie organisé par le club d’Andrest 

   Il n’est jamais trop tard pour bien faire ! Nos deux randonneurs des Rouges, libres comme l’air ce samedi et chatouillés par le soleil, ont décidé de participer à cette sortie. Un des parcours leur a paru sympathique : 62 km , peu de dénivelé , un passage sur le plateau de Ger avec vue sur les Pyrénées…

   Après un pique-nique tiré des sacoches encore une fois et prissur place afin de pouvoir s’inscrire tôt, nos baladeurs ont été accueillis par les organisateurs dans une ambiance aussi conviviale que souriante.

   Après un bon café offert, nos pédaleurs se sont élancés sur le moyen parcours. Son tracé leur a permis de faire une bonne partie plane avant d’attaquer la côte de Lamayou. Cette côte était une des préférées de leurs amis , hélas disparus, JPR et Pierrot B.

  Ensuite ils ont eu la chance de pédaler sur le plateau de Ger avec une vue magnifique sur la chaîne des Pyrénées. A Gerdères, ils n’ont pas oublié l’arrêt ravitaillement. Ils ont eu droit à un accueil dans la bonne humeur et ce casse-croûte était vraiment aussi copieux qu’excellent.

  Deux petites « côtelettes » ont rendu le retour un peu plus « costaud » mais elles étaient abordables. Une belle descente les a ramenés vers Andrest.

 Là un délicieux casse-croûte attendait nos courageux et ils y ont fait honneur. Ils n’ont pas oublié de remercier et de féliciter les organisateurs. Le fléchage était parfait.

Jeudi 3 : Sortie landaise pour les baladeurs des Rouges

Non, ils ne sont pas allés écarter voire sauter les célèbres vachettes ! Notre duo a simplement , encore une fois, essayé de joindre un indispensable rdv et une agréable balade.

Le parcours avait été préparé à partir du circuit 9 intitulé « Circuit d’Albret » du CycloGuide des Landes à vélo. Notre « spécialiste » des tracés Openrunner avait bien sûr pris en compte ,pour définir leur itinéraire plusieurs paramètres.: météo, horaire du RDV, forme du moment, arrêt casse-croûte, pause-café , dénivelé , kilométrages.

Notre duo est parti de Mt de Marsan et a eu quelques difficultés à trouver comment prendre le fameux circuit n°9. Toujours ce problème du Fléchage en ville. Ils ont finalement trouver la piste cyclable qui prenait la direction de St Martin d’Oney. A partir de là, ils ont roulé au milieu des forêts de pins et de chênes décorés par de belles étendues de bruyère. C’était un peu monotone mais la route était confortable et relativement plate. Bien sûr, l’arrêt-repas tiré des sacoches. Le retour en ville a été bien plus facile que le départ car les panneaux fléchés étaient bien visibles et nombreux.

Voilà, nos baladeurs sont satisfaits de leur escapade. Ils ont fait une balade d’une soixantaine de km dans le calme des paysages landais.

https://www.openrunner.com/route-details/20009420

Jeudi 1er’ Octobre : Sortie à la capitale pour notre duo des Rouges 

   En ce premier jour d’octobre , notre duo ayant RDV à Auch a décidé de joindre le plaisir à l’utile. Depuis quelques temps , monsieur envisageait d’aller emprunter la voie verte « Auch- Aubiet ».

  Après avoir accompli l’indispensable ( rdv + repas) , notre duo s’est mis en route. Il a voulu commencer par pédaler sur « le chemin des Berges du Gers ». Notre cyclo avait repéré que cette promenade partait de derrière la piscine au Moulias. Après avoir demandé conseil à un nageur qui sortait de son entraînement , notre duo a suivi donc ses conseils . Hélas ils n’ont pas trouvé de suite leur route et ont , après quelques détours, fini par metttre leurs roues sur ces fameuses berges aménagées au niveau du Mouzon. Ils les ont suivies tranquillement puis les ont quittées pour se rendre à la gare.

  Là, à leur grand désappointement , pas d’indications de la voie verte. Il en faut plus pour décourager nos intrépides promeneurs, madame a dégainé son GPS et a eu vite fait de découvrir une route cachée . Cette dernière a permis à notre duo de découvrir près de la zone d’Engachies une entrée « secrète » sur cette fameuse voie cyclable vers Aubiet. Cet itinéraire aussi confortable que sécurisé les conduisit à bon port. Bien sûr, un arrêt à Aubiet leur paru indispensable pour admirer ce village et prendre un léger ravitaillement.

   Leur retour s’est déroulé par une autre route, monsieur n’aime pas revenir sur ses pas. Donc, nos baladeurs ont pris la plaine en direction de l’Isle-Arné puis la D349 suivi de la D626 . Cette « fantaisie » leur a imposé une montée d’environ 4 km pour atteindre Pessan. Ensuite , ils ont pris sagement la direction de leur capitale où ils ont emprunté une partie des « Berges du Gers ». Cela leur a permis de savoir où ils s’étaient trompés à l’aller et de bien sortir par le passage derrière la piscine ( non,Jean-Michel ils ne sont pas têtus comme des Gascons mais simplement persévérants).

Au final, une petite balade bien agréable mais qui a confirmé le problème du balisage en ville.

SEPTEMBRE

Dimanche 29 : Journée des Gersoises

   Cette année c’est à l’US Plaisance de recevoir la Journée des Gersoises. Dès 8 h 45 les premiers participantes de Masseube arrivent bientôt suivies de leurs collègues: au total 14 venues donc de Masseube, Saint-Germé, Auch, Samatan et Maubourguet, accueillies par Christel, Rudy et Jean-Michel. Il faut dire que cette Journée des Gersoises a été élargie à quelques messieurs (4) et à Annie des Hautes-Pyrénées à l’initiative de Nicole du CODEP 32, et personne ne s’en plaindra.

   Après un petit café et quelques viennoiseries (les merveilles préparées par Christel ont connu un franc succès), il est temps de partir. Une première côte et une première halte à Beaumarchès, puis c’est la route des crêtes qui nous permet d’admirer la chaîne des Pyrénées, à peine blanchie par endroits. Après un petit détour pour éviter une deuxième côte, nous arrivons à Bassoues pour admirer la halle, le donjon, visiter les toilettes de la mairie pour certaines, et la basilique Saint Fris.

   Sur l’aire de pique-nique du lac, les bancs et les tables n’ont aucun succès; tout le monde préfère profiter des rayons de ce soleil automnal après les premiers kilomètres un peu frisquets. après un déjeuner frugal, quelques photos, quelques coups de fil et pas mal de bavardage, il est l’heure de repartir. Jeanine m’informe qu’il est de tradition de boire un café accompagné d’un peu d’Armagnac lors de cette journée des Gersoises. Il faudra attendre Marciac car ni à Saint-Christaud, ni à Laveraët ce ne sera possible. L’organisateur de la journée pousse le dévouement jusqu’à crever  pour permettre aux participantes de visiter l’église de Saint Christaud pendant qu’il répare (en réalité il cherche à éloigner tout le monde afin de cacher sa maladresse lors de cet exercice). Quand tout est rentré dans l’ordre, en route vers Marciac et le Café des Sports pour un café et un petit « canard » préparé dans les règles de l’art par Fabienne. Le retour par les chemins plats de la campagne est suivi d’une petite collation (les merveilles de Christel sont terminées en peu de temps) et d’un petit mot de remerciements de Nicole.

   Nous remercions aussi Odile du CODEP 32 qui a transporté le pique-nique et accompagné le groupe en voiture à défaut de pouvoir le faire en vélo. Au total une belle journée même si nous aurions aimé être davantage.

le départ

Bassoues le haut

Bon appétit! Eh oui, parfois il fait beau

Arrêt Armagnac Marciac.

Mercredi 25 : Eh oui, le duo des Rouges a enfin repris le vélo.

      Oui, il n’est ni allé loin ni allé vite mais il a réussi à emprunter la route des Majestés et a passé par les Contes donc nous n’étions pas loin d’une sortie royale. De plus , l’après-midi , il a remis cela.  Tommy,  leur petit-fils, lorsqu’il a vu les Randonneuses que Papi n’avait pas rangées a manifesté le désir de faire une balade à vélo. Il a su trouver les arguments pertinents pour que sa demande soit acceptée. 

https://www.openrunner.com/route-details/19969811

Compte – rendu de notre randonnée  des vendanges

Jeudi 19

Le fléchage de cette randonnée a eu lieu le jeudi 19 septembre. Les « Indiens » habituels , Dédé, Jean-Michel et Claude, étaient cette fois aidés par Olivier, un néophyte dans ce domaine. Dès 9 heures, nos Mousquetaires étaient sur la pied de guerre. Après une brève concertation , l’organisation décidée a été : une voiture avec Jean-Michel en chauffeur , Dédé et Olivier 3 « flècheurs ». Cette année, c’est fléchage au sol. Claude de son côté était chargé de la sécurisation des parcours pour les cyclistes et pour les voitures à partir de panneaux verticaux. La terre étant souple la plantation des piquets s’est avérée facile.

