Décembre
Le club semble avoir adopté le mode marmotte, alors rendez-vous en janvier ?
Son compère ayant du mal à se remettre et le temps capricieux (pour ne pas dire pourri), notre Président a fait ses dernières sorties en solo en choisissant les créneaux favorables, soit en fin de matinée, soit en début d’après-midi et sans excéder les 45 km, ce qui n’est pas si mal à l’approche de l’hiver.
Mercredi 6:
Dédé étant le seul à s’être signalé, le départ se fait depuis Louslitges. Après Gazax, Peyrusse et Castelnavet, nous approchons Aignan en ignorant la montée qui y conduit, et revenons par Mondébat. 41 km seulement, Dédé souffre d’une sorte de grippe et de douleurs au dos, inutile de se faire mal. Et en plus le chocolat chaud préparé par Claudine était bien bon.
Mon compère ayant du mal à se remettre et le temps capricieux (pour ne pas dire pourri), les autres sorties je les ai faites en solo en choisissant les créneaux favorables, soit en fin de matinée, soit en début d’après-midi et sans excéder les 45 km, ce qui n’est pas si mal à l’approche de l’hiver.
Samedi 2 décembre:
Christophe et Rudy sont présents mais Kévin a choisi de se ménager et de faire des courses. Le parcours est classique et sans difficulté: Maubourguet, Lafitole, Nouilhan et retour par la route de Bordeaux jusqu’à la route de Madiran. Rudy a du mal mais il suit sauf dans la côte de Château-Perron qu’il a du mal à digérer. 62 km pour le trio.
Novembre
Samedi 25:
Dédé malade et souffrant du dos, seul Christophe a répondu à l’invitation. Comme il est gaillard, on peut envisager une sortie un peu plus longue qui nous conduit à Lanne-Soubiran et Aire. L’excellent revêtement et l’absence de circulation nous incitent à éviter les petits chemins et à filer à bonne allure jusqu’au pied de la côte de Castelnau. Le retour se fait par la maison des ex-chameaux (ou l’ex-maison des chameaux?) pour l’un et la grimpette de Castelnau pour le plus jeune. Non sans problème d’ailleurs puisqu’un saut de chaîne inopiné l’a envoyé au sol sans dommage heureusement. Un peu plus de 73 km et une bonne partie de manivelles.
En l’absence de compagnie, les autres sorties ont eu lieu en solo, sur des distances d’une quarantaine de km et en évitant les côtes.
Samedi 18:
Les deux frères des coteaux et Jean-Mi tiennent compagnie à Rudy. Le parcours est essentiellement plat de Plaisance à Maubourguet et Hères avant de raccompagner le plus jeune à Castelnau. Le retour permet à Christian de découvrir la petite route de Goux et la descente jusqu’à la côte de Léon. 58 km par un temps idéal.
Mercredi 15:
Dédé et Jean-Mi sont seuls et décident d’aller faire une sortie vers le sud. Le but est de monter le Vallon des fées, destination que nous avons ignorée depuis plusieurs années. La route est toujours aussi peu fréquentée et la pente moins rude que dans nos souvenirs. 72 km, ce n’est pas si mal pour deux vieux.
Mercredi 8 novembre:
Dédé, John et Jean-Mi se retrouvent pour un petit tour dans les collines de la Gascogne bosselée, et passent à Aignan, Peyrusse avant de rentrer par la route de Bassoues à Plaisance. 54 km environ.
Mardi 7 novembre : Une balade sur le plat pour notre cyclo des Rouges
Aujourd’hui, exceptionnellement, monsieur le randonneur a décidé de prendre son vélo de course et donc de délaisser sa brave randonneuse. Il pense qu’il faut tester son vélo avant de l’installer d’ici peu en mode « Home-Trainer » car il sent déjà venir les prémices de l’hiver. Cela lui semble fort raisonnable.
Il avait compté sans le mauvais caractère de son engin habituel ! Ah, il a voulu prendre le course et bien elle s’est sûrement vengée à sa façon.
En effet, monsieur avait jeté un œil d’expert sur son Giant mais il n’avait pas prévu que dès le 3ème km, sa sacoche arrière ne voudrait plus le suivre sans frotter obstinément sur le pneu arrière. Bien sûr, notre pédaleur a réagi. Il a d’abord récupéré un peu de ficelle au passage chez sa mère. Fier de sa « réparation» , il a presqu’« aussitôt » repris sa route. Hélas, cette intervention chirurgicale n’étant pas finalement pas très efficace, il a dû multiplier les arrêts « réajustement » tout au long de son périple.
Bon , à part ce détail, tout s’est bien passé sur ce parcours aussi plat que confortable. La prochaine sortie se fera peut-être en randonneuses quoique l’animal est têtu paraît – il.

Mercredi 1er novembre : Le solitaire ( pas le sanglier mais le randonneur des Rouges) a décidé de braver le vent et est donc parti vers 13h faire un tour dans les environs. Sa balade n’a pas suivi l’itinéraire qu’il avait prévu initialement. Il pensait monter la côte de l’église de la Madeleine vers Ladevèze-Ville mais il n’a pas pu. Pourquoi vous demandez -vous? A-t-il eu peur de la pente, a-t-il eu des problèmes mécaniques, le vent l’a-t-il fait reculer ? Rien de tout cela, il a tout simplement jugé que le chemin vers la croix était en trop mauvais état et a sagement préféré emprunter une autre voie. Il ne voulait pas risquer que cette montée vers l’église se transforme en chemin de croix. Rassurez -vous, l’option qu’il a prise était bien pentue, il a eu pour ses mollets. Vers Auriébat, le ciel s’est dégagé et son passage à Maubourguet s’est fait sous le soleil. Après un passage dans la plaine, il a attaqué l’autre friandise qu’il voulait s’offrir: la côte de Villefranque. Il n’a pas été déçu, elle monte toujours aussi raide avec un passage à 14%! Après cette fantaisie, il est rentré par du plat mais n’a pu s’empêcher de grimper la 1/2 côte de Castelnau. Finalement, il est rentré dans sa chaumière satisfait de son après-midi. Il a roulé dans une campagne fort silencieuse et assez déserte, il a eu tout de même la surprise de voir les premiers vanneaux. Ces volatiles annoncent normalement l’arrivée du froid ! Peut-être sont-ils perturbés par le réchauffement climatique?
Petit cadeau : le château de Villefranque

Octobre
Samedi 28 : Notre randonneur en solo bien décidé à profiter du soleil de retour a décidé d’aller faire un circuit d’une soixantaine de km. En effet, encore une fois, pour des raisons d’emploi du temps il ne pouvait pas partir pédaler à l’heure du peloton de son club. Il prie ses amis cyclos de bien vouloir l’excuser. Le voilà donc parti par les Barthères puis le bois de Riscle. Sur la route de ce célèbre Bois, il a le plaisir de croiser une couple d’amis risclois. Eh oui, on peut être Plaisantin pur jus et avoir des amis à Riscle! Ils ne se sont pas vus depuis un long moment donc la « pause-bavardage » est assez longue. Bon, il n’est de si bonne compagnie qui ne se quitte, donc notre pédaleur repart tout heureux de cette rencontre. Il continue le parcours mais à la gravière de St Germé, il le quitte afin de rentrer tout de même à l’heure prévue. Eh, toujours le planning!!! La suite de sa balade lui confirme que « l’oiseau bleu » est de retour. En effet, les bois du bas de Maulichères et de la crête de Termes sont envahis de palombes qui festoient dans les champs de maïs. Arrivé au village de Tasque, il a le plaisir de rencontrer son fils et sa petite-fille. Il file vite à la maison pour les accueillir. Bilan, une balade un peu écourtée mais fort agréable malgré la solitude.
Le circuit ci-dessous est celui prévu. Notre vieux des Rouges a la paresse de tracer celui vraiment effectué.
Samedi 28:
Nous ne sommes que 2 à 13 h 30, les deux compères natifs de 1948. Comme le vent souffle du sud, nous partons à sa rencontre par Auriébat et Rabastens. Bref conciliabule pour savoir si nous allons directement à Villecomtal ou si nous poussons jusqu’à Sénac et Saint-Sever; les jambes étant bonnes malgré un vent persistant, c’est parti pour l’option longue. Nous nous rappelons alors que 8 ou 10 années plus tôt nous faisions des sorties de 80 à 90 km tous les week-ends, c’était en compagnie de Claude et Colette, Jean-Luc, Jacky, Les 2 Jean-Pierre, Jako, Didier…
Pour aujourd’hui nous nous contenterons de 77 km, mais en appréciant particulièrement le retour. Etait-ce le vent dans le dos, ou les souvenirs nous avaient-ils redonnés nos jambes d’antan ? En tout cas nous sommes rentrés ragaillardis, en nous promettant de retourner un jour prochain monter le Vallon des Fées.
Seul couac: au retour nous découvrons un message de Serge qui n’a pu se libérer à l’heure prévue et qui proposait de venir à notre rencontre pour faire un bout de chemin avec nous. Trop tard… Et comme il est parti vers Aignan avant de passer à Marciac, nous n’avions guère de chance de nous croiser. Ce sera pour une prochaine fois !
Mardi 24 : Sortie en solo dans les côteaux pour notre randonneur des Rouges.
Notre solitaire a parcouru peu de kilomètres mais est monté et descendu pas mal de fois. Il a pédalé dans le calme et la quiétude des collines . Même les moissonneuses – batteuses se sont calmées. Il n’a pas vu grand monde, même pas les buffles dans la montée vers Castelnavet. Un beau faisan a décollé presque sous sa roue avant dans la descente de Fusterouau, Il ( le cyclo ou l’oiseau) a chaud!
Dimanche 22:
A nouveau 4 participants, Rudy et Christophe accompagnés de Serge et Jean-Mi. L’objectif est modeste, Rudy ayant des difficultés avec son très lourd VTT malgré une révision du dérailleur et des freins pendant la semaine ainsi que la réparation d’une roue voilée. Parcours plat donc vers Maubourguet par nos petits chemins de campagne, retour par Sombrun, Caussade et Hères et escalade de la côte de Madiran. Tandis que les 2 jeunes sont arrivés à destination, les 2 moins jeunes poursuivent par Goux, Cahuzac et Tasque avant de retrouver la jolie grimpette de Courderot, histoire d’ajouter un peu de dénivelé. Une soixantaine de km à nouveau et sans vent, quelle chance.
Dimanche 15 : Journée de clôture du CODEP 32 à Nogaro
Notre duo, bien en jambes depuis hier, a décidé de participer, à sa manière bien sûr, à cette manifestation.
Ils partent , pas trop tôt c’est dimanche, pour Nogaro mais décident de passer par la plaine jusqu’à Riscle afin de s’échauffer plutôt que d’attaquer à froid la côte de Termes. C’est sûr qu’ensuite Riscle-Nogaro ce n’est pas plat mais c’est moins brutal. Après être passés devant le lycée de leur jeunesse , ils arrivent au siège du Bacc. Comme d’habitude, Gilles et ses amis les accueillent cordialement. Nos pédaleurs ont le plaisir de retrouver quelques têtes bien connues. Ils discutent un brin tout en dégustant le délicieux ravitaillement de leurs comparses nogaroliens. Allez, ils se décident à se remettre en selle car ils ont encore des projets.