Au passage à Marciac, la pause café traditionnelle a été bien sûr respectée mais sans pâtisseries , Claude a été un peu déçu mais cette année s’est sérieux.

Après cet arrêt, nos volontaires sont repartis. Ils ont passé la matinée à se rejoindre, à se doubler.

Vers midi, leur mission était accomplie. Leur sérieux et leur rapidité est à louer car d’habitude, il fallait s’y remettre l’après-midi.

Il faut dire que le temps ensoleillé avait facilité leur tache.

Jean-Michel notre Président eu alors la gentillesse d’inviter toute son équipe au restaurant « La Pergola ». Vraiment , cet homme mérite d’être Président à vie. Les membres de cette équipe se sont aussi bien tenus à table qu’au fléchage.

Samedi 21

A 19 h, de nombreux licenciés étaient présents pour préparer la salle, dresser les tables pour le repas, préparer les ravitaillements… A 20 h, tout était en place ! Tout est parfait mais la météo annoncée pour le lendemain inquiète tous les présents.

Dimanche 22

Hélas , comme annoncé, il pleut , il pleut, il pleut…Bien trop pour mettre un cyclotouriste dehors. Le café et les gourmandises sont prêts mais cela n’attire pas la foule. Au niveau de l’implication des licenciés de l’USP , rien à redire 15 présents sur 20 ! Par contre seulement 4 courageux cyclos ont pris la route ( 3 sur le grand circuit et 1 sur le petit). Le premier point de ravitaillement de Laveraët a accueilli les 4 courageux mais le menu « ventrèche » avait été remplacé par un menu « rilletttes  ». Le deuxième à Bassoues n’en a vu passer que 3 car le 4ème craignant plus l’humidité avait opté pour le parcours plus court qui ne passait pas à Bassoues.

Il faut noter que certains cyclos et marcheurs qui étaient inscrits sont venus quand même et ont attendu patiemment le moment du repas. Nous les remercions vivement.

A 12h 30, les discours brefs mais précis ont précédé l’apéritif. Le « bourret » était excellent ! , merci Vincent.

A 13h, tout le monde était à table, une quarantaine de convives a fait honneur à l’excellent repas gascon préparé par Jean -Pierre et son épouse. La garbure était fameuse, la cuisson des magrets était parfait et les croustades délicieuses ! Le service , comme d’habitude, était assuré de main de maître par l’ensemble des licenciés. Tout s’est passé dans un esprit aussi convivial que bon-enfant.

Pour les comptes financiers on verra plus tard.


Notre Président co-chroniqueur de cette page « Dernières nouvelles » vous prie de l’excuser pour ce compte-rendu  bien tardifdes sorties des 4 dernières semaines. Il précise : « Ma mémoire me joue des tours, j’ai noté les noms des participants et les trajets, mais faisait-il beau ou non ? Le vent soufflait-il ou non et dans quelle direction ? A chacun d’imaginer à sa guise… Ce qui est sûr, c’est que les conversations ont été animées. »

Mercredi 18: 

On reprend une partie des mêmes et on recommence. Seuls Christian et Christophe sont absents pour cause d’activité professionnelle, quelle idée. On retourne à Villecomtal, mais par une autre rioute, celle de Malabat et Betplan, il ne faut pas tomber dans la routine non plus. Par contre après Villecomtal c’est la découverte pour les 3 plus jeunes: un endroit qu’adorait notre regretté Jean-Luc, le Vallon des fées. Chacun monte à son rythme, certains ne sachant pas exactement ce qui les attend. Au sommet j’entends Dédé me dire avec un grand .sourire: « ils sont pas mal les vieux ». Le retour permet à Chantal de nous faire une démonstration dans la descente du Puntous de Laguian et tout le monde se regroupe pour un retour par Haget. Encore une sortie bien agréable d’environ 70 km.

Dimanche 15:

La sortie sur la journée au lac d’Arrêt Daré a enfin lieu après hésitation sur la date. Chantal et Christel sont en compagnie de Christophe, Olivier, Jean-Mi et Dédé qui a réussi à convaincre son frère Christian. L’aller se fait à allure modérée, avec un vent légèrement favorable et une température un peu frisquette. La côte d’Armentieux est la seule difficulté au programme et les villages défilent allègrement: Buzon, Haget, Villecomtal, Montégut (et sa digue), Saint-Sever. A la demande d’Olivier petite pause ravitaillement avant d’enchaîner Chelle-Débat et Cabanac. Après le croisement avec la D 21 il ne reste plus qu’à monter le faux-plat qui nous sépare de lac et là surprise: Christophe, qui est resté tranquillement dans les roues jusque là, nous gratifie d’un démarrage à 300 m du but… Pas très fair play !

Tant pis, on l’accepte tout de même d’abord pour une petite bière, puis pour un apéro autour d’une grande assiette de charcuterie. Le cadre est superbe, nous avions sorti les tables de l’ombrage des chênes pour profiter d’un magnifique soleil et les conversations vont bon train. Comme en plus les serveuses sont très agréables et les plats excellents, et copieux, l’USP offre le repas à tous ces courageux à condition de repartir à 14 h. Le restaurant s’appelle la Guinguette du Lac et nous le recommandons vivement. A 14 h précises le peloton se remet en route, à une allure un peu plus vive malgré un petit vent trois quart face. La route rappelle à certains les circuits de la cantonale de Rabastens, puis un parcours bien connu jusqu’à Maubourguet. A noter que Christophe, à qui nous avons demandé de prendre des relais, a renoué avec une de ses habitudes: rouler 80 m devant les autres afin de bien les protéger du vent. Au final une bien belle journée, une sortie dépassant les 100 km, le tout dans la bonne humeur. Et si on recommençait en octobre dans une autre direction ?

Ils mangent

Ils mangent ENCORE

Ils mangent TOUJOURS

Je sais vous vous demandez comme moi  » Ont-ils pédalé??? ». Aucune photo n’atteste leur effort sportif!!! Nous allons leur accorder le bénéfice du doute pour cette fois!

Dimanche 8 :

Après une semaine pluvieuse sans vélo, on prend presque les mêmes (Serge a remplacé Dédé qui célèbre une cousinade) pour tester le moyen circuit de la Randonnée des Vendanges. Après Marciac et la montée de Lavaraët, Serge découvre la côte qui conduit à Pouylebon et la descente vers le château de Haget. Le retour de Montesquiou à Beaumarchès respecte le parcours prévu mais nous évitons de remonter sur la route sans nom, celle des cîmes, pour que Christel rentre un peu plus tôt, invitation oblige. Près de 65 km, ceux qui viendront à notre randonnée auront peut-être une surprise entre Saint-Christaud et Pouylebon.

AOÛT

Jeudi 29:

Les deux septuagénaires ont changé de partenaire et c’est Christel qui les accompagne sur un circuit plus accidenté mais un peu plus court dans la Gascogne bosselée sur les traces de d’Artagnan: Termes, Aignan, Lupiac, Peyrusse et Armous-et-Cau. 63 km.

Dimanche 25:

Chantal, Dédé, Olivier et Jean-Mi pour un classique des reprises sur le plat en partant vers Villecomtal et en revenant par Rabastens et Maubourguet. Je me souviens seulement que Chantal nous a accompagnés jusqu’à Plaisance avant de prolonger sa sortie. Elle voulait aller au delà de nos 70 km pour préparer l’excursion à venir au lac d’Arrêt Daré.

Mercredi 21:

Assistance réduite aujourd’hui. Il faut dire que Maryse attend la livraison de son abri de jardin et que Dédé est privé de vélo en raison d’un problème de dérailleur qui le chagrine depuis plusieurs sorties. Par contre Olivier fait son retour après sa semaine de bénévolat aux J.O. et 15 jours de vacances à Capbreton. Pour sa rentrée on va faire du plat, mais il s’avère qu’il a roulé plusieurs fois dans les Landes et que la forme est bien présente. Après un passage aux Barthères, à Riscle et Saint-Germé, nous grimpons la côte de Saint-Mont et revenons par le bois. La boucle semblant un peu courte, détour par la lac de Préchac, Ju-Belloc et le pied du lac de la Barne. Si nous évitons d’aller jusqu’au lac lui-même, ce n’est pas par crainte de la montée mais en raison d’une chaussée fortement dégradée… Traditionnelle halte au Plaisantin car nous avons encore des choses à nous dire et qu’il fait soif malgré un temps doux et frais. 61 km au compteur et même pas mal aux jambes, Christel monte en puissance et compte bien s’attaquer au Tourmalet, avis aux amateurs.

Samedi 17:

A nouveau 6 participants, Chantal, Christel, Dédé et Jean-Mi sont à nouveau présents, en compagnie cette fois de Maryse et Kévin. Les ambitions sont plus limitées que jeudi, certaines étant rentrées un peu plus tard que d’habitude et ayant peu dormi… Nous irons à Rabastens par Auriébat. Alors que nous roulons tranquillement en papotant, une voix se fait entendre: « Quel menteur celui là ! »  Serait-ce la voix de l’Aigle de Sombrun ? Mais oui, ayant vu du jaune et noir à l’horizon, il a sollicité son assistance électrique pour nous rejoindre et nous faisons route commune, bouleversant ses projets initiaux. Après Artagnan et Vic en Bigorre, nous nous séparons à Maubourguet: depuis qu’il a son VAE, Michel rentre chez lui en empruntant systématiquement la côte de Lahitte. Nous apprenons avec plaisir qu’il sera des nôtres pour la Randonnée des Vendanges. A noter que les 5 plus âgés ont laissé Kévin gravir tout seul la côte de Castelnau, mais après l’avoir félicité: c’est la première fois qu’il franchit la barre des 75 km et sans se faire lâcher. Bravo à lui.

Jeudi 15:

Le peloton s’étoffe: deux dames, deux jeunes de Castelnau et les deux vieux. Et si on allait vers Corneillan pour reconnaître un éventuel parcours de la 13ème Randonnée des Vendanges en 2025 ? Personne n’y voit d’objection donc c’est parti. Début classique par Cahuzac, Riscle et Saint-Mont, puis c’est Corneillan. Nous n’étions plus passé par là depuis des années, en compagnie de Jean-Luc. Décidément il nous accompagne souvent lors de nos sorties. Au lieu de redescendre jusqu’à Bernède, cap à gauche pour gagner la route d’Aurensan à Saint-Mont. Rudy qui s’est enthousiasmé dans les montées commence à payer sa débauche d’efforts. Après Maumusson, il préfère éviter la côte de Cannet et rentrer par Madiran. 69 km au compteur mais de jolies côtes et on se donne rendez-vous pour  le samedi suivant.

Dimanche 11:

Maryse ne connaissant pas la côte de Lamayou, nous décidons de la lui faire découvrir.L’approche se fait Maubourguet, Nouilhan et Caixon. Montée très agréable par une température douce et à l’ombre, dans notre souvenir c’était plus dur mais il faisait sûrement plus chaud et on avait roulé plus fort. Arrivés à l’église de Lamayou, pas de panneau: celle de droite descend alors qu’on voulait rentrer par la route de crête, on évite; celle de gauche doit rejoindre la route de Pau, c’est pas notre but; alors c’est parti pour celle du milieu. Après quelques centaines de mètre, ça descend et Dédé fait remarquer que l’ herbe au milieu de la route ce n’est pas bon signe… et effectivement après un bon kilomètre de descente on retrouve un chemin empierré emprunté quelques semaines plus tôt ! Heureusement, après ce passage désagréable, le goudron réapparaît et le panneau Castera-Loubix. Il ne reste plus qu’à remonter sur une petite route à l’ombre de grands arbres, de suivre le chemin de crête jusqu’à Lahitte et de rentrer par Hères. Jolie sortie de 75 km malgré une nouvelle erreur d’orientation du Champenois perdu.

Lundi 5 et mardi 6 août: Randonnée des Mousquetaires Gascons C5 en Ténarèze.

      Profitant d’une accalmie dans leur emploi du temps de papimamie, nos duettistes des Rouges sont partis effectuer le Circuit 5 de la Randonnée des Mousquetaires Gascons. Leur départ a eu lieu le lundi 5 de Vic Fezensac. Il sont commencé par prendre un café au D’ARTAGNANT afin de faire tamponner leur feuille de route. Craignant la chaleur annoncée, ils sont partis assez tôt vers Lannepax. Hélas, dès la première côte , le dérailleur de la randonneuse de notre cyclote a refusé de passer sur le petit pignon. Après une auscultation rapide de l’engin, l’origine de la panne était détectée par notre duo et tout rentrait dans l’ordre. Hélas, sûrement déconcentré par cet incident, notre duo faisait une errreur de parcours entre Lannepax et Gondrin qui , malheureusement , augmenta le kilomètrage jusqu’à Gondrin. Ce n’est pas grave, c’est le risque de s’aventurer en terres inconnues!  Le parours se poursuivi vers Séviac et sa villa gallo-romaine puis Montréal et Fourcès classé parmi les plus beaux villages de france. Le repas de midi est sorti des sacoches et dévoré dans ce  village très fréquenté. Un petit café au  prix un peu salé puis notre duo a repris son périple. Les villages se succèdent : Larresingle , la petite Carcassonne gersoise, Mouchan, et Condom. Là, nos cyclos qui commencent à souffrir de la chaleur et de l’enchaînement des côtes ont fait  une pause pour acheter le repas du soir et faire tamponner la feuille de route. A la sortie, il nos deux courageux ont été obligés de s’arrêter pour  s’orienter afin de trouver leur gîte pour le soir. Catastrophe, ils ont constaté alors qu’ils avaient oublié de faire apposer le fameux tampon. Le vaillant chevalier a donc rebroussé chemin et est revenu à l’Intermarché et a , cette fois, bien fait tamponner ce sacré tampon. Après il est reparti retrouver  sa « moitié » qui l’attendait, à l’ombre,  au bord de la route et en avait profité pour étudier la carte en détails. La fin du parcours a été très rude en raison de la température trop élevée et d’un « méchant » dénivelé mais, vers 19h,  nos téméraires pédaleurs sont aarrivés à bon port. Leur gîte était caché mais fort agréable et leur hôte a été fort aimable. Après une douche réparatrice et une longue séance d’étirements , nos cyclotouristes se sont installés bien à l’ombre afin de déguster le délicieux repas acheté à Condom. Ensuite , la chambre et gros dodo pour eux. Au matin, un copieux petit déjeuner les attendait, ils y ont fait honneur comme de bons Gascons qu’ils sont.

     Le mardi, nos cyclos sont donc repartis vers La Romieu , Maignaut-Tauzia, Valence sur Baïse, Saint Puy et Castéra-Verduzan. Ils se sont arrêtés dans certain d’entre eux afin de les visiter en partie : La Romieu où pèlerins et touristes se croisent dans la bonne humeur et  certains partent à la recherche de nombreuses statues de chat dans le murs du village ( Voir la légende des chats d’Angeline);  Saint Puy , berceau du célèbre cocktail  » le Pousse-Rapière » puis  la cité thermale de Castéra-Verduzan. Là, nos cyclotouristes ont fait une longue pause au Bistro Salé Sucré  où ils n’ont pas oublié cette fois de faire apposer le célèbre tampon. Les fameux et si précieux  tampons permettent de faire valider le carnet de route de la Ronde des Mousquetaires Gascons. Ils ont décidé de repartir pour avoir le temps de finir tranquillement les 25 derniers kilomètres. Hélas, la fin de ce parcours a été un peu gâché par l’état de la route entre Castéra-Jegun-Bonas. En effet , ce chemin venait d’être goudronné et abondamment  gravillonné et cela entraîna plusieurs fois le blocage de la roue arrière, bien alourdie par les sacoches, de la randonneuse de Monsieur . Notre cyclo n’a guère apprécié ces multiples arrêts imposés et surtout les redémarrages en pleine pente. Enfin, la route de crêtes après Bonas leur a permis d’atteindre plus facilement la magnifique descente qui leur a ouvert  l’arrivée dans Vic Fezensac. 

      Bilan, la Ténarèze a offert à nos deux Gascons Cyclotouristes de magnifiques paysages parsemés de champs de sorgho et de vastes étendues de tournesol. Les visites ou traversées des  villages leur ont  permis de constater le caractère typique de chacun d’entre eux. Ils reviendront sans doute dans le coin en simples touristes ( les randonneuses resteront au repos).

PS : Pas de photos afin de ne pas « gêner » les futurs cyclos qui se lanceront sur ce magnifique circuit.

Dimanche 4 août:

Les trois anciens reçoivent le renfort des deux benjamins du club. Après le sud, nous mettons le cap au nord: Termes, Sarragachies et des chemins incertains qui commencent à inquiéter Dédé. Craindrait-il une nouvelle crevaison ? Il est vrai que nous sommes dans des parages qu’aucun membre du groupe ne connaît: sur la route de Saint-Griède nous avons tourné à gauche vers Caumont, c’est plein de montée et de descentes; on passe un château d’eau et après le village de Caumont (qui a vu un village ?) on retrouve la petite route de Saint-Germé. Kévin commence à en avoir plein les jambes et le retour se fait au plus court par le bois de Riscle, la route de Tarbes et la côte de Castelnau où nous accompagnons Rudy, en pleine forme, et Kévin qui serre les dents et reste vaillamment sur son vélo. 67 km jusque chez Claire où nous rencontrons Jean-François Brosseau avant de rentrer au frais.

JUILLET

Pour notre club , ce mois de juillet a été malheureusement marqué par une bien triste nouvelle! En effet , nous avons appris  le décès de Pierre Brosseau le 13 juillet. 

   Passionné de vélo, Pierrot a été l’un des membres fondateurs de notre club. Il a été ,pendant des années, un formidable fédérateur et un de ces membres les plus actifs. Rarement absent pour une sortie, il avait une grande connaissance des parcours. Il était souvent devant n’hésitant pas à mettre à l’abri ses camarades un peu en difficulté. Etre derrière ne lui plaisait pas trop alors , les rares fois, que cela lui arrivait il serrait les dents , appuyait sur les pédales et revenait vite dans la tête du peloton. Quelques ennuis de santé, il y a quelques années, l’on contraint à arrêter le cyclotourisme.