Avant toute chose, ils n’oublient pas l’indispensable : passer au supermarché du coin pour faire les courses pour le pique-nique de midi. Monsieur s’occupe des achats pendant que madame surveille les vélos. Il faut préciser que c’est seulement dans ces moments là que le « chef » prépare les repas. Ça y est, les sacoches de notre randonneur sont pleines. Nos cyclos repartent en direction d’Estang ,ils passent près de Panjas puis de Lias d’Armagnac. Bien sûr, à Estang, ils prennent leur repas en compagnie des lavandières . Notre duo prend le temps de déguster les spécialités (à base de plats déjà prêts) préparées par le cuisinier. Ils s’offrent même un café dans le restaurant d’à côté.
Enfin, ils prennent le chemin du retour. Ce dernier est assez « casse-pattes » jusqu’au haut de Maulichères. Donc là, le guide, toujours aussi sage et raisonnable décide de rentrer par la plaine de Lacaussade. Sa compagne est bien d’accord avec lui. Ils ne regrettent rien car cette route s’avère fidèle à sa réputation : bien plate et avec un revêtement en parfait état. Quand je vous dis qu’il réfléchit le guide !
Enfin, les voilà tous les deux , de retour chez eux après un agréable périple de 80 km. Pour connaître leur moyenne horaire, il faudra attendre qu’ils l’aient calculée.
Dimanche 15:
Pour la clôture du CODEP à Nogaro, Dédé, John et Jean-Mi reçoivent le renfort d’Alain de Beaumarchès. L’aller se fait le plus directement possible par Termes et Urgosse, et l’essentiel du trajet consiste à faire connaissance avec notre nouveau partenaire et à lui indiquer le mode de fonctionnement de l’USP. Il a été un peu surpris au départ en apprenant que nous n’étions que 4 à rouler en ce jour; il faut dire qu’il dirigeait un club de triathlon à Montluçon avec quelque chose comme 140 licenciés… A quand cet effectif à Plaisance ? Il faudrait absorber tous les clubs à 30 km à la ronde, et je ne suis pas sûr qu’on parvienne à ce chiffre.
Après un bon moment à discuter avec nos hôtes et à déguster la ventrèche (cuisson parfaite) et le café, il est temps de penser au retour. Notre départ de Plaisance à 8 h 30 ne nous permettant pas d’emprunter un des circuits proposés par le club de Nogaro, d’autant que Dédé est de réception à midi, nous repartons par Sabazan, Aignan et vérifions que les flèches de notre randonnée des vendanges sont encore bien présentes. Après Loussous-Débat, nous raccompagnons notre nouveau collègue jusqu’à son domicile près du domaine de Pagès. S’il a cessé toute activité depuis près de 4 ans, on va dire qu’il a de beaux restes ! C’est vrai que pour avoir fait des « Iron Man », nos 60 km n’étaient qu’une entrée en matière pour lui. Nous l’accueillerons avec plaisir lors d’autres sorties, en espérant pouvoir le suivre au moins un petit moment.
Samedi 14 : Sortie de Nouilhan à la mode des Rouges
Entrée : Petit tour jusqu’à Plaisance afin d’assister au tournoi de rugby de leur petit-fils Tommy.
Plat : Sandwich au jambon tiré des sacoches sur une aire de pique-nique à la sortie de Maubourguet vers Lafitole. Notre duo a bien sûr suivi les flèches peintes ( quelles belles couleurs bien vives!) au sol du circuit du Nouilhan.
Trou normand : Inscription et café – gâteau à Nouilhan où l’équipe de Guy leur a réservé un accueil bien sympathique malgré leur arrivée tardive.
Dessert : Reprise du parcours avec une bonne dose de chantilly ( la côte d’Auriébat, la vraie , pas la facile ).
Digestif : Une belle averse sur la crête Ladevèze-Tieste qui a nécessité une pause K-Way pour nos pédaleurs.
Complément alimentaire : ( ravito devant l’usine Cazaban) . Bien entendu, nos deux cyclotouristes étaient dans les derniers. Ils remercient l’équipe de cet accueil d’avoir patiemment attendu leur passage malgré une « légère » averse.
Au final, une belle journée pour nos baladeurs avec le plaisir de rouler à leur rythme sur des routes, certes parfois étroites et pentues, mais offrant des paysages agréables et des points de vue réjouissants.
Jeudi 12 : Nouvelle sortie du duo qui profite du soleil
Notre duo est passé par Plaisance pour poser un courrier urgent dans la boîte aux lettres de leur Président. Nos cyclotouristes n’ont hélas pas aperçu ce fameux Président. Peut-être dormait – il encore ? Bien sûr le natif de Plaisance s’est amusé à prendre des rues peu fréquentées afin d’éviter les gigantesques embouteillages liés au marché. En toute modestie, il vous signale qu’il a réussi . Par contre, après Auriébat, il a proposé à sa partenaire de rejoindre Maubourguet en faisant un détour par Lafitole. Le détour, ils l’ont fait . Mais ils n’ont pas vu Lafitole! D’après le guide, quelqu’un a dû déplacer la butte de ce village. Rassurez -vous, ils sont parvenus à Maubourguet tout de même en empruntant un joli petit chemin. Après avoir bu leur café, ils sont rentrés par les petits chemins, la campagne était encore plus calme que d’habitude.
Samedi 7:
Aujourd’hui, c’est Vivons Vélo à Saint-Germé. 4 volontaires ont répondu à l’invitation, John s’étant joint aux 3 de mercredi. Comme les sorties Vivons Vélo se font à allure modérée, nous décidons de partir à un bon train par le bois de Riscle et Tarsac. Arrivés à Saint-Germé, nous avons tout le temps de prendre un petit café, de discuter avec nos futurs compagnons de route et vers 10 h la promenade commence en direction du nord par de petits chemins. Après une heure de balade à 17 km/h, nous quittons notre petit groupe entre Caumont et Tarsac pour rentrer par Sarragachies et Termes. Dédé prend la route de Marciac tandis que les 3 autres optent pour Izotges et Tasque, toujours à vive allure. Dans le virage en S au niveau des châteaux, je décide de finir en douceur… juste au moment où Serge lève le pied. Nous finissons donc groupés une belle sortie, par un temps idéal et sans vent. En cet automne, nous sommes particulièrement gâtés.




Vendredi 6 : Notre duo des Rouges a fait un petit tour dans les environs.
Mercredi 4:
Changement de partenaires et changement d’allure. Le parcours Termes, Aignan, Lupiac, Peyrusse Grande en compagnie de Dédé et Serge, ce n’est pas la même chose que le dimanche précédent. Sur des routes bien connues mais toujours aussi mal plates, l’allure est soutenue et les jambes commencent à piquer. Pour changer, nous nous arrêtons boire une bière à Beaumarchès. Certains jours sont plus réussis que d’autres.
Dimanche 1er: Une sortie en pointillée!!!
Seul Rudy est présent à l’heure fixée, mais il a oublié son casque et son bidon ! On monte donc à Castelnau pour récupérer son matériel, mais dès le bas de la côte, en voulant mettre « tout à gauche », il déraille, et comme il n’a pas déchaussé assez vite, le voilà par terre. Pas de mal heureusement, il remet sa chaîne en place et repart, mais il déraille à nouveau. Je lui conseille de rester sur l’avant dernier pignon et on fait une nouvelle tentative, mais 100 m plus loin il remet tout à gauche, et c’est reparti pour une chaîne coincée. Ce n’est pas le bon jour ! Pendant qu’il est parti chercher casque et bidon, je passe un coup de WD 40 sur la chaîne et le dérailleur et je fais tourner sa roue arrière; surprise, lancée à fond la roue fait 3 tours et s’arrête, nouvelle tentative, même résultat. Quand Rudy revient avec les objets oubliés et des chaussures normales pour ne pas tomber à nouveau, je lui fait constater le problème, mais il veut continuer la sortie. Direction Goux et le bois de Riscle, mais il n’arrive pas à suivre. Au bois de Riscle on part vers les Barthères mais la galère continue: à 15 km/h il est en difficulté, on rentre donc directement à Castelnau. Un peu frustré, je décide de descendre sur Madiran et de me lâcher dans la descente: la route a été refaite et les gravillons sont bien présents, en couche bien épaisse, je ne peux pas rouler à plus de 25 km/h, ce n’est décidément pas mon jour… Retour à la maison, on va oublier cette sortie.
Septembre
Bien peu de sorties en septembre en raison des vacances et de la préparation de la Randonnée des Vendanges.
Des nouvelles du duo des Rouges: Il continue de rouler à sa manière et à essayer ainsi d’améliorer le kilométrage de leur club préféré
Ils ont fait quelques balades de temps en temps et en particulier ont effectué des parcours de la randonnée permanente des » Mousquetaires Gascons » Ils ont bouclé le parcours 4 » En Val d’Adour », les 7 et 8 septembre et le parcours 6 « En Bas Armagnac » les 29 et 30 septembre . Ils ont l’intention de continuer l’année prochaine. Ils ne peuvent pas révéler les parcours afin de ne pas spoiler cette rando permanente du Codep 32. Ils peuvent tout de même vous dire qu’ils ont pris du plaisir à rouler sur nos petites routes gasconnes
Mercredi 27 : Sortie avec Dédé sur ce qui pourrait être le parcours moyen de la prochaine Rando des Vendanges, mais c’est un secret…
Bilan rapide de notre randonnée des Vendanges le 24 :
Pour information, nous avons accueilli 87 participants:
22 roulaient en VAE,
19 ont fait le petit circuit,
26 ont fait le moyen,
40 ont fait le grand,
2 n’ont pas indiqué leur choix.
La participation est meilleure qu’au cours des 2 dernières éditions de 2019 et 2022 marquées par la pluie. C’est nettement moins qu’avant le Covid mais nous sommes relativement satisfaits et espérons que la reprise se fera progressivement.
Nous remercions l’ensemble des présents ( cyclotouristes et marcheurs) pour leur bonne humeur et leur compréhension. En effet, certains se sont un peu perdus sur les petites routes gersoises. Les responsables du fléchage essaieront de faire mieux la prochaine fois. Toutefois, je tiens à préciser , aux étourdis ou mal-voyants , qu’ayant personnellement effectué le ramassage des flèches , je suis mesure de confirmer que les flèches au croissement Cahuzac – Cannet étaient bien en place ( une de pré – signalisation , une au carrefour et une de confirmation). Il en était de même à la sortie de St Germé vers Caumont. Je reconnais que nos flèches sont sûrement trop petites ! L’équipe du fléchage fera mieux la prochaine fois. L’état d’esprit aussi bienveillant que souriant de tous les participants est à souligner . Merci à tous.
Dimanche 17: Sortie montagne.