   Aussitôt , il s’est mis à la marche avec Françoise sa chère épouse. Ils sont devenus rapidement des marcheurs aguerris.

   Hélas, ce roc qui nous paraissait indestructible nous a quittés, le 13 juillet, après une opération souvent qualifiée d’anodine mais qui a eu raison de son cœur fatigué et l’a ôté à l’affection des siens.

  Pierrot a apporté de la joie et de la bonne humeur à tous ceux qui ont eu le bonheur de le côtoyer. Il était très attaché aux siens : Françoise sa « moitié », son fils Jean-François cyclotouriste émérite, sa fille Valérie, ses petits-enfants…

   Tous les licenciés actuels ou anciens de notre club assurent aux siens que Pierrot demeurera dans leur mémoire et l’histoire de notre club.

Mercredi 31:

       Pour terminer en beauté ce mois de juillet, Christel, Dédé, Serge ont choisi d’accompagner leur président sur les routes du sud, en ayant en vue les Pyrénées sans toutefois aller aussi loin. L’objectif est, après Villecomtal, de grimper la côte de Sénac par son versant oriental; L’ascension se fait tranquillement et à Rabastens nous optons pour Artagnan et Vic en Bigorre. Malheureusement Dédé est victime d’une bouche d’égout aussi fourbe que cruelle, il crève. Décidément nos dernières sorties sont placées sous le signe de la poisse. D’autant que sa chambre à air refuse de se laisser gonfler… Nous pensons avoir la solution avec la bombe de réparation de Serge mais quelques km plus loin un jet de mousse montre que ce n’est pas la solution miracle. Avec Christel nous poursuivons doucement notre remontée vers le nord tandis que les deux mécanos chevronnés changent à nouveau de chambre à air. Regroupement général à Maubourguet et il ne reste plus qu’à rejoindre Plaisance après 88 km et quelques émotions.

Samedi 27 ( bis) : Sortie cyclo-culturelle improvisée du duo des Rouges

     Honteux de faire partie de la liste des absents qui ont eu tort une fois de plus, notre duo  demande à son Président de bien vouloir l’excuser . L’emploi du temps cahotique de ce duo de grands-parents ne lui a pas permis de prévoir qu’il pourrait prendre le vélo ce jour là. Donc, dimanche, ils sont partis assez tard vers Maubourguet pour aller y admirer une remarquable exposition  de photographies. Comme d’habitude, ces œuvres étaient exposées dans la ville. Elles étaient aussi belles les unes que les autres et de  différents styles. Après une visite détaillée, cela a été  l’heure sacrée du repas. Où se ravitailler un dimanche. Le membre masculin de notre duo a trouvé la solution. Il faut remarquer  qu’il réfléchit mieux quand il a faim. Il est entré chez Dubertrant ( boucher-traiteur) et a choisi un menu diététique ( salade piémontaise,  quiche et bien sûr flan) et économique. Le patron lui a demandé où était Christel , il était étonné à la couleur  de leur maillot qu’elle ne soit pas là. Notre pédaleur-client n’a pas su lui répondre mais l’a rassuré en lui indiquant qu’elle était allée grimper la Hourquette d’Ancizan il y a peu de jours. Nos sont alors allés pique-niquer sur le joli peti espace aménagé pris de la petite route du stade. Ils ont dégusté le repas  » préparé » par Monsieur tranquillement entourés de photographies. 

Ensuite, ils ont réfléchi longuement à la suite et ont finalement opté pour un retour par Marciac et son festival de jazz. Ils ont franchi avec une certaine facilité la côte d’Auriébat puis celle de la Saubolle. Leur repas sportif de midi explique , peut-être cette aisance aussi soudaine qu’inhabituelle! Après un arrêt musical en prenant leur café. Ils sont repartis vers les Rouges  en passant par Juillac . Retour cinq minutes avant le cour d’envoi du match de rugby à 7 Afrique du Sud – France, ça c’est de l’improvisation!

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Samedi 27: Sortie « club » à Gayon.

La concurrence a été forte avec tous les événements de juillet ! Nous ne sommes que 4 pour cette journée club. Un peu après 9 h nous enfourchons nos bicyclettes, le programme n’est pas trop chargé pour la matinée puisque le restaurant nous attend à partir de midi. Plutôt que de faire court, nous optons pour un trajet un peu plus long mais qui évite les gros obstacles: après un passage par le bois de Riscle, il n’y a que la petite bosse avant de plonger sur Saint-Mont et la montée à Viella par les Charmettes est nettement moins difficile que les autres accès à ce village. A Diusse, il faut tourner à droite mais il y a plusieurs chemins… on prend le premier qui s’avère ne pas être le moins pentu, tant pis on y est. Ensuite on longe la vallée du Lées sans aucune difficulté marquante et c’est Gayon. 48 km en 2 h 30, les moteurs n’ont pas trop chauffé.

Le restaurant « Au Rey » nous propose un menu substantiel: garbure, salade gasconne, tête de veau sauce ravigote ou ris de veau, dessert. L’occasion pour Dédé de goûter pour la 1ère fois à la tête de veau (et il a aimé) avant de choisir entre omelette norvégienne, île flottante ou dessert gourmand. Nous commençons à nous demander si la côte de Lembeye va être compatible avec ce petit festin. La réponse est oui, mais il est vrai que nous sommes repartis à la même allure que le matin, sans intention de nous faire mal. Seul hic, nous pensions nous arrêter à « La palombe gourmande » pour voir le match des Français contre l’Afrique du Sud: nous trouvons porte close.Tant pis, on s’arrête à chaque carrefour pour suivre l’évolution du score et nous avons une bonne raison d’arroser leur victoire à notre arrivée à Plaisance. 88 km sur la journée par un temps couvert bien agréable, nous n’étions que 4, dommage pour les absents qui ont eu tort une fois de plus.

Nous n’avons pas de photo pour illustrer cette sortie, mais Christel a photographié les plats si quelqu’un est intéressé

Dimanche 21 : Président cherche club désespérément.

Au départ de Montesquiou, pas un seul Plaisantin pour m’accompagner. Entre les vacances, la concurrence de Jazz in Marciac, les obligations familiales, les maux en tout genre, les fêtes aux villages, il est bien seul le président. Et parmi la vingtaine de cyclos qui s’inscrivent pas un seul visage connu… Tant pis, je me joins au premier groupe qui démarre: 8 cyclos de Lectoure et Masseube qui partent tranquillement et grimpent gentiment la côte du château de Haget, l’allure me convient parfaitement, je crois que nous allons faire un bout de chemin ensemble. Malheureusement, tout le monde s’arrête à Pouylebon parce qu’il en manque 2 ! Tant pis, je continue, un groupe va bien me rattraper. Je passe Saint-Christaud, Mascaras, Scieurac et Flourès , toujours personne et le vent mauvais d’ouest-nord-ouest commence à me faire souhaiter de plus en plus fort un peu de compagnie. Ah! A l’approche de la route de Bassoues j’entends des voix (non je ne suis pas Jeanne d’Arc, c’est bien vrai) quelqu’un dit: « c’est le régional de l’étape ». Je me retrouve en compagnie de 3 collègues de Masseube et d’un de Lectoure qui vont rouler avec moi jusqu’à la fin de la randonnée, et c’est ensemble que nous affrontons une vraie vacherie: une côte à l’entrée de Peyrusse Grande en venant de Gazax qui présente un 13 %, et même 15 % selon les Mirandais hilares qui tiennent le point d’eau et nous demandent si on a aimé…

La suite est connue jusqu’à Belmont et la route de Vic mais j’entre dans l’inconnu vers Tudelle, Bazian, Riguepeu et près de Mirannes. Aucune côte n’est vraiment difficile mais la succession est éprouvante d’autant qu’il n’y a pas un mètre de plat. Dans le groue, personne ne connaît ces chemins. Par contre après avoir retrouvé la route d’Auch à Montesquiou et le chelmin de Lizet, je peux faire mon malin et expliquer à mes compagnons ce qui nous attend. La belle descente sur Monclar et la portion de plat vers le stade de Montesquiou sont un vrai régal, d’autant que le vent a légèrement tourné. Au total une belle randonnée, un temps frais et même un petit crachin pour finir, des compagnons sympathiques, les 75 km et 900 à 1000 m de dénivelé annoncés et une super sieste après la douche et le repas conconcté par ma Doudou.

Le club n’est pas mort: à mon retour j’ai reçu des nouvelles de Serge qui est allé à Labenne pour tester les sentiers de VTT et de Christel qui avait une revanche à prendre sur la Hourquette d’Ancizan. (preuve jointe si j’arrive à l’envoyer)

Mercredi 17:

2 retraités et 1 active en congé. Et elle en profite bien puisqu’elle a, la veille, été gravir l’Aspin à partir de Bagnères. Cela n’a pas la même saveur que l’Aspin de Noël mais c’est vraiment louable. Comme elle a bien travaillé la veille, nous optons pour une sortie moins accidentée par Maubourguet, Rabastens et tout de même la côte de Sénac. Si le vent était plutôt défavorable à l’aller, le retour se fait dans la facilité par Villecomtal. 83 km tout de même.

A noter que Dédé a crevé entre Labatut et Maubourguet, troisième crevaison pour le groupe en 4 sorties… Personne n’avait crevé depuis le début de l’année, on rattrape le temps perdu ! Et Christelle a remercié ses 2 compagnons en leur donnant casquette LCL, bob Skoda et décapsuleurs Le Gaulois, souvenirs du passage du Tour dans le Tourmalet.

Dimanche 14:

 5 au départ avec pour but Lembeye. L’allure est modérée mais rapidement Kévin éprouve des difficultés: ses kilos supplémentaires et une petite forme lui posent problème et Rudy propose de le raccompagner à Castelnau. Il n’aura même pas vu Vidouze ! Les 3 survivants, Christel, Dédé et moi, entament la montée par Bassillon-Vauzé, route fétiche de l’Aigle de Sombrun, adoptée par le duo des Rouges et qui convient parfaitement aux 3 compères.Le retour par une belle descente, la côte de Lasserre au revêtement parfait, les 5 km de descente sur Madiran et Château Perron se font dans la bonne humeur, même si l’ascension de la 1/2 côte de Castelnau est soigneusement évitée. Jolie sortie de 60 km. Au retour un petit coup de fil à Kévin nous apprend qu’il est bien rentré mais qu’il a mal aux jambes. Quelle idée !

Au fait, personne n’a crevé aujourd’hui…

Mercredi 10:

C’est le jour des retraités ! On n’est pas allé à Viella depuis longtemps, donc c’est la destination du jour. Et pour changer de la route traditionnelle on monte par les Charmettes. Serge est 20 m devant mais nous entendons un Pschitt caractéristique ! L’occasion pour Dédé et moi de voir comment on change un boyau… et on ne regrette pas d’avoir des pneus avec des chambres à air. Après avoir fini l’ascension, on opte pour la crête jusqu’à Crouseilles, Madiran et la côte du château d’eau, mais comme il est encore tôt on prolonge vers Hères, et encore un peu vers Caussade et on a même le temps d’aller boire une pression-pêche (chacun !). C’est bien de partir à 8 h. On peut faire 80 km et boire un coup en prime.

Lundi 8 : Promenons-nous dans les bois de Riscle

Le duo des Rouges a profité de la fraîcheur matinale afin d’aller balader. Il fallait bien ça après les fêtes de Tasque leur splendide village.

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Dimanche 7 : Notre satellite-espion a détecté 4 cyclos plaisantins décollant , vers 9 h, en direction de Saint Aunix. Nous devrions avoir de leurs nouvelles lors d’un prochain compte-rendu de notre Président-écrivain.

Dimanche 7: Notre Président nous donne les infos si attendues

On est 4 dont une féminine, alors pourquoi ne pas tester le parcours que l’US Plaisance va proposer aux Gersoises pour le 29 septembre ? Il commence par un peu de plat vers le sud avant de tourner vers le pied de Beaumarchès. Forcément ça se corse ensuite mais on connaît bien la route jusqu’à Bassoues, surtout qu’on a évité la dernière côte pour passer devant Betty Beef. La halle n’est pas déserte, le restaurant est fermé mais plusieurs commerces se sont installés et donnent un peu de vie à l’endroit. Après une pause au lac, lieu prévu pour le pique-nique des Gersoises, on remonte vers Saint-Christaud et la belle descente entre Laveraët et Marciac. Le retour se fait par les chemins de campagne, moins de 60 km au compteur par un temps idéal.

Seul hic, en roulant dans les cailloux mon pneu arrière a rendu l’âme. Je n’ai même pas eu le temps de faire quoi que ce soit, Dédé et Serge ont pris les choses en main sous le regard amusé de Christel.

Mercredi 3 juillet:

En semaine c’est réservé aux retraités, récent ou plus anciens et le peloton ne compte que 3 participants. Là encore on fait dans le classique: Cahuzac, bois de Riscle, Saint-Germé et retour par Sarragachies et Termes. Le temps est idéal, le vent peu violent mais on rentre tôt, étape du Tour oblige.

56 km, c’est pas mal pour des vieux !

Mardi 2 juillet : Le duo des Rouges se lance dans la reconnaissance du Grand Circuit des Vendanges même « plus grand que grand » puisque nos deux courageux cyclos démarrent non de Plaisance mais de leur beau quartier de Tasque les Rouges. La première partie est plate et se finit par un bon café à Marciac  au bar habituel. Après un petit tour au Casino ( le magasin) afin de faire les achats pour le pique-nique, nos deux aventuriers se lancent sur la partie suivante . Cette dernière s’avère plus pentue , en effet jusqu’à St Christaud ça monte . Après ça descend mais pas longtemps, il faut ensuite  grimper  jusqu’à Pouyebon puis descendre jusqu’au bas de Monclar. Et là, bien entendu, une belle ascension jusqu’au haut du village. Prudents, nos deux lascars sortent la carte, google maps … afin de s’orienter. Ils prennent à gauche le chemin de Penin mais ont bien repéré que, plus loin, ils devront l’abandonner et prendre à droite vers le chemin de Couget. Vous suivez? Comme prévu, ils débouchent sur la départementale qui relie Mirande à Montesquiou. Ici, un beau  » droite-gauche » , et les voilà sur le chemin du lac du Lizet. Un vrai régal cette route : un revêtement correct, un paysage magique, des ragondins prudents qui traversent sans culbuter les cyclistes ( petit coucou aux Beaulac), un silence absolu, même Claude ne parle plus. Retour à la civilisation, il faut grimper à Montesquiou. Hélas, la traversée de ce village est moins agréable que d’habitude car la route est en travaux. Il y a même des feux de circulation! Notre ex-rugbyman passe avec nostalgie devant le stade du « Bourguignon ». Allez l’heure du repas approche, nos deux pédaleurs reprennent leur rythme de croisière et après quelques côtes de plus atteignent Bassoues. Comme d’habitude, ils prennent leur repas au pied du donjon. Hélas, pas de café à la fin du pique-nique, le bar à 1 euro le café + verre d’eau + bouteille d’eau pour remplir le bidon a fermé. La halle  est bien triste et silencieuse! Bon, ce n’est pas tout , il faut que nos compères rentrent. Ils connaissent parfaitement la route du retour et tout se passe bien même si leurs cuisses commencent à piquer.

     Bilan, une  sortie pas tout à fait plate mais fort agréable. Notre duo d’experts  valide  ce parcours et félicitent les créateurs de ce petit bijou .

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JUIN

Début juin c’est un peu la même chose, mais les parcours s’allongent et pour la première fois de la saison les couleurs de l’USP sont présentes à une randonnée extérieure. Le dimanche 2 à Aire sur l’Adour, 3 d’entre nous retrouvent le duo des Rouges au départ sur le vélodrome. Le duo opte pour le circuit de 62 km et le trio part sans trop savoir… Au ravitaillement d’Eugénie, Maryse dit que si on ne va pas plus vite elle veut bien essayer de faire les 83 km, et elle les a réalisés ! Dédé et son ami Jean-Paul se laissent entraîner par un petit groupe de Landais tandis que Maryse et son président lèvent un peu le pied pour profiter d’un superbe parcours, d’un fléchage parfait et de routes au revêtement très confortable. Première sortie réussie en attendant les prochaines.

Mercredi 5, les retraités sont au rendez-vous pour une sortie sans côte et c’est bien agréable, mais les premières chaleurs sont aussi au rendez-vous, ce qui rend d’autant plus agréable la bière après les 58 km.

Samedi 8, les deux septuagénaires décident de tester les circuits de la Rando des Vendanges. Claude et Colette ayant reconnu le petit, ils choisissent de faire de même avec le moyen: un peu moins de 65 km mais le dénivelé est conséquent, la chaleur se fait bien sentir pendant la dernière heure et les descentes de Pouylebon ou de Lasserrade ont permis de refroidir les moteurs. Signe révélateur, les bidons sont vides à l’arrivée.

Maintenant c’est les vacances, je vais expérimenter les routes du Poitou avant de retrouver la Gascogne bosselée. Un seul regret, je vais manquer la sortie de Rabastens, j’espère que certains d’entre vous me raconteront…

Les 13, 14, 15 et 16 juinLe duo des Rouges a imité son Président. Eux sont allés dans le Lot et Garonne . Ils ont pédalé autour de Saint Pardoux Issac , une sortie par jour. Ils ont vu de beaux paysages mais cette région n’est pas très plate.

Samedi 22 juin: Belle surprise.