Départ à 7 h 30 de Plaisance en voiture, pour retrouver Muriel et Michel qui ont commencé leur cure à Bagnères. Départ à 8 h 50 des 8 participants qui roulent groupés, enfin au début. Progressivement, les accidents de terrain aidant, deux groupes se forment. Un premier arrêt s’impose à Sainte-Marie-de-Campan pour faire l’appel: tout le monde est là, super
On repart donc et la route toujours inégale produit le même effet: les troupes s’éparpillent jusqu’aux retrouvailles à Payolle. Un petit passage pour confirmer que nous serons bien 9, mais le restaurateur nous informe que nous mangerons à l’intérieur, de gros coups de vents étant attendus vers midi. J’ai juste le temps de donner le menu pour motiver les troupes et c’est parti pour les 10 derniers km jusqu’à la Hourquette: cette fois c’est chacun pour soi et on fera les comptes au sommet.
A son habitude Christophe part comme une fusée sans tenir compte des conseils de ses ainés: »c’est encore long tu sais ». Et vers la fin de la forêt nous le retrouvons un peu moins fringant. Peu après la petite descente, les informations du restaurateur s’avèrent exactes: le vent se lève, de plus en plus fort et avec de violentes rafales. Bien sûr il est de face… Avec Dédé nous nous battons contre les éléments déchaînés et terminons le montée à 4,5 km/h ! Arrivés au sommet, nous guettons nos partenaires: Christophe est le premier que nous voyons, mais il met pied à terre quelques temps avant de repartir. Il en est de même pour John, puis de Maryse qui décide même de faire un petit bout à pied en attendant que le vent faiblisse un peu. Nous sommes donc 5 au sommet à suivre la montée de Christel qui s’arrête à un km du but et ne semble pas repartir? Vincent nous rejoint en moto et nous annonce que Muriel et Michel qui n’ont pas roulé depuis un bon moment ont fait demi-tour et que Christel est tombée.
Descente pour les 5 pour rejoindre Christel: une rafale plus violente que les autres l’a envoyée dans le fossé, elle a fait une belle cabriole, a mal à la main gauche et est touchée à la jambe. Nos compères du tandem ont été rebuté par le vent et ont choisi la voix de la sagesse, c’est-à-dire la voie qui descend ! Et notre groupe reconstitué retrouve Payolle, plus précisément la Passeyade: apéritif ou boisson rafraîchissante en terrasse, puis garbure, côtes d’agneau, entrecôte ou poisson, frites et petits légumes, dessert et café. Nous sommes bien et le temps passe vite. Belle attention au moment de l’addition, les propriétaires nous offrent l’apéro: ce gentil geste ajouté à l’accueil et à la qualité du repas nous font noter précieusement l’adresse.
Mais il reste 20 km, il faut y aller. C’est presque toujours en descente, nous en profitons. Presque toujours car les quelques petits faux plats nous rappellent que la montée a été rude et que les cuisses sont dures. Au total une bien belle journée, 8 participants ce qui est bien pour un club en petite forme et l’envie de recommencer.
Mercredi 13 : Sortie avec mon compère Dédé sur les routes infernales de ce dernier. la deuxième sur ce qui pourrait être le parcours moyen de la prochaine Rando des Vendanges, mais c’est un secret…
Dimanche 10 Sortie avec la participation de Christel, Christophe, Rudy, Dédé et Jean-Mi se terminant par le raccompagnement des deux plus jeunes à Castelnau et un retour par Cahuzac. Le début du parcours a échappé au rédacteur du compte-rendu qui a dormi depuis et semble guetté par Alzheimer (la preuve, je ne sais même plus comment ça s’écrit).
Rubrique pâtisserie:
A la demande du chef étoilé Christophe, je publie la photo de sa dernière création!
Apprends Christophe que nous préférons déguster que regarder! Envoie -nous au moins la recette.
Dimanche 3 septembre : Le duo des Rouges est allé boire un café à Marciac
Serge, notre vététiste nous a gentiment envoyé quelques photos de sa dernière sortie au bois d’Aignan











Août
Mardi 29 août : Sortie des cyclos des Rouges à Rabastens pour y prendre un café
Mercredi 23: Les 2 compères habituels ont le plaisir de voir arriver Olivier, tout bronzé, de retour de vacances. Il a profité du relief peu marqué des Landes pour reprendre le vélo, on ne va donc pas changer de profil et se consacrer aux routes plates de la région. C’est un parcours classique, sans difficulté, qui permet de papoter à loisir et de parler de tout et de rien. Sans s’en rendre compte, les kilomètres défilent et les villages de même: Préchac, Herès, Caussade, Maubourguet, Larreule et Nouilhan. Toujours pas de côte en vue, on rentre tout aussi tranquillement par Laffitole, Maubourguet et Plaisance avant de déguster un Perrier bien mérité chez Coscu. C’est bien aussi le plat !
Maintenant place aux vacances et aux folles nuits parisiennes pour notre Président vénéré et son épouse. Nous leur souhaitons un bon séjour et de bien profiter de cette escapade dans notre capitale.
Je me permets de signaler que j’ai , avec l’ accord du rédacteur de l’article sur la sortie du dimanche 20, corrigé l’heure du départ pour cette balade. Il m’a semblé étrange que 10h25 soit une heure tardive de départ!
Dimanche 20: Petit moment de doute en arrivant à la Maison des Associations: je suis seul, où sont les 10 que j’espérais ? Un coup d’œil à ma montre, il n’est pas encore 8 h 25, je suis tombé du lit ! En quelques minutes arrivent Maryse, Michel et Muriel (par ordre d’arrivée, c’est lui qui conduit), Julien, Christophe et Rudy, Dédé et Christel. Super, nous sommes 9, Olivier est encore en vacances, Philippe a des ennuis avec son tendon d’Achille et Chantal est au repos après une intervention de l’ostéopathe. Sempiternelle question: Où on va ? Et c’est parti pour la maison des chameaux où il n’y a plus de chameaux, mais ça donne le temps de réfléchir…
Une 1/2 côte de Castelnau pour faire croire à Christophe et Rudy que c’est l’heure de rentrer (en réalité pour tester la forme de Muriel) et c’est parti le long de la route de Tarbes. Je propose à Maryse de monter la côte de Lahitte comme elle en avait exprimé le souhait, mais en passant par Sombrun pour atténuer la difficulté. C’est OK. A Soublecause, Dédé me dit: mais on ne va pas à Sombrun par là ! A croire qu’il est du pays… je me suis encore planté, mais tout le monde cause tout le temps, comment être concentré ?
On a donc monté la côte de Lahitte depuis Vidouze, mais Maryse a dit en haut: c’est moins dur que la côte de Renung ! Tout va bien. Descente sur Maubourguet que nous évitons, c’est la fête au village, même si Maryse veut faire un tour de manège, mais je suis inflexible. Rudy, qui commence à peiner, suit Christophe pour rentrer directement à Castelnau, tandis que les 7 rescapés font un détour par Larreule et Nouilhan. Les derniers kilomètres sont un peu longs pour Muriel et Michel (par ordre de fatigue) qui trouvent les selles bien dures après une aussi longue interruption. Dédé a quitté le groupe pour rejoindre ses invités et le retour se fait doucement, d’autant que la température commence à monter. D’aucuns commencent à parler de sieste en attendant la retransmission des Championnats du monde d’athlétisme, qui dira que nous ne sommes pas des sportifs ? 66 km, c’est bien. J’apprends mardi que Claude et Colette ont roulé eux – aussi mais samedi, la moitié de l’USP était sur les routes ce week-end, quel club dynamique !!!
Samedi 19 : Brevet de 100 km pour le duo
Après avoir étudié la météo attentivement et avoir vu que les Landes n’était pas encore en alerte orange, nos duettistes avaient décidé d’essayer de renouer avec l’idée de brevet. Le traceur avait concocté un parcours d’une intensité abordable et tous deux avaient convenu d’un départ matinal.
Donc, de bonne heure, nos cyclotouristes sont allés se garer à St Germé village départ. Bien sûr, là, surprise, c’était le fête locale donc petit problème de stationnement. Finalement, le départ aura lieu du parking de l’école ( eh oui!).
Ils ont enfourché leur randonneuse et sont partis en direction de St Sever tranquillement à la fraîche. Tout s’est bien passé, ils ont plus ou moins suivi le cours de l’Adour. Après avoir gravi bien à l’abri sur une belle piste cyclable la célèbre côte, ils ont pris leur en-cas bien à l’ombre de l’église. Ils sont repartis mais Monsieur comme d’habitude a voulu boire son petit café, bien sûr il savait où se cachait une boulangerie-pâtisserie. Donc peu après, nouvelle pause pour prendre ce fameux breuvage ! Ils en profitent pour étudier le parcours-retour. Les voilà repartis, les côtes annoncées sont bien présentes sur le circuit : St Loubouer, Castelnau-Tursan, aucune déception de ce côté là, ça monte ! Nos cyclos commencent à avoir faim. Respectant la célèbre devise « Manger avant d’avoir faim», ils décident de faire la pause repas à Geaune. Ils dévorent donc leur pique-nique sorti du sac sous les belles arcades de la place de cette bastide. Ce repas est amélioré par l’initiative qu’a prise notre cyclo prévoyant : un copieux flan pâtissier acheté lors de la pause café précédente. Ce déjeuner se termine par un café dans un proche bistrot .
Sous le soleil , nos courageux reprennent la route jusqu’à Aire. Cette dernière a été refaite récemment donc elle est bien lisse certes mais surtout « noir brillant » ce qui augmente l’impression de
chaleur. A Aire, c’est la pause fraîcheur : changement d’eau des bidons, arrosage du crâne …
Enfin, il ne leur reste plus qu’à rejoindre St Germé par des petites routes plus ou moins ombragées. A leur arrivée , ils ont bien les 100 km au compteur donc tout va bien.
Cette randonnée leur a permis d’apercevoir un lièvre, un chevreuil, des palombes et de longer des champs de maïs divers, de tournesol, de sorgho et même des vignobles d’appellation Tursan. Dans l’ensemble, les paysages étaient fort agréables et tout s’est déroulé selon le plan prévu.
Mercredi 16 : Notre duo des Rouges décide de repartir en sortie délocalisée depuis Juillac.
Toujours de bonne heure pour rentrer avant la chaleur, ils partent en voiture jusqu’à Juillac . Là, vous le croirez ou pas, ils ne trouvent pas de place de stationnement ! Notre randonneur pensait se garer près de l’église mais pas de place de stationnement. Est-ce une punition divine pour ce mécréant ? A vous de juger. Après une rapide concertation, nos duettistes partent pour Marciac. Là, c’est le marché , plus une place de libre sur les stationnements autorisés. Pas de problème, ils vont se garer dans une rue voisine. Les vélos sont descendus promptement car ils commencent à piaffer d’impatience et veulent se dégourdir les roues. Monsieur décide d’aller acheter le pique-nique dans une petite épicerie sous les arcades. Il le trouve fermé. Vraiment fermé de fermé, il est à vendre ! Ce n’est rien car le mécréant est aussi têtu que renseigné. Il sait qu’à Tillac, si tout va bien, il pourra se ravitailler.