C’est l’affluence devant la Maison des Associations à 14 h: il y a des dames, des retraités mais aussi des jeunes, au total 7 Plaisantins ont répondu à l’invitation. Et comme tout ce petit monde semble en forme, si on allait monter la côte de Lahitte que certains ne connaissent pas encore. Nous passons devant la maison de l’Aigle de Sombrun et après un regroupement au carrefour, c’est parti pour le plus gros morceau. Rudy, qui a fait réviser le vélo de Sébastien, veut nous montrer qu’il est plus à l’aise qu’avec son lourd VTT, et il se démène comme un beau diable; la trajectoire n’est pas rectiligne et le bonhomme bouge dans tous les sens mais c’est efficace et il reçoit les félicitations du groupe unanime. Le retour est classique en longeant la route de Bordeaux, la dernière côte est celle de Castelnau avant une petite escapade par Cahuzac et Préchac. Chantal nous raccompagne jusqu’à Plaisance et rallonge un peu la sortie. Que nous prépare-t-elle ? Il est vrai que Dédé a évoqué une sortie au lac d’Arrêt-Daré dans les prochaines semaines et la centaine de km que ça implique…

Alors rendez-vous fin juillet ou début août.

Dimanche 30: Un peu moins de monde.

Des gens qui travaillent, d’autres qui sont rentrés dans leur famille ou pris par ailleurs, résultat nous ne sommes que 4. Olivier ayant souhaité faire du plat, on opte pour un classique Villecomtal, Rabastens et retour, avec une météo tout aussi classique: vent défavorable à l’aller pour qu’on sente bien les petites bosses, et vent de dos pour un retour facile sur les routes plates de Liac, Maubourguet… Les 3 garçons vont boire une bière aux Arènes pour donner un peu de sous aux jeunes du Canoé Kayak qui ont organisé leur vide-grenier.

Comme la semaine passée on a approché les 70 km.

MAI

En mai, fais ce qu’il te plait :

Bah non, pas franchement, la pluie a souvent été de la partie, ce qui s’est ressenti sur le nombre de sorties et le nombre de participants. Notre club a effectué tout de même 3 sorties dans la première quinzaine, 4 ou 5 participants à chaque fois, et des parcours de 50 à 70 km avec un nombre limité de côtes. On fera mieux avec les beaux jours.

Trois petites sorties fin mai, avec 3, 5 et 2 participants, ce n’est pas la foule mais on maintient l’activité même si les parcours ne sont pas très longs.

Mai à vélo le 18 mai : Rando de la flamme avec les amis du club et d’ailleurs.

Malgré une météo pas vraiment encourageante, l’événement qui profitait du passage de la flamme olympique à Marciac a été relativement bien fréquenté. Aux 6 Plaisantins « officiels » sont venus s’ajouter 4 cyclos de Marciac, 4 de Maubourguet et 3 non licenciés. Après un petit café, tout ce petit monde a rejoint Marciac par les petits chemins, s’est offert le luxe d’un tour de la place de l’hôtel de ville avant d’aller pique-niquer au petit lac. Le temps a été clément et même ensoleillé l’après-midi, on a vu la flamme arriver et on est reparti pour Plaisance par le même itinéraire.

A noter les débuts d’Amélie qui a accompagné sa maman, la présence de Claudine et Pierre qu’on espère revoir et le retour de Colette et Claude qui nous ont fait une belle surprise et un grand plaisir en se joignant à nous.

Vive la flamme olympique ! A quand le passage de la prochaine ?

Quel magnifique peloton pour aller admirer le flamme olympique et pique-niquer à Marciac.

Semaine du 12 au 18 : Les randonneurs des Rouges ont été pris de folie: 3 sorties en 1 semaine

18 mai : Sortie de la Flamme à Marciac.

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15 mai : Petit tour dans les alentours

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13 mai : Courte balade avec crevaison en prime 

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AVRIL

D’après Alain de Loussous, il n’y a que des JEUNES COMME NOUS qui pouvent comprendre le CR suivant !!  

 « Nous étions vingt sans Scotto, qui était absent. Jean, du jardin, sortit avec son beau vélo, et Thierry, l’ermite sortit enfin de chez lui.
Nous sommes partis tranquillement, Jean-Paul roulant bon train, mais à la première côte, Edith piaffe d’impatience, alors que Sophie démarrait Claude sautait dans sa roue, Françoise, hardie, les suivait, alors que derrière Charles trainait .
Je voyais Yves montant la côte et Jean-Jacques debout sur ses pédales, alors qu’Alain, de long en large, zigzaguait sur la route.
Puis je dis à mon copain : « Allez André, pousse ».
Olivier, mine de rien, suivait tranquillement, Sylvie, têtue, s’accrochait et Simone s’ignorait d’un tel talent de grimpeuse.
Puis la descente arriva . Ayant peur, Pierre freinait, et, malheureusement, il y eu une chute, Georgette plana par dessus son vélo, Mathilde saignait au genou, Paul, vers l’aine , avait mal à la jambe, David, douillet, gémissait et Colette brossait son beau maillot.
C’est alors que Johnny a l’idée de s’arrêter. Alice donna à boire à ses amis, Jean-Marie, Perrier à la main, se désaltérait, quant à Gérard, de par Dieu, jura qu’on ne l’y reprendrait plus.

Mais puisque Dieu le voulut , tout se termina pour le  mieux.. » 

Même si  le climat nous joue des tours en ce mois d’avril, le club trouve un regain de vitalité, pas encore pour toutes les sorties mais il y a du mieux.

Dimanche 28: la randonnée de Rabastens ayant été annulée, 5 participants se retrouvent le lendemain. Les deux jeunes ont préféré faire la grasse matinée et Dédé a appelé à 8 h 54 pour dire qu’il avait eu une panne d’oreiller… A la demande d’Olivier on restera sur le plat mais dans une autre direction. Il n’y a pratiquement pas de vent, profitons-en: Labatut, les petites routes avant celle de Rabastens, à droite par Ansost et Lafitole. A 2 reprises il a fallu crier pour rappeler Christophe qui a repris son habitude de jouer les éclaireurs sans connaître la destination, mais il a encore une bonne ouïe donc on ne l’a pas perdu. On passe par Nouilhan et Sombrun histoire d’escalader les deux redoutables côtes qui enjambent la route de Tarbes à Bordeaux. Olivier est ravi d’avoir fait plus de 60 km, Chantal et Christel ont pu papoter à leur guise et tout le monde est bien rentré. Seule ombre au tableau, la météo ne s’annonce guère optimiste pour les jours à venir !  

Samedi 20 c’est carrément jour de fête ! 7 présents, le record de 2024 est battu avec le retour d’Olivier et d’Alain. Pour leur permettre de s’y remettre doucement le parcours sera plat, ce qui convient fort bien aux deux plus jeunes du club. Cap sur Saint-Germé en passant par les Barthères et retour par le bois de Riscle avant de raccompagner les deux jeunes au pied de la côte de Castelnau. 55 km sans une seule côte, c’est bien aussi.

Samedi 13 (bis) : Rerereprise des pédaleurs des Rouges

Ils ont repris leur randonneuse et sont partis pour une balade dans le coin. Ils ont constaté que le printemps était bien là :un coq faisan risclois faisait entendre son chant d’amoureux, un perdreau qui a couru devant eux un moment avant de s’envoler, la fameuse plante des Barthères le miscanthus a été récoltée , des colzas sont en fleurs et la campagne a pris un teint jaune.

https://www.openrunner.com/route-details/19023695

Le samedi 13 les 2 compères n’ont convaincu personne. Si on allait vers Viella en passant par Saint-Germé ? C’est parti mais le Champenois a encore été distrait. Il tourne à droite avant d’arriver à Sarragachies, « ça ne mène pas à Viella » dit Dédé; tant pis, on est parti donc on continue. C’est pour nous l’occasion d’aller à Nogaro, de faire le tour du circuit et de revenir par Sabazan et Aignan. Et si on allait voir le grand Jacques ? Et on l’a vu, on a bien bavardé, la retraite lui va bien et il revient d’une semaine de vacances au pied du Ventoux qu’il a gravi 4 fois. Il nous propose de prendre l’apéritif mais il faut rentrer. 52 km et le plaisir d’avoir revu cet ami qui ne tarit pas d’éloges sur son VAE.

Ainsi le mercredi 10, 3 vaillants retraités ont eu une pensée pour Didier en faisant son circuit préféré par Vidouze et la montée à Monségur, mais au sommet on choisit une variante pour descendre la côte de Lamayou. Seulement en arrivant à la route de Vic à Pau, nous réalisons que nous avons oublié de tourner à gauche. Qu’à cela ne tienne, un chemin à gauche doit bien nous permettre de rejoindre… J’entends Serge dire sur un ton dubitatif: « Puisque le Champenois le dit » et nous nous engageons dans un chemin qui a été goudronné un jour, chemin de Peyraube puis chemin de Larribère, ça mène forcément quelque part. Dédé a bien envie de faire demi-tour mais ça devrait s’arranger et nous enchaînons les km, passant devant des fermes délabrées et des ruines sur ce chemin de plus en plus dégradé. Un peu plus tard, nous abordons une voie un peu moins abimée, (un peu seulement) et nous reconnaissons l’endroit où Jacky avait crevé 3 fois en quelques minutes en dessous de Castéra Loubix. Nous n’avons pas rejoint la descente de Lamayou mais nous sommes contents de ne pas avoir crevé. Le retour est plus calme après avoir retrouvé le bas de la côte de Monségur, même si un vent défavorable a gêné notre progression de Maubourguet à Plaisance. 70 km et des souvenirs…

Sorties fin mars début avril:

  Avec le retour de températures plus clémentes, notre peloton devient plus conséquent en tout cas le week-end. 5 participants le samedi 30, 4 le lundi de Pâques et 6 le samedi 6 avril. La présence de nos jeunes amis de Castelnau nous amène à rester à proximité et à les reconduire à leur foyer, mais il y a toujours une ou deux bosses au programme et 50 à 60 km au compteur. Nous avons retrouvé Auriébat, Laveraët et bien sûr Castelnau.