Après ces péripéties , le démarrage a donc lieu. De Marciac, pas de Juillac, vous suivez cher lecteur. Nos randonneurs avalent la plaine jusqu’à Tillac et là enfin, notre randonneur peut se procurer les victuailles. Les sacoches bien garnies, nos cyclotouristes prennent la direction de Miélan. Après avoir gravi la célèbre côte , ils font une pause café dans ce beau village. Ici aussi tout ne se passe pas comme prévu. Monsieur a à peine eu le temps d’appuyer son vélo contre un mur proche du bar qu’un monsieur passe apparaît à la fenêtre et l’apostrophe afin qu’il pose son vélo ailleurs. Surpris mais pacifique, notre randonneur s’exécute sans faire d’histoire. Il aurait pu argumenter et signaler à ce cher homme que le guidon de son vélo est entouré de « mousse » et ne risque donc pas d’abîmer son mur qui n’est pas d’ailleurs tout frais et pimpant. La tenancière arrive un peu plus tard et lui indique que son voisin est peu agréable et aime bien toujours chercher des moises. Tout cela m’empêche pas nos cyclos de déguster leur café puis de repartir tranquillement.
Ils apprécient la route Miélan-Montesquiou qui est légèrement en descente et présente des beaux champs de tournesol et quelques prés de trèfle. Ils passent près du manoir potentiel ou potentiel manoir de papicoco . La partie Montesquiou-Bassoues est plus ardue car plus vallonnée. Au passage, notre randonneur aperçoit les champs où plus jeune, il a passé ses « vacances » à garder les vaches, à rentrer du foin, de la paille et à effectuer d’autres travaux agricoles. Après la dernière montée de la matinée , c’est l’heure du casse-croûte.
Ils s’installent près du donjon sur une table qui m’ attend qu’eux et dégustent leur repas sorti des sacoches. Ensuite, c’est le traditionnel café chez Tic-tic. Encore une fois, ils bénéficient d’un accueil chaleureux et d’un café pas cher mais excellent. Notre cyclo va saluer son beau-frère qui est cuisinier dans ce restaurant.
Il faut de nouveau que nos cyclistes reprennent la route, la côte de Pendre les attend. Ensuite, ils serpentent sur la crête d’Armous et Cau à Toudun. Puis ils plongent vers la vallée où ils empruntent des chemins bucoliques et finalement ils sont de retour à Marciac dont ils.font le tour par le chemin de ronde pour atteindre les 80 km au compteur.
Au final, une sortie bien agréable malgré les petits désagréments qui n’ont en rien gâché leur plaisir de pédaler de concert.
Mardi 15:
De mieux en mieux: les cinq de dimanche reçoivent le renfort de Christel et Christophe, revenus de vacances. Le « guide suprême » leur propose de faire le petit circuit de la Randonnée des Vendanges mais à l’envers, ce à quoi on lui répond qu’on ne le connaît pas à l’endroit… Alors partons à la découverte: Galiax, Izotges (le quartier des Rouges somnole encore), la côte de Termes, Sarragachies et Saint-Germé. Pour la 1ère fois Rudy passe une deuxième côte, celle de Saint-Mont avant de découvrir Maumusson. Nous lui proposons de choisir: rentrer directement à Castelnau ou continuer sur le petit circuit: il en veut encore donc c’est Cannet (troisième côte), Cahuzac et Préchac avant de laisser les deux Hauts Pyrénéens rentrer se reposer après avoir escaladé une quatrième côte. Il faut dire que dans la longue ligne droite, un coup de folie a pris le groupe, enfin certains dans le groupe: deux énervés ont voulu tester les deux jeunes et ont accéléré la cadence, deux autres encore plus énervés ont décidé de « flinguer » selon leurs propres mots, et le groupe de 7 s’est transformé en de 7 groupes (?) de 1. Heureusement le stop de Préchac a vu tout notre petit monde réuni pour un au revoir, à dimanche prochain. Un pot au Plaisantin pour les moins pressés et chacun a regagné son logis. 56 km seulement mais une jolie sortie dans la bonne humeur.
Dimanche 13 : Sortie délocalisée ( départ de Lahitte-Toupière) pour le duo des Rouges qui reprend sa saison une nouvelle fois.
Ils partent tôt afin d’être de retour avant les fortes chaleurs. Ils roulent calmement sur le plateau de Ger. Tout commence bien mais sous une petite bruine. Nos compères ne voient pas, hélas, les Pyrénées en fond d’écran. Heureusement qu’ils connaissent déjà ce coin. Malgré une petite erreur de parcours, sûrement due au manque de visibilité et non à une étourderie du guide, ils arrivent à Pontacq. Là, ils font demi-tour après un rapide casse-croûte et sans prendre leur café traditionnel. Il ne fait pas très chaud et une côte les attend à la sortie de ce charmant village. Le retour débute donc par la seule difficulté de cette sortie et encore un peu dans le brouillard. Tout se passe bien, ça descend et le ciel s’éclaircit peu a peu. A Pontiacq- Viellepinte, c’est l’heure du pique-nique. Ce dernier a lieu sur une beau site parfaitement aménagé et d’une propreté remarquable. Un seul détail un peu gênant pour notre duo , il est situé en face de l’école. Les enfants sont encore en vacances donc la cour est calme. Une fois, leur repas dégusté , nos randonneurs repartent par la crête vers Lahitte, ça descend encore. Ils arrivent tranquillement. Ils n’ont pas souffert de la chaleur, la preuve, ils ont encore leur coupe-vent. Bilan : une agréable balade de 75 km ( avec le détour) !

Dimanche 13: Sortie club
Encore du mieux puisque Chantal et Christian ont rejoint les 3 rescapés du dimanche précédent (Christel est partie faire une cure de bulles en Champagne). Une nouvelle fois nous passerons par Castelnau pour raccompagner Rudy, mais en lui faisant découvrir un autre versant: après Cahuzac et le bois de Riscle, nous revenons en direction de Madiran avant de replonger vers Hères par la route parallèle à la route de Tarbes. Après Caussade et Herès (les deux pancartes du village n’ont pas la même orthographe, je respecte cette particularité), nous rentrons par Préchac pour déposer Chantal. 66 km et toujours pas mal !
Dimanche 6:
C’est un peu mieux puisque Christel et notre nouveau, Rudy, accompagnent les 2 compères habituels. Le parcours est nettement moins tourmenté que jeudi puisque notre peloton gagne Maubourguet par des chemins détournés, Sombrun, Caussade et enfin une côte pour raccompagner notre jeune ami à Castelnau. Un petit détour par Goux avant de retomber au sommet de la côte de Léon, Cahuzac, Tasque et Plaisance. 62 km et même pas mal !
Jeudi 3 août: Petite( par le nombre de participants) sortie club
Le mois commence petitement avec 3 participants seulement. On retourne sur les terres de Dédé, plutôt accidentées par Termes, Sorbets, Aignan, Lupiac Peyrusse-Grande et Armous et Cau: le Champenois égaré commence à comprendre pourquoi on parle de « Gascogne bosselée »… C’est vrai que les routes plates sont bien rares dans ce coin. Dédé nous quitte à Beaumarchès pour faire voir sa monture chez Jean-Jacques, ses deux compères rentrent sagement à Plaisance: c’est bien agréable 5 km de plat, surtout bien abrité dans la roue de Serge. 72 km et mal aux jambes.
Juillet
Dimanche 30: Christophe a remplacé Serge mais c’est à nouveau un trio qui participe à la sortie du club. 2 ou 3 sur 21, ce n’est quand même pas beaucoup…
Le parcours nous permet de retrouver des routes pas fréquentées depuis un moment. Après Herès et Vidouze, direction Lembeye par Vauzé en suivant les recommandations du duo des Rouges. La montée est effectivement tranquille, pas trop pentue et l’ombre agréable. Après une pause fraîcheur il est temps de repartir avant d’affronter la « redoutable côte de Lasserre » (dixit notre regretté Jean-Luc) et je ne la trouve pas si redoutable; les km accumulés depuis cette époque ont au moins eu cet effet bénéfique. Après avoir raccompagné Christophe à Castelnau, retour sur Plaisance avec seulement 66 km au compteur mais un joli dénivelé.
Samedi 29 : Le duo des Rouges ( eh oui, nos deux comparses roulent encore) a profité d’un « trou » dans son emploi du temps familial bien chargé pour se rendre à Maubourguet afin d’y voir l’exposition photographique en extérieur . Ils ont bien apprécié les magnifiques photos des divers artistes. Ils ont remarqué que deux étaient Plaisantins étaient parmi les exposants : Patrick Fitan ( Tripak) et Jean Jacques Abadie. Ils sont rentrés enchantés et peu fatigués par ce bref périple.
Jeudi 27: Dédé et Serge, voilà une compagnie bien en jambes… Les 3 retraités s’engagent après Marciac sur la route un peu bosselée de Ricourt jusqu’à Malabat. Après un intermède plat aux alentours de Villecomtal, Serge nous propose un raccourci un peu avant Haget pour changer de vallée. Le chemin est interdit sauf aux riverains mais il paraît qu’on peut passer et qu’il y a un beau point de vue au sommet…. Le point de vue, on l’a point vu, mais la côte, on l’a sentue ! Du 12 % pas très longtemps, mais du 12 % quand même. Heureusement, la fin du parcours par Ségalas, Nouilhan et Maubourguet a été sans surprise du chef et c’est tant mieux. Encore 75 km par un temps idéal, on va finir par prendre goût au vélo…
Dimanche 23: Serge et Jean-Mi tiennent compagnie à Maryse qui prépare son voyage en autonomie du début de l’automne. Pour la mettre en jambe, on opte pour la distance plus que le dénivelé. Après Maubourguet, Larreule et Nouilhan, le retour se fait par Laffitole, Ansost avant d’escalader la Saubole. Nous rendons une petite visite à nos « amis de Saint-Mont » qui oeuvrent pour Jazz in Marciac: d’abord Jako qui prépare son stand et ensuite Philippe et son épouse qui sont déjà en plein travail sur la place. Après une double causette, il est temps de rentrer par la plaine mais la présence de nombreuses voitures nous fait préférer les petits chemins habituels.
75 km sans problème pour Maryse qui va pouvoir affronter en toute confiance les routes des environs de Villemur-sur-Tarn.
Mercredi 19 juillet: Seuls les 2 compères sont au rendez-vous. Dédé, qui a le choix du terrain de jeu, choisit d’aller sur ses routes préférées et bien sûr ce n’est pas tout plat. Après Termes, c’est Aignan, le Parré, Lupiac, Peyrusse-Grande et Armous et Cau. Si c’est accidenté, ça a au moins le mérite d’être beau et particulièrement tranquille. 75 km au compteur et une jolie sortie.
Dimanche 16: Petite sortie club aujourd’hui: les deux compères accueillent Rudy, la nouvelle recrue de Christophe. 18 ans, quatre fois moins que nous ! Pour découvrir son niveau et ne pas le dégoûter, nous optons pour une sortie à allure modérée. Estirac, les petits chemins de campagne, Maubourguet, les rives de l’Echez et Hères avant de longer la route de Tarbes à Bordeaux. La remontée à Castelnau se fait par le château Perron et les deux petites bugnes avant d’atteindre le plateau. Notre jeune compagnon a fait 52 km, a bien roulé sur le plat et souffert dans la côte mais il est volontaire et nous le retrouverons avec plaisir en août après ses vacances.
15 juillet : Petite sortie post-défilé pour le duo des Rouges
Deux remarques : La petite route qui va d’Armous-et-Cau au bas de Courties est vraiment agréable malgré un manque de panneaux indicateurs. Nos duettistes ont aperçu un magnifique lièvre, ils m’en avaient jamais vu d’aussi grand. Comme quoi, même à un âge avancé , on peut encore faire des découvertes.

14 juillet: Randonnée d’Eugénie les Bains.
Les deux compères se retrouvent seuls au point de rendez-vous et se dirigent donc vers les Landes dès 7 h. Il y a déjà du monde à Eugénie, mais le temps de sortir les vélos, de s’inscrire et de boire un café, ils sont tous partis. Qu’à cela ne tienne, Dédé et moi nous lançons sur le grand circuit, décidés à le boucler avant les grandes chaleurs. Aucun groupe ne nous rattrape, juste quelques isolés qui nous enrhument au passage et ne nous donnent pas envie de les suivre. Peu après le lac du Lourden, nous rejoignons Nathalie et Jean-Paul de Nogaro et décidons de faire route avec eux. Il n’y a presque pas de vent, la température est de 20° environ, la compagnie est sympathique, tout s’annonce bien. Un peu avant Geaune, nous sommes rattrapés par un groupe de Mimizan et un vélo couché: nous restons avec eux, même si le rythme s’accélère. Nathalie et Jean-Paul décrochent tandis que nous suivons des routes bien connues des habitués de la randonnée du 14 juillet: Miramont, Lauret, Pimbo et le ravitaillement de Samadet. Déjà 50 km parcourus et la température est toujours aussi clémente. Jean-Paul nous accompagne pour la fin du parcours, Aubagnan, Coudures mais en arrivant à Eyres-Moncube nous ne trouvons pas de flèche malgré deux tours de rond-point. Un voleur de flèches aurait-il sévi ? Ou avons-nous collectivement loupé quelque chose ?
Tant pis, on continue vers Monsoué où nous retrouvons des flèches, mais à un carrefour que nous aurions dû aborder en venant du sud et non de l’ouest… Il n’y a pas eu de voleur de flèche, juste trois étourdis, ou un seul et deux qui lui ont fait confiance, mais comme on ne sait pas où l’erreur a été commise, ni qui menait à ce moment-là, personne n’est accusé ! Près de Larrivière, nous voyons à nouveau la direction Eugénie mais il reste ce long faux plat, les kilomètres commencent à se faire sentir et la température se rapproche des 30°. L’allure baisse donc sensiblement et c’est à 11 h 45 que nous arrivons: partie après nous du ravitaillement de Samadet, Nathalie est en train de ranger déjà son vélo. Elle nous chambre et nous dit que nous avons pris les chemins de Saint-Jacques de Compostelle… Notre erreur s’est soldée par 8 km supplémentaires, la prochaine fois nous serons plus attentifs… ou pas;
Jolie randonnée, par des routes connues, mais comme on ne les pratique qu’une fois par an et que le circuit change de sens, c’était très bien
Samedi 8: Sortie club dans les Landes.
Le nombre des participants a fluctué pendant toute la quinzaine, mais finalement nous ne sommes plus que 4 à prendre les voitures pour Aire. Nous constatons les dégâts du dernier orage, en particulier un arbre qui s’est abattu sur les arènes d’Aire. Christel, Maryse, Christophe et Jean-Mi se lancent (c’est un bien grand mot) sur le circuit 24 du Comité de Tourisme des Landes qui annonce 66 km et 550 m de dénivelé. Pas de surprise pour la première partie, avec seulement une hésitation après Latrille et une erreur avant de rejoindre Bahus: 36 km au compteur. Nous arrivons à la ferme auberge 5 mn avant midi et 2 mn avant Muriel et Michel qui n’ont pu participer pour des ennuis de santé (Ah ces sportifs…) mais ont eu la gentillesse de venir partager le repas avec nous. Après un repas très raisonnable mais excellent, (l’adresse est à retenir, Ferme auberge Lacère à Bahus-Soubiran), il est temps de reprendre, le vélo pour les uns et la voiture pour les autres. Mine de rien, nous avons passé près de 2 h 1/2 à papoter de tout et de rien, sans jamais dire de mal de personne, enfin pas beaucoup, et pas de grand monde… et puis d’abord ça ne regarde que nous !
Le retour est un peu plus laborieux en raison d’une température très élevée: jusqu’à 38° au compteur du vélo, les descentes dans les bois sont les bienvenues mais avant il a fallu grimper… Après 24 km nous avons le choix: continuer par la vallée de l’Adour ou suivre les flèches du circuit 24 par Renung et Duhort-Bachen. Il y a deux côtes supplémentaires, j’ai prévenu, mais on prend la 2ème options. Aïe Aïe Aïe, la montée à Renung est brève mais très raide avec un passage à 12%, et ensuite il y en a une deuxième et en sortant de Duhort-Bachen une troisième. L’organisateur a un peu honte… Heureusement la fin du parcours est plate mais il fait toujours aussi chaud. A la fin, après le pot bienvenu à Aire, j’ai remercié nos deux compagnes féminines de ne pas avoir compté les côtes: elles les avaient comptées !!! Superbe sortie, mais les 66 km sont devenus 74 et les 550 m de dénivelé sont passés à près de 800. Moralité: peut-on se fier à un Landais ?

Sorties durant cette période du Duo des Rouges
Sorties calmes et avec des distances modérées inversement proportionnel à leur emploi du temps
Mercredi 5:
Les 3 habitués de la semaine sont au rendez-vous: Serge, Dédé et Jean-Mi. Personne n’a de parcours en tête, on fait quoi ? Après une brève concertation, analyse du ciel et observation de la girouette, c’est parti pour Lembeye. Tiens, Castelnau, ça monte. Tiens, Crouseilles, ça monte encore. Tiens, Lembeye, ça monte toujours et même de plus en plus raide. Et en revenant vers Maubourguet, il y a encore quelques côtes mais comme les deux costauds sont indulgents, le trio reste groupé. On va rentrer par Marciac suggère Serge, mais heureusement, arrivé à Auriébat Dédé se souvient qu’il a promis de rentrer tôt, chouette, une côte en moins. 65 km par un temps idéal, c’est super le vélo.
Dimanche 2 juillet:
Belle surprise au départ: Olivier est de retour ! Chantal a fait un gros pressing la veille à l’apéro, elle n’était pas sûre d’avoir été convaincante mais si.
Avec eux deux, Dédé et Jean-Mi les deux compères et Julien, le gendre de Maryse, qui était disponible et s’est joint à nous pour notre plus grand plaisir. A la demande d’Olivier, les premiers km sont parcourus à 20 km/h mais les conversations vont bon train… Après une heure de route, Olivier doit rentrer, rugby oblige, et brutalement Dédé accélère la cadence. A Rabastens se pose la question: on rentre par Villecomtal ou on pousse jusqu’à Sénac et Saint-Sever ? 4 voix pour Saint-Sever, c’est un plébiscite ! Au pied de Sénac, Chantal nous donne rendez-vous au sommet, mais c’est elle qui prend la tête du groupe. Il va falloir se méfier d’elle…
Jolie descente jusqu’à Saint-Sever, allure soutenue pour le retour malgré un vent défavorable (à l’aller comme au retour, encore un mystère de la météo gersoise, mais le Champenois n’est pas le seul à n’y rien comprendre).
Seul bémol à cette sortie, les derniers km de Ladevèze à Plaisance se font sous une pluie, fine d’abord, puis plus insistante et battante pour finir; C’est l’idéal pour refraîchir des moteurs bien chauds. Un peu plus de 80 km et une bien belle sortie.
JUIN
Mardi 27 : Le duo des Rouges en mode « Michelesque »
Tout d’abord, cette mode est une idée que nous devons à notre Aigle de Sombrun répondant au doux prénom de Michel. Il s’agit d’une sortie dont le départ a lieu vers 10h et le retour vers 15h avec bien sûr un temps de pique-nique inclus. Ce type de sortie nécessite un rythme de non-violent et une possibilité d’adaptation selon la forme et l’humeur du jour.
Cette balade s’est avérée fort agréable . Elle nous a même permis d’apercevoir,en bordure d’une petite route, une perdrix grise et ses 6 ou 7 petits . Il y a longtemps que nous n’avions pas aperçu des petits perdreaux. Autre fait à signaler , le café est savoureux et l’accueil particulièrement agréable à « La Palombe Gourmande » de Lascazères. Ce petit village cache un beau parc derrière l’école.
Sortie de Serge notre vététiste









Mercredi 28: 3 candidats seulement, les effectifs fondent, combien serons-nous en juillet ? Parcours proposé: le circuit moyen du lac de Lizet mais à l’envers, c’est entériné à l’unanimité et nous partons par Marciac et Laveraët. A Saint-Christaud, le guide suprême (alias le Champenois égaré) manque la route de Pouylebon. Il faut dire à ma décharge que le panneau indiquait Monclar et Mirande. Arrivés à Bars, nous regagnons la route de Miélan à Montesquiou, juste quelques km supplémentaires. Et ce n’est pas fini: au lieu de revenir par la route de Bassoues, les deux grimpeurs du trio, Serge et Dédé, choisissent de passer par Castelnau d’Angles (ils trouvent que le village est très beau) et Peyrusse-Grande avant de rejoindre Gazax. Ce n’est qu’à Maurat que mon inquiétude s’estompe, d’autant qu’il est question d’aller boire un coup à Beaumarchès. Quand on me prend par les sentiments… J’avais tablé sur 65 km et 600 m de dénivelé, on en a fait 81 et 799 m, (même pas 800 c’est mesquin). Notre scripteur tient à préciser, lui qui connaît bien ces contrées, qu’il ne comprend pas que l’on puisse s’égarer sur ces grands axes et qu’il est d’accord avec Serge et Dédé, Castelnau d’Angles est un village magnifique où il a chargé pas mal de remorques de foin.
Dimanche 25: Le duo des Rouges a fait sa sortie de Villecomtal
Nos randonneurs de nouveau en mouvement vous recommande ce circuit facile qui vous permettra de passer près du Lac de L’Arré Darré et si vous êtes curieux de découvrir le lac de Bazet avant le pont de l’Adour ou la magnifique aire après le pont. Vous pourrez même pousser jusqu’à la pâtisserie après de Rpt route d’Oursbelille.
Dimanche 25: Le club bouge malgré la boue sur les routes riscloises
Christophe a remplacé Chantal, notre tandem préféré a une sortie marche et Christel a retrouvé Dédé et Jean-Mi. Le vent venant de nulle part, on peut aller n’importe où ! C’est Cahuzac et Balembitz avant de passer à Riscle et Saint-Germé. Les petites routes sont nettement moins boueuses que la semaine dernière, mais en coupant la route de Riscle, changement de décor, de la boue, de la boue et encore de la boue. Nous cessons notre sortie bucolique pour rentrer par la grande route: le vent est toujours inexistant, le revêtement impeccable et la circulation bien rare. Nous nous faisons plaisir et nous payons même le luxe de rouler derrière un tracteur protecteur jusqu’au bas de Termes. La fin du parcours est beaucoup plus raisonnable. 55 km jusqu’aux Arènes où Christophe nous quitte pour céder aux sirènes du vide-grenier. Qu’a-t-il pu y dénicher ?