  Comme ce ne sont pas toujours les mêmes qui viennent, au total ce sont 9 licenciés différents qui ont roulé au cours de cette période: les 3 de Castelnau, 3 dames courageuses et 3 retraités. La diversité est au rendez-vous et la bonne humeur omniprésente, même si Kevin n’oublie jamais de me dire qu’il me déteste chaque fois que la montée vers Castelnau se profile. Quelle idée aussi d’habiter aussi haut.

  En semaine c’est beaucoup plus calme, même Dédé a zappé quelques sorties !

  Pour les autres membres du club, nous comptons sur vous le week-end prochain en espérant que les beaux jours vont apporter un mieux à vos problèmes de santé.

JEUDI 4 : Nouvelle sortie de nouvelle reprise pour le pédaleur des Rouges

   Suivant à la lettre les prescriptions médicales, notre cyclo de ce  fameux célèbre quartier a fait un petit tour comportant une côte et seulement une . Il  a adopté le mode 50% recommandé, pour l’instant, par le docteur des vieux . Eh oui, il lui arrive d’être raisonnable!

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Où a-t-il goûté ce modeste cyclotouriste?

MARS

L’activité des cyclos a été à l’image du temps en cette fin d’hiver: maussade. Entre le 28 février et le 21 mars, 5 sorties club seulement, avec 2 ou 3 participants. Les visages changent parfois mais l’effectif reste bien maigre. Les routes empruntées partent de Plaisance ou de Louslitges, et souvent nous fréquentons la Gascogne bosselée qui fait mal aux jambes.

Dimanche 24 nous avions décidé de rendre visite à nos amis de Plaimont et de profiter du casse-croûte des vignerons. 6 d’entre nous ont répondu à l’invitation: Maryse, Chantal et Christel pour les dames, Dédé, Serge et Jean-Mi pour les messieurs soit près d’un tiers du club ! Par contre à 9 h 20 rien ne bougeait à la cave, pas trace de casse-croûte. Après 10 mn de bavardage avec Muriel, Michel et Philippe qui préparaient leur stand, nous décidons de partir sans savoir trop dans quelle direction. Au rond-point il faut se décider: ce sera Capmartin et on verra en haut… Nouveau choix cornélien: on va aller jusqu’à Termes, ce qui nous laisse le temps de réfléchir et de prendre ce chemin dans un sens inhabituel. A Termes je demande si quelqu’un veut retourner casser la croûte à Plaisance; devant le non de mes partenaires c’est Saint-Germé qui est retenu comme prochain objectif. La reprise s’avérant un peu laborieuse pour Maryse, nous rejoignons Tarsac et rentrons par le bois de Riscle. Nous n’avons pas eu le casse-croûte prévu mais personne n’est mort de faim et nous avons eu le plaisir de voir que le club retrouvait des couleurs et comme le prochain week-end comptera 3 jours, nous espérons bien nous retrouver plus nombreux encore… si le temps le permet.

PS: le chien teigneux sur la route de Préchac est toujours bien présent, on l’arrose à chaque passage mais il n’a pas l’air de pousser bien vite, il doit manquer un peu de soleil ! 

Jeudi 21 : Sortie traditionnelle « pique-nique au lac de Marciac pour notre duo et sortie également traditionnelle pour notre duo de jeunes et alerte licenciés

Juste une petite remarque, deux tournent au café et les deux autres à la biére! Vous allez pouvoir résoudre cette énigme en lisant les textes suivants.

1) Aujourd’hui , le duo des Rouges a décidé de joindre l ‘agréable à l’agréable. Ils vont donc rejoindre Marciac avec un arrêt prévu : contemplation des œuvres exposées dans le parc de l’église par des écoliers-artistes de l’école Plaisance .

Ceci avait lieu dans le cadre du printemps des poètes. Et en effets ces créateurs en herbe avaient laissé libres cours à leur imagination et à leur créativité. Vraiment remarquable, un grand bravo aux élèves et à leurs maîtres.

Après un parcours fort agréable jusqu’à Marciac , nos deux randonneurs sont arrivés à bon port ou plutôt à bon lac. Deux éléments lors de ce trajet méritent d’être signalés. Tout d’abord un arrêt vestimentaire pour Monsieur en bordure de haie que la décence ne permet pas de vous d’écrire. Ensuite, une seconde halte artistique sous les arcades de la place de Marciac afin d’admirer les œuvres des enfants de l’ ALAE de cette commune, cette exposition était faite dans le cadre de la « Grande Lessive » . Nos touristes ont vu des bulles de toutes formes, de toutes matières et de toutes couleurs. C’était splendide , bravo aux créateurs ! Un seul regret , il manquait les fameuses bulles chères à notre Président Champenois.

Après un pique-nique pris au bord du lac sur leur table réservé et un bon café au café des sports où notre ami Farré a repris du service , nos cyclos ont pris la direction de Maubourguet. Eh oui, vous avez bien lu « Maubourguet » ! Cela veut dire qu’ils vont s’offrir 3 côtes en mode de digestion. Ils prennent des risques !

Mais tout s’est bien passé bien et voilà nos « grimpeurs » arrivés à la destination voulue. Nouvelle pause café, les montées les ont fatigués, ils ont besoin d’énergie pour le retour. Leur « remontant » dégusté, ils ont pris la direction de chez eux par une route en légèr faux-plat descendant. Hélas, le vent leur a été défavorable mais ce n’est pas grave, ils ont su ralentir.

Au total, 60 km ! Et surtout une escapade bien agréable pour eux.

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2) La paire de septuagénaires a allongé un peu la distance en poussant jusqu’à Saint-Sever et Sénac avant un retour par Rabastens, 80 km et une bière bien méritée selon Dédé.

Juste une petite remarque, deux tournent au café et les deux autres à la biére!

Lundi 18 mars : Sortie  sans commentaires 

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Vendredi 16 mars  : Sortie

Mon propriétaire a décidé d’aller faire un petit tour vers la partie du 65 proche de chez nous. Je commençais à penser que j’allais encore passé ma semaine dans le garage. Bien sûr nous partons avec ma copine randonneuse et sa conductrice.

Le démarrage se fait tout en douceur, je sens que l’allure va être tranquille et que nous n’aurons pas trop mal aux pédales en rentrant. Ce rythme permet à nos guides de compter les pêcheurs au lac de Préchac, seuls 2 ont lancé leurs lignes. Je les entends discuter de la belle couleur jaune que laisse apparaître les colzas les plus hâtifs ainsi que des fleurs des bordures de route. Ils sont en mode « botanique ».

Nous entrons dans le 65 mais à Hères nos guides bifurquent à gauche vers Jû-Belloc et nous revenons rapidement dans le plus beau département de France et de Navarre.

Tout va bien mais mon maître décide de passer chez son garagiste favori alors que ma compagne et sa guide continuent la balade. Je n’aime pas beaucoup ce changement ! Nous voilà donc au garage. Et là, figurez-vous que sa voiture est prête donc Monsieur décide, sans me demander mon avis , de m’embarquer dans son véhicule. La honte est sur moi, je me sens humiliée,je suis furieuse ! Quel manque de savoir-vivre !

Notre prochaine sortie risque d’être orageuse !

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Samedi 16 mars a vu le retour de Chantal et de Kévin: la première tient une forme olympique et le second a pris des formes pendant son long arrêt, les kilos accumulés vont peser encore quelques temps mais il a gardé sa bonne humeur.

 

Mercredi 6 mars : Sortie en terres connues

Le duo des Rouges a enfin repris ses balades. Après une longue période d’inactivité « cyclotouristique » , nos randonneurs ont été prudents et ont effectué un parcours court et plat qui a consisté en un aller-retour à Riscle. Bien sûr, ils ont préféré emprunter route des Barthères puis celle du bois de Riscle à la D 935. Ils ont failli se perdre dans Riscle en raison de nombreux panneaux d’interdiction placés de-ci de-là ! Ces Risclois sont décidément des farceurs ! Mais le Guide Suprême, Plaisantin d’origine, a su tout de même retrouver le bon cap.

Ils ont revu avec plaisir, près du Bois de Riscle, les champs de MISCANTHUS . Vous savez tous que cette plante appelée « Herbe à Éléphant », « Eulalie » ou « Roseau de Chine », est une graminée originaire d’Afrique et d’Asie du sud. Vous savez aussi que le miscanthus est utilisé comme biomasse énergie (pour le chauffage) ou comme paillage (pour les parterres de fleurs ou en élevage quand il est dépoussiéré). Plante robuste et ornementale, elle peut aussi servir comme brise-vue, écran contre le vent et constituer une haie dense. Volià la « leçon de choses » comme on l’appelait autrefois est terminée.