Mardi 20 : Le duo des Rouges se remet en selle tout à fait tranquillement
Dimanche 18: Il a vraiment beaucoup plu donc nos cyclos vont vérifier l’état du réseau routier
6 courageux pour aller mesurer les dégâts provoqués par les fortes pluies des derniers jours. Nous choisissons la direction de Villecomtal par Armentieux et les petites routes; que de boue ! A chaque entrée de champ, la route est bien recouverte, on va pouvoir nettoyer les vélos en rentrant… A Villecomtal, Dédé aimerait bien qu’on poursuive jusqu’à Saint-Sever et la côte de Sénac mais Muriel qui revient après ses problèmes de genoux préfère revenir par la plaine. Juste le temps de se faire plaisir dans le long faux-plat jusqu’à Rabastens et notre petit groupe se recompose pour un retour tranquille dans la vallée. C’est nettement moins boueux et le retour se fait dans la bonne humeur. Un peu plus de 60 km, c’est notre distance de prédilection en cette fin de printemps.
Mercredi 14:
Fréquentation plus modeste: seulement Dédé, Serge et Jean Michel. Le temps est couvert, le vent vient de l’ouest, départ donc vers Cahuzac en espérant être portés au retour par un vent sympathique. montée à Balembitz, Maumusson puis Viella. A droite ou à gauche ? Après discussion, argumentation et vote (pas à bulletin secret car oublie du matériel), c’est parti pour Crouseilles. Nouvelle interrogation: à gauche ou à droite ? C’est finalement Monpezat et Lascazères. Au moment de monter la moitié de Castelnau, le vélo de notre Président a fait un refus devant l’obstacle et donc sur le plat. En arrivant à Plaisance, le vélo désobéissant n’a rien trouvé à redire, donc notre trio a donc pu boire une bière chez Claire. Rencontre de Gégé qui venait prendre un petit café avant son épreuve de français. Encore une soixantaine de km, ils ont du mal à dépasser cette limite mais il y avait des côtes cette fois
Samedi 10:
Pour le Vivons Vélo de Marciac, l’USP a fait fort ! Au départ de la Maison des Associations, pas moins de 9 participants, des femmes, des hommes, des jeunes (pas trop), des vieux (en nombre) renforcés par le gendre de Maryse et par Sébastien qui a vu du jaune et noir et a décidé de nous accompagner jusqu’à Marciac.
A l’arrivée au point de rendez-vous, encore un jaune et noir, Alain qui est venu en voiture. Par contre nous perdons Sébastien, qui poursuit sa sortie vers Bassoues, et Philippe qui est très en colère contre le reste du groupe et décide de rentrer. Il faut dire que, grisés par la belle route de Marciac et un vent favorable, le rythme s’est accéléré progressivement… et que nous l’avons perdu.
La suite est davantage dans l’esprit Vivons Vélo. Après le café et les viennoiseries offerts gracieusement par nos hôtes, 2 groupes d’une vingtaine se forment et remontent vers Saint-Aunix par Juillac à allure modérée, avant de repartir à Marciac par le même chemin. Nous quittons Alain qui repart en voiture et regagnons Plaisance par la plaine, à allure tranquille cette fois. 62 km au compteur et une belle matinée.
Mercredi 7 juin:
Muriel et Michel, Dédé et Jean-Michel pour un parcours classique, celui de Didier, mais à l’envers pour changer un peu. Hères, Maubourguet, Larreule et Caixon avant de monter la côte de Monségur. Avant d’arriver au sommet, la question se pose: on redescend ou on suit la crête jusqu’à Lahitte. Ils n’ont même pas eu le temps d’y réfléchir bien longtemps, la descente sur Vidouze est fermée à la circulation pour travaux. Ils ont donc « choisi » Lahitte, Vidouze et Lascazères avant de rentrer par la maison des chameaux où il n’y a plus de chameaux, mais une rave party qui se prépare près du pont sur l’Adour. 64 km
Des nouvelles de l’USP:
Pendant l’absence de notre Président qui était parti se frotter aux cols du Pays Basque et surtout à la gastronomie locale. Au moins 2 sorties « week-end » ont eu lieu, ce qui prouve que le club vit, même si le nombre n’est pas toujours au rendez-vous.
Notre Président Jean Michel avoue qu’il n’a pas beaucoup fait de vélo: 53 km le mardi et 59 le jeudi, avec deux petits cols à chaque fois : Ibardin et Lizuniaga d’abord, Saint-Ignace et Pinodieta ensuite. Il confesse ( eh oui, ça peut arriver!) s’être aperçu qu’il m’ennuyait un peu à rouler longtemps seul. Il faut dire que les rares fois où il réussissait à rattraper quelqu’un ou à prendre la roue d’un cyclo-audacieux qui l’avait dépassé, le bougre prenait une autre direction que lui ou faisait demi-tour en haut du col. Vous comprenez bien que , dans ces conditions, ‘il n’est pas facile de faire connaissance…
Le duo des Rouges a lui aussi fait un séjour au Pays Basque après le passage de notre Président. Vous remarquerez que ce duo a le respect des convenances. Nos randonneurs ont rayonné autour de Biarritz ( quatre sorties touristiques de 15 à 50 km). Bien sûr, ils sont restés fidèles à leurs règles diététiques. C’est certain que dans le domaine de la gastronomie , ils n’ont pas rivalisé avec notre Maître à tous.
MAI
Semaine du 15 au 21
Dimanche 21:
Petit groupe pour cette sortie, mais le panel est très varié: 2 filles et 2 gars, deux d’âge moyen (je peux dire ça pour des dames ?), un jeune et un vieux, trois actifs et un retraité, bref l’échantillon parfait de toutes les catégories présentes à l’USP. Le parcours est roulant au début: Cahuzac, les Bartères et Riscle, un peu plus dur ensuite avec la montée sur Saint-Mont, varié sur la route de crête jusqu’à la maison des rapaces, et corsé avec la remontée de Madiran à Castelnau où Kévin me dit une fois de plus qu’il me déteste ! Curieux qu’il dise ça à chaque fois qu’on se retrouve totalement par hasard sur une route qui monte… Sortie de 55 km environ, à la grande déception de Christel qui voulait en faire 60, mais qui n’a pas souhaité remonter à Beaumarchès au prétexte que sa voiture était à Plaisance… Quelle mauvaise foi !
Jeudi 18:
Jour de l’Ascension, est-ce par esprit de contradiction ou par anticléricalisme primaire, en tout cas nous sommes partis à 5 pour un parcours tout plat: outre Christel et Kévin, le revenant Philippe s’est joint à Dédé et Jean-Mi pour une virée dans le Sud. Maubourguet, Laffitole, Nouilhan avant de rentrer par Larreule et Sombrun. Du plat toujours jusqu’à Caussade où le groupe se sépare: deux rentrent directement sur Plaisance (repas de fête, c’est une excuse valable) tandis que les deux autres accompagnent Kévin jusqu’à Castelnau pour être sûrs qu’il n’a pas fait du stop pour escalader cette côte qu’il déteste. Une bonne soixantaine de km pour une sortie agréable, avec un temps idéal pour la pratique du vélo.
Semaine du 8 au 14
Samedi 13 : La randonnée de Maubourguet ayant été annulée en raison d’une météo peu encourageante, notre courageux et imperméable Président ( les vieux os ne rouillent plus!) a choisi d’aller représenter l’U.S.P. chez nos voisins et amis de Saint-Germé. Petite affluence, seulement 18 cyclos presque tous du club organisateur, petite sortie d’une vingtaine de kilomètres mais ambiance sympathique comme d’habitude et le sentiment pour lui d’avoir fait sa B.A. pour Vivons Vélo.
Lundi 8 : Christel, Dédé et John qui n’avaient pas pu rouler la veille accompagnent leur président pour une sortie sans côte, ce qui est bien agréable aussi. L’objectif est d’aller à Rabastens par Liac et d’en revenir par Barbachen et Maubourguet sans jamais se laisser tenter par les les petits chemins qui les invitent régulièrement à monter voir s’il fait plus chaud sur les crêtes que dans la vallée. Nous avons tenu bon ! Au retour, petite visite au stade de Plaisance où le tournoi de rugby a fait le plein, le stade de Ju-Belloc était lui aussi très fréquenté. Il n’y a pas beaucoup de cyclos, mais il y a encore des jeunes sportifs (même si je ne comprends toujours pas l’engouement de certains pour un ballon même pas rond qui rebondit en dépit du bon sens, mais ce n’est que l’avis d’un Champenois…). Votre chroniqueur est obligé d’intervenir au sujet de cette remarque présidentielle pour apporter quelques précisions qui complèteront les connaissances de ce fameux Champenois, un rien ignorant des usages locaux. Premièrement, ce ballon même pas rond est appelé le référent ovoïde bondissant. Il permet aux joueurs de ce sport merveilleux qu’ est le rugby de faire preuve de perspicacité, d’anticipation et d’adresse. Quand à l’engouement que le rugby, appelé fort justement et en toute neutralité le « sport-roi », suscite dans notre région , il est aussi ancestral que mérité. Il date de bien avant que nos contrées gasconnes soient envahies par des mécréants buveurs d’une boisson à bulles . Je pense que ces bulles ont détruit peu à peu la capacité de compréhension d’une bonne partie de la population Champenoise. Voilà, tout ces compléments d’information ne visent , bien sûr , personne en particulier mais sont faites dans l’intérêt général et ont simplement une visée éducative.
La première semaine de mai a souvent vu du jaune et noir sur les routes !
Lundi 8, Christel, Dédé et John qui n’avaient pas pu rouler la veille accompagnent leur président pour une sortie sans côte, ce qui est bien agréable aussi. L’objectif est d’aller à Rabastens par Liac et d’en revenir par Barbachen et Maubourguet sans jamais se laisser tenter par les les petits chemins qui les invitent régulièrement à monter voir s’il fait plus chaud sur les crêtes que dans la vallée. Nous avons tenu bon ! Au retour, petite visite au stade de Plaisance où le tournoi de rugby a fait le plein, le stade de Ju-Belloc était lui aussi très fréquenté. Il n’y a pas beaucoup de cyclos, mais il y a encore des jeunes sportifs (même si je ne comprends toujours pas l’engouement de certains pour un ballon même pas rond qui rebondit en dépit du bon sens, mais ce n’est que l’avis d’un Champenois…). Votre chroniqueur est obligé d’intervenir au sujet de cette remarque présidentielle pour apporter quelques précisions qui complèteront les connaissances de ce fameux Champenois, un rien ignorant des usages locaux. Premièrement, ce ballon même pas rond est appelé le référent ovoïde bondissant. Il permet aux joueurs de ce sport merveilleux qu’ est le rugby de faire preuve de perspicacité, d’anticipation et d’adresse. Quand à l’engouement que le rugby, appelé fort justement et en toute neutralité le « sport-roi », suscite dans notre région , il est aussi ancestral que mérité. Il date de bien avant que nos contrées gasconnes soient envahies par des mécréants buveurs d’une boisson à bulles . Je pense que ces bulles ont détruit peu à peu la capacité de compréhension d’une bonne partie de la population Champenoise. Voilà, tout ces compléments d’information ne visent , bien sûr , personne en particulier mais sont faites dans l’intérêt général et ont simplement une visée éducative.