Cette courte sortie de reprise a été fort agréable.

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FEVRIER

Mercredi 21 février : Une sortie qui a du chien!

    Notre petit rouleur des Rouges a profité d’une matinée calme dans son emploi du temps de retraité papapapi surchargé pour aller prendre un « café-éclair » à Marciac. Non , mon cher JMC, café-éclair ne signifie pas « café-pâtisserie » mais « arrêt-café rapide » ! Cette sortie plate et facile a été pimentée par l’intervention inopinée de deux chiens aussi véloces que féroces. Le premier après avoir couru en bordure d’un champ s’est cru obligé de descendre  venir titiller les mollets de notre rouleur pacifique. Heureusement, notre athlète avait encore des ressources et a réussi à placer une accélération qui a découragé le canidé. Le second est intervenu par surprise près du croisement de Galiax, il a attaqué par surprise et semblait plus intéressé par les roues du vélo que par les mollets fatigués de notre cycliste . Ce dernier en a été quitte pour un gymkhana afin d’éviter la chute. Ce petit chien blanc et noir est régulièrement en vedette sur « Plaisance et Environs » pour ses apparitions soudaines sur la route. Espérons pour lui ( et pour les autres ) que cette mauvaise manie va lui passer ou bien qu’il va arriver à rester sagement dans son parc. Enfin, tout s’est bien terminé pour notre cyclotoursite content de sa balade de 47 km et satisfait de rentrer en bon état.

https://www.openrunner.com/route-details/18413302

Malgré un temps capricieux,  nos  forçats de la route roulent encore de temps en temps. La preuve ci-dessous.

Jeudi 15:

Deux seulement au départ pour réaliser la parcours de la Saint-Mont Jean-Luc Garnier. Mais étourdis que nous sommes (ou calculateurs?), nous oublions d’aller jusqu’au bas de Termes et choisissons d’aller directement à Beaumarchès. Ce sont les routes que Dédé affectionne: la crête jusqu’à Betty Beef, Bassoues, la crête encore jusqu’à Belmont avant de rentrer par Lupiac, Peyrusse-Vieille, Louslitges, Mondébat. Que de bosses, que de bosses ! Au total c’est une peu plus de 72 km à 22 km/h de moyenne.

En revenant de mon week-end pâtés, j’ai vu que les vainqueurs de la cyclo avaient fait les 90 km à 42 km/h… Comme nous étions 2 à 22 km/h, ça fait 44, non ? C’est pas comme ça qu’on compte ?

Mercredi 7:

La gourmandise joue parfois des mauvais tours…

Lors du repas qui a suivi notre Assemblée générale, l’aigle de Sombrun nous avait fait l’éloge d’un restaurant des environs de Lembeye, Aü Rey. Pour préparer une éventuelle sortie cyclo sur la journée et une halte dans ledit restaurant, j’ai proposé à mes compagnons du jour d’aller reconnaître les lieux. La route est un peu accidentée par Castelnau, Madiran, Crouseilles et Séméacq-Blachon. A Gayon les patrons s’avèrent charmant et les lieux aussi sympathiques que les plats proposés; nous obtenons un accord de principe pour une venue en groupe au cours de l’été.

Ma mission accomplie, je pensais rentrer tranquillement par Lembeye et Vidouze, mais mes deux collègues proposent de revenir par le nord, plus plat. Et nous voilà partis vers Tadousse; nous laissons prudemment de côté des villages aux noms charmants mais un peu trop haut perchés comme Conchez de Béarn, Diusse ou Portet et filons vers Barcelonne. Là il n’est pas question d’emprunter la route de Tarbes et les petits chemins au pied des côteaux sont plus sympathiques, mais aussi un peu moins plats… Peu après la route d’Aignan mes deux compères continuent à leur allure alors que je lève sérieusement le pied. Les pieds sont douloureux, et les bras, et le cou, et la tête A…louette ! Heureusement quand je retrouve le gros du peloton (c’est qui ?), Dédé me dit qu’il a mal aux jambes et Serge aux épaules. Ils ne sont pas surhumains, quelle satisfaction. C’est tout de même 90 km, tout ça pour voir un restaurant et ne pas y manger ! A la lecture de ce CR, le vieux Sage des Rouges se demande si cela est bien raisonnable surtout pour les 2 moins jeunes de ce trio.

Samedi 3 février:

Après une semaine de repos (eh oui, le plus vieux a eu une douleur au mollet, contracture ? élongation ? déchirure ? tétanos ? peste bubonique ? choléra ? flemmingite aigüe ?) nous ne sommes pas moins de 6 au rendez-vous. Christel pas rancunière, les trois vieux et les deux « jeunes » de Castelnau. Le programme est plus plat par Maubourguet et Sombrun pour revoir le lieu où le président surpuissant a fait exploser sa chaîne à la force de ses jarrets à la mi-janvier. Le programme prévoyait que nous devions raccompagner nos jeunes amis à Castelnau, mais l’envie de voir Italie- Angleterre à la télé a été plus forte et le retour s’est fait rapidement par Mazères. L’Italie est tombée mais avec les honneurs, pas comme nos pauvres bleus qui se sont vautrés la veille face à une belle équipe d’Irlande. 58 km, on a fait tourner les jambes comme disent les pros, et Toulouse a bien joué ( précision  aussi inutile que perfide!).

Vendredi 2 Février

Enfin, mon maître me sort de nouveau. Je commençais à être couverte de toiles d’araignée. Comment a-t-il pu traiter sa randonneuse préférée de la sorte. Il doit eu avoir de bonnes raisons! Il ne fait pas de pause hivernale aussi longue d’habitude!  Bon , passons aux choses sérieuses. Nous sommes partis vers Riscle par la grande route. Je pense que mon randonneur avait besoin d’une mise en route facile pour  dérouiller ses vieilles jambes. Comme  la plaine lui a plu, il a continué jusqu’à St Germé. Un peu plus loin, ses démons l’ont repris et il n’ a donc pas hésité à aller se frotter au toboggan vers Lelin-Lapujolle puis St Griède et le haut de Maulichères. Là, au carrefour de la D 152 et de la D 25, j’ai senti que mon guide hésitait sur la direction à prendre. Finalement , il a pris vers Riscle puis Termes par la D 3. Deviendrait-il raisonnable avec l’âge? Eh oui, il vieillit lui aussi! La fin du parcours a été aussi classique que plate.

     Dès que mon reporter-« photographe » aura le temps, il vous metttra deux photos-énigmes ci-dessous. Avec l’hiver , le paysage est un peu tristounet, les animaux se font rares alors il a opté pour des clichés patrimoniaux. 

https://www.openrunner.com/route-details/18292106

Alors on cherche et on me communique la réponse. Seul, le premier gagnant sera  récompensé? 

Où suis-je?

Où suis-je?

JANVIER

Samedi 27:

Quatre chevaliers servants pour accompagner le retour de Christel sur le vélo après sa chute malencontreuse de la Hourquette et son opération.. Les jours ayant passé et Alzheimer rôdant, je ne sais plus trop où nous sommes allés, je me souviens seulement qu’entre Termes et Lasserrade un camion chargeant des billes de bois nous a contraints à descendre de vélo et à crapahuter pour regagner la route. Il y avait du dénivelé et la pauvre Christel en avait plein les bottes (quelle idée aussi de faire du vélo avec des bottes ?) mais à son habitude, elle n’a pas dit un mot et roulé courageusement. Encore 52 km, en passant si mes souvenirs sont bons par le bois de Riscle, Riscle et Sarragachies, mais peut-être que j’invente…

Mercredi 24:

Après quelques ennuis de santé, le duo infernal est reconstitué. Enfin infernal n’est peut-être pas le mot adapté car les deux lascars n’ont pas envie de se faire trop de mal? Partis pour Villecomtal et Saint-Sever, ils préfèrent tourner à droite pour regagner Villecomtal, s’épargnant la montée de Sénac. Le retour par Rabastens et la vallée n’est pas désagréable d’autant que le vent n’est pas de la partie. Près de 68 km tout de même, les cuisses ne sont pas douloureuses mais la selle… Il va falloir s’y faire.

Mercredi 3 janvier:

C’est reparti pour le club, en tout cas pour deux des plus jeunes (150 ans à eux deux !). Comme il ne faut pas démarrer trop fort pour être sûr d’aller jusqu’à la fin de l’année, ils s’engagent à éviter toute difficulté pour la première sortie. Voilà donc le menu du jour: Herès, Sombrun, Nouilhan, Lafitole et retour. Les deux points culminants ont été les deux ponts au dessus de la route de Tarbes qui présentent un dénivelé impressionnant… 54 km, la saison est commencée.

Aux dernières nouvelles John a lui aussi repris, quant aux autres, cela ne saurait tarder. Nous aurons beaucoup de choses à nous raconter à l’Assemblée générale du 20 janvier.

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