Dimanche 7, Mai à Vélo. Le soleil n’est pas trop au rendez-vous, mais les membres du club oui ! 12 sur 22 sont venus aider à la mise en place et à l’accueil, 8 sont restés pour participer à la promenade, UN GRAND MERCI A TOUS. En sachant que 2 étaient hors du département et que 4 travaillaient, c’est super. La participation a été moins satisfaisante pour le reste: aucun « civil » n’a été tenté malgré la campagne d’information, et seuls 2 Risclois et 4 cyclos de Maubourguet ont fait le déplacement. Tous ont semblé apprécier la café et les madeleines d’avant départ, le circuit champêtre proposé et l’allure tranquille. L’ambiance devait plaire car la pause rafraîchissement s’est prolongée un bon moment. Rendez-vous pour un moment semblable le 8 juillet pour Vivons Vélo.



Mercredi 3, on ne prend pas les mêmes mais on recommence. Serge et un de ses amis ont remplacé Chantal et Christian. Le vent soufflant de l’est, on prend cette direction en commençant par le domaine de la Rose et son petit raidillon. A Bassoues, on emprunte un chemin délaissé depuis bien longtemps: à droite avant le stade pour gagner Saint Christaud et une longue descente qui nous mène sur la route de Tillac à Marciac. Le retour est plus classique par Juillac et Ladevèze. 65 km à bonne allure et un agréable vent dans le dos au retour.
Lundi 1er, Chantal, les 2 frères des coteaux et leur complice ont reconnu le petit circuit probable de la prochaine Randonnée des Vendanges: Cahuzac, Maumusson et Saint-Mont (mais le ravitaillement n’était pas encore en place) avant de rejoindre Saint-Germé, Sarragachies et Termes. Pour la fin du parcours le groupe a pris des libertés avec le tracé prévu en restant sur la route de crête jusqu’à Courderot. 54 km dans la bonne humeur.
AVRIL
Samedi 29:
Une fois de plus, le mauvais temps menaçait et après un temps d’hésitation, entre la perspective de se faire mouiller et de « manger du vent » et la tentation de voir nos Bleues battre les Anglaises et nos Toulousains en découdre avec les monstres du Leinster, le choix a été vite fait. Malheureusement, nos favoris ont perdu et on n’a pas fait de vélo ! Espérons que dimanche 7 mai pour MAI A VELO nous aurons plus de chance avec la météo et un peloton un peu plus fourni, mais c’est une autre histoire…
Dimanche 23 :
Pour la 2ème fois depuis le début de l’année, notre peloton atteint le chiffre record de 6 participants. Comme c’est le jour de la reprise pour certains, le parcours sera très raisonnable: Plaisance – Villecomtal par une vallée, le faux plat montant jusqu’à Rabastens et retour par Barbachen et Labatut. C’est bien aussi quand il n’y a pas trop de côtes…
On regrette d’avoir manqué les randonnées de Saint-Germé et de Trie sur Baïse à cause des intempéries, mais on se promet d’être au rendez-vous de Rabastens le samedi 29.
22 avril : Nouvelle sortie de reprise pour nos compagnons des Rouges
Ils se sont contentés d’une sortie pique-nique au lac de Marciac. Tout s’est déroulé dans le calme et la sérénité. Leur rythme de croisière leur a permis de profiter de la beauté de la campagne de la Rivière-Basse au printemps. Ils ont même aperçu les premiers tournesols . Bien sûr , il ne s’agissait que de petits plants et ils n’avaient pas encore revêtu leur jaune éclatant.
21 avril : Ouf! Notre club n’a pas disparu. Son grandissime Président vient de m’envoyer des nouvelles. Lui n’a pas été dérangé par le bruit des casseroles! Je m’empresse donc de vous communiquer son petit mot.
Le groupe est rarement très étoffé mais les sorties reprennent. 3 participants le samedi 5 pour une virée jusqu’à Aire, 2 le samedi 8 pour rendre hommage à Jean-Luc sur le circuit de la cyclosportive, 4 le samedi 15 pour un classique Cannet, Riscle, Saint-Germé et retour, 3 le mercredi 19 pour une excursion par Vidouze Bentayou, la côte de Viellepinte et retour par la crête et Sombrun.
Deux bonnes nouvelles pour le club. Parmi les participants à ces dernières sorties, deux « nouveaux », John Hook et Chantal Pascal qui ont exprimé le souhait d’adhérer à l’USP. J’espère que pour notre Mai à Vélo le 7 mai vous serez nombreux à venir leur souhaiter la bienvenue.
Par contre la randonnée de Trie et le point café de Jegun pour le week-end à venir s’annoncent mal, Dame Météo n’est pas de notre côté…
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18 avril: Eh oui, chers lecteurs, vous étiez inquiets. Aucun article ni du club ni du duo des Rouges! Pour le club, votre chroniqueur est sans nouvelles, il va se renseigner. Les deux membres du duo des Rouges ont été atteints , à leur tour, par les « virus » et allergies tournant autour de leur famille. Mais, aujourd’hui, ils ont profité d’une légère amélioration et d’un beau temps ensoleillé pour remettre le nez dehors. Prudents, ils ont fait un petit tour dans la campagne environnante. Ils ont roulé dans un grand calme, les agriculteurs n’étaient pas dans les champs. Ils ont aperçu les premiers foins coupés et même quelques « bottes enrubannées », le colza sent de plus en plus fort et le blé est d’un vert resplendissant. Leur seule rencontre notable a été une poule faisane qui a détalé à leur approche. Le coq du duo a été un peu vexé mais sûrement qu’elle ne l’avait pas bien regardé.
8 avril : Sortie en solitaire du Sage des Rouges
Notre randonneur des Rouges a abandonné , pour une fois, sa randonneuse et a pris son vélo de « course » qui dormait depuis longtemps au fond du garage. Il a effectué un parcours dans les collines environnantes et est passé par Aignan en pleine fêtes pascales. Son trajet s’est bien déroulé, il a aperçu un agriculteur déjà en train de semer le maïs et a constaté que le blé commençait à changer de couleur. Il a été un peu déçu de ne pas voir les buffles dans la descente de Laveraët. Sans doute ont-ils eu peur de lui en particulier de son gabarit ou plutôt de son casque? Au final, un beau parcours mais il s’est un peu ennuyé sans son binôme préféré. Une remarque : quand ça monte, ça monte même si le « course » est plus léger que la randonneuse.
MARS
Des nouvelles des sorties de l’USP en mars: Notre Président nous communique ce « triste » bilan mais nous ferons mieux en avril peut-être.
Après une sortie prometteuse le samedi 4, le peloton a retrouvé ses tristes couleurs hivernales: 4 sorties de 2, 3, 4 puis 2 participants. Et encore, heureusement que les deux septuagénaires ont trouvé un compagnon britannique de leur âge pour gonfler les effectifs et que Dédé a réussi à recruter un jeune pour le mercredi 22. Résultat: des sorties de 45 à 62 km.
Le point café du samedi 25 s’est soldé par un fiasco monumental: un couple de Maubourguet et 3 conducteurs de vieilles voitures en goguette. Les 6 litres de café ont servi à arroser les rosiers, il paraît qu’ils aiment… Je les observe depuis et ils ne flétrissent pas trop pour l’instant.
La sortie de Saint-Germé qui attirait 5 personnes au moins n’a pas eu lieu en raison d’une météo hostile. Si même les éléments se mettent contre nous, qu’allons -nous devenir.
Heureusement, on change de mois. Quoique… En avril ne te découvre pas d’un fil ! C’est pas gagné.
23 mars : Sortie locale des mêmes
Aujourd’hui, le duo des Rouges a décidé de faire un parcours avec un peu plus de dénivelé tout en restant bien entendu dans le domaine du raisonnable. A Pouydraguin, ils ont pris la route du Mimort qu’ils n’avaient plus empruntée depuis bien longtemps. Plus loin, près de Sorbets, ils ont aperçu avec joie l’âne habituel, il avait l’air en pleine forme. A Urgosse, ils ont fait leur arrêt casse-croûte sur un banc sur la place. Ce lieu est fort agréable , toujours bien entretenu et d’une propreté remarquable. Ensuite, ils ont filé vers Riscle puis ont pris la plaine vers leur demeure. Ils sont rentrés enchantés de ce parcours au cours duquel ils ont constaté que la campagne commençait à prendre ses couleurs printanières : le jaune du colza qui fleurit, le vert du blé qui se réveille, le marron des labours et des champs préparés…
21 mars : Sortie locale des 2 baladeurs
Nos pédaleurs des Rouges ont roulé tranquillement. Ils ont bien profité des magnifiques points de vue qu’offre la crête du haut de Cannet vers Madiran. Bien sûr , ils ont dû se hisser au sommet de la côte de Cannet mais nos compères n’ont pas bousculé leur randonneuse et sont montés tout en souplesse. Ensuite, ils ont retrouvé la plaine où ils ont improvisé la suite de leur trajet. Ils sont rentrés chez eux satisfaits de cette sortie agréable.
Dimanche 12 mars : Sortie jusqu’à Estang
Ils en parlaient, ils l’ont fait. Nos randonneurs des Rouges sont allés en balade jusqu’à Estang. Ils sont partis, pas trop de bonne heure certes mais c’était dimanche. Leur parcours avait été étudié , cette fois, avec soin pour éviter toute erreur d’orientation. La matinée a été un peu humide mais sans plus. A l’aller, leur route passait près de Riscle par Lanne – Soubiran puis Magnan et Laujuzan. C’est dans ce charmant village que nos pédaleurs ont fait leur arrêt casse-croûte. Ensuite, ils se sont dirigés vers Estang en passant près du terrain de La Plaine au bas de Panjas. Notre vieux rugbyman en a profité pour saluer un bénévole qui était déjà en train de s’affairer à la préparation du stade pour le match du PAC de l’après-midi. Le bénévole devient une denrée si rare que tous méritent des félicitations. Arrivés à Estang, nos promeneurs ont posé leur randonneuse pour pique-niquer près du lavoir , des arènes et du stade de football. Ce village est en effet un fief de la pratique de ce sport étrange où l’on s’évertue à pousser une sorte de citrouille avec les pieds. Il est aussi un des rares où l’on lave le linge à la main ( voir photo). En ce dimanche, il était fort animé : concours de pétanque, exposition de voitures anciennes. Vers 13 h, nos cyclotouristes sont repartis vers Nogaro en passant par Salles d’Armagnac après avoir longé le quartier de Garras cher à leur ami Laurent et avoir longé le célèbre Domaine de Joy. Dans la capitale gersoise de l’automobile , ils ont sacrifié à la pause café habituelle. Après cette pause, ils sont repartis vers Urgosse, Termes d’Armagnac puis les Rouges.
Au total, une sortie aussi tranquille qu’ agréable qui s’est finie sous un soleil timide.


Jeudi 9 : Les grands-parents des Rouges sont libres.
Le duo des Rouges a saisi une fenêtre météorologique et logistique de libre. Ils sont partis en boucles autour de leur demeure estimant que le vent capricieux et l’orage menaçant pouvaient nécessiter un repli rapide vers le bercail. Ceci explique ce tracé bizarre!
Mercredi 8 : Ouf!!!! Le fameux duo est de retour sur nos belles routes.
Le duo des septuagénaires est reconstitué, mais la forme n’est pas encore optimale. Après quelques minutes d’hésitation provoquées par un vent insistant et des gouttes malvenues, on décide de faire le parcours de la cyclosportive Jean-Luc, en nous donnant la possibilité de rentrer en cas de pluie trop forte.
De pluie, il n’en a plus été question pendant le trajet, mais le vent est resté bien présent: 3/4 face, pleine face, en travers, on a pu apprécier toutes les variantes de Plaisance jusqu’au bas de Tieste en passant par Marciac, Juillac et Ladevèze. Par contre, nous avons retrouvé nos jambes de 60 ans jusqu’à Préchac et même celles de 50 jusqu’à Plaisance. Au total 43 km qui nous ont permis de constater que l’ascension du premier col de la saison n’est pas encore à l’ordre du jour, mais ça viendra peut-être, ou pas…
Samedi 4:
L’USP est sortie de son sommeil hivernal, et ce 15 jours avant le printemps !
6 présents au rendez-vous: Christel et Maryse, Christophe, Olivier, Dédé et Jean-Mi. Il est vrai que le programme n’était pas inquiétant: peu de vent, peu de km et pas de côte. On s’est donc contenté d’aller jusqu’à Maubourguet en passant par Hères et de revenir par Labatut, 43 km, terrain plat mais l’organisateur s’est encore planté dans ses prévisions météo, le vent était présent au retour, et pas vraiment favorable…
Bonne reprise donc, surtout en sachant que Colette et Claude des Rouges ont roulé aussi ce samedi et que la veille Serge avait avalé 88 km. Vous trouverez le parcours des baladeurs des Rouges ci-dessous. La moitié des membres de l’USP a montré nos couleurs, bravo et rendez-vous encore plus nombreux la prochaine fois.
Avec ce parcours , vous découvrirez la côte du Chemin de Caridan qui vous permettra d’apercevoir une partie du golf de Palanne. Attention, à la sortie de ce chemin, on peut se perdre « un peu ».
FEVRIER
Ce début de mois a été un peu froid. Nos licenciés ont dû rester au chaud. En effet, je n’ai reçu ni CR ni message. Je suis étonné que notre Champenois se soit laissé intimider par cette légère baisse de température.
Mardi 28 : Sortie cyclo – culturelle
Notre duo des Rouges est allé faire un petit tour à Barcelonne du Gers pour rendre une visite à une exposition de peinture qui avait lieu à la médiathèque de ce charmant village. Ils ont pu y voir les œuvres d’une artiste peintre professionnelle autodidacte, Cécile Gervais, de nom d’artiste Mgervais. Ils sont revenus enchantés par cette visite et leur itinéraire vélo des plus classiques s’est déroulé sans encombres.
Samedi 25 : Point-café à NOUILHAN
Les pédaleurs des Rouges ont répondu à l’invitation du club voisin de Nouilhan à prendre un bon café. Vers 10 h, ils sont partis pour une balade pique-nique jusqu’à Lafitole. Bien sûr, ils avaient savamment étudié leur parcours afin de pouvoir pique-niquer non loin du point – café. Un peu avant 12h, ils sont donc arrivés à Lafitole en évitant bien sûr la fameuse côte de l’église de ce patelin. Là, faute de lac, ils se sont contentés des berges d’un célèbre fleuve local. Ils n’ont pas hésité à s’installer au soleil à une table de pique-nique , le confort avant tout !
Ils ont dégusté de délicieux sandwichs qu’avait « cuisiné » monsieur. Le repas achevé, notre randonneur après quelques hésitations a finalement renoncé à son idée de prendre un bain dans les eaux limpides. Vers 12h 45, ils sont repartis vers Nouilhan où ils ont été très aimablement par des licenciés du club local. Ils ont eu le plaisir de déguster un excellent café bien chaud et quelques gâteaux tout en bavardant avec les organisateurs bénévoles. Bien réchauffés, ils ont ensuite pris le chemin du retour. Encouragés par quelques rayons de soleil, ils ont pris le plaisir de faire quelques détours. Monsieur a été récompensé par une belle crevaison à 4 km du but. Toujours aussi calme, il a pris cet incident avec le sourire bien sûr. Il a donc ENTREPRIS la réparation pendant que sa compagne et coéquipière rentrait se réchauffer aux Rouges. Ce changement « éclair » de chambre à air ne l’a pas retardé bien longtemps et il est ensuite reparti lui aussi vers son manoir des Rouges.
Jeudi 2 : Petit tour pour les courageux des Rouges
JANVIER
Mardi 31 : Dernière sortie pour le duo des Rouges , pour ce mois-ci bien sûr.
Cette fois, nous sommes allés jusqu’au lac de Marciac voir si la péniche avait enfin pris son « envol ». Non, elle est toujours en place!
Mystère éclaircie
Heureusement que notre Président si savant et authentique puits de sciences est là pour résoudre les énigmes les plus complexes… La plante qui nous a posé des questions s’appelle MISCANTHUS, que l’on appelle parfois « herbe à éléphant’, et elle a des tas de propriétés intéressantes (voir sur Internet). Par contre, Jean Michel me pris de vous préciser que même en regardant attentivement, il n’a pas vu les éléphants qui vont avec…
Il me signale aussi qu’il a retrouvé 3 piquets de notre rando des vendanges 2022 . Il pense qu’ ils s’étaient cachés pour éviter qu’on les ramasse et avaient repoussé après notre passage, les coquins.
Attention, ouvrez bien les yeux , il se pourrait que la repousse soit abondante.
Samedi 28 : Sortie un peu fraîche
Aujourd’hui , les randonneuses n’auront pas la parole car elles ont été un peu trop coquines lors du dernier CR . C’est donc le randonneur des Rouges qui va rédiger cet article.
Après une étude précise de la météo et du tracé préparé par mes soins, je pars avec ma partenaire préférée pour environ 60 km avec possibilité de raccourcir le parcours si le froid est trop vif pour nos vieux os. Nous partons avec l’idée de bien vérifier les raisons de notre erreur d’orientation lors d’une sortie précédente vers St Mont et de voir ce que sont devenus les plantations de « roseaux » proches du bois de Riscle. Je dis « roseaux »car nous n’avons pas réussi à identifier cette plante à houppe cultivée dans ces champs. Bien sûr , les curieux qui ouvriront le parcours indiqué par le lien ci-dessous trouveront bizarre que nous soyons partis vers le sud alors que St Mont se trouve plutôt au Nord des Rouges. Je les rassure tout de suite. L’étrangeté de ce début d’itinéraire s’explique par le fait qu’il est nécessaire pour nos muscles d’être échauffés avant de monter la 1ère côte en l’occurrence celle de Castelnau Rivière Basse.
Je tiens à préciser que nous avons trouvé la raison notre précédente erreur d’orientation. Pour être juste , il faut signaler que j’ai commis tout de même deux petites erreurs de direction , l’une à Hères et l’autre dans Riscle. En ce qui concerne les fameux « roseaux », ils sont toujours là mais leur mystère demeure.
Finalement une sortie bien agréable au gentil dénivelé . Quelques degrés de température de plus auraient été les bienvenus.
Mardi 24 : Sont-ils devenus fous?
Ici, les randonneuses des Rouges qui vous parlent. Figurez – vous que ce matin, avec ce temps presque glacial, vers 11h45, notre patron nous a sorties du garage. Mais quelle idée de nous mettre dehors par cette température ! Lui, il est parti à l’abri bien au chaud. Vers 13h, nos pilotes sont arrivés, nous ont enfourchées et c’est parti. Ils auraient pu attendre le dernier moment pour nous exposer à ce froid! Sûrement que Monsieur désirait que nous soyons à température ambiante. Il nous prend pour ses bouteilles de Plaimont!
Bon, nous avons froid mais il faut reconnaître qu’ils démarrent à un train raisonnable, le temps que nous nous réchauffions un peu sans doute. A partir de Beaumarchés, eux, ils se réchauffent bien en empruntant une route de crêtes jusqu’à Tourdun mais nous, nous avons toujours aussi froid malgré un faible rayon de soleil. Après nous sommes obligées de convenir que cette route offre un splendide panorama et est un régal pour les amateurs d’espace. En bas de Tourdun, après une descente vertigineuse, nous voilà bien frigorifiées! Nos guides, ça va! Il faut dire qu’ils ont empilé les couches de vêtements bien chauds. La preuve, ils osent même faire une pause goûter. Non mais il n’y a pas idée! Heureusement l’arrêt est court. Peut-être sont-ils pressés de rentrer? Vers 16h 30 , nous arrivons aux Rouges. Heureusement, notre guide a « l’infime » gentillesse de nous mettre à l’abri dans notre garage. Apparemment, nos propriétaires sont contents de leur sortie et eux n’ont pas eu très froid mais un peu quand même. Peut-être ne sont-ils pas si fous que cela s’ils ont pris du plaisir?
Vendredi 20 : Sortie nature pour notre duo des Rouges
Ne résistant pas à l’appel du soleil certes un peu timide et frileux, nos deux pédaleurs sortent leur randonneuse engourdie par le froid . L’objectif de la balade est d’aller voir une plantation d’arbres fruitiers en bas de Troncens car lors de leur dernier passage, nos campagnards n’avaient pas réussi à identifier la variété des arbres de ce verger. Arrivés sur place, ils ont constaté que les arbustes étaient toujours petits et rien ne leur a permis de trouver la réponse. Peut-être devront – ils approfondir leurs connaissances en botanique ? Ou bien revenir pendant une saison plus favorable à l’identification des fruitiers ?
Bon, ils sont donc repartis par la rude côte de Troncens. Chemin faisant, ils cherchaient la tournée à droite vers St Justin. Après de multiples hésitations , ils ont fini par emprunté une route de crête mais , bien sûr, pas la bonne. Celle-ci les a conduit vers Cazaux Villecomtal puis Semboues. Un chemin bien de chez nous avec une vue magnifique !
Bien entendu, ils finirent par arriver au bas de St Justin mais pas par le côté prévu. Là , ils ont pris le temps de se restaurer puis ont « filé » vers leur quartier résidentiel.
Samedi 14: Sortie Point Café à Laloubère
Alléché par l’odeur du café et encouragé par un temps clément pour la saison, notre duo des Rouges est parti de Lafitole . Ce départ délocalisé s’explique par la nécessité pour nos pédaleurs de rentrer assez tôt pour assister à l’AG de leur club à 18h. Il faut dire que nos deux acolytes font partie des plus anciens licenciés, attention je n’ai pas écrit des plus âgés, ils laissent ce privilège à d’autres. L’aller s’est fait par la D8. A 12h, comme planifié, notre duo est arrivé à la boulangerie de Soues où nos randonneurs ont leurs habitudes. Là , achat de 2 sandwichs ( un pour chacun) puis installation près du lac pour la dégustation. Le repas s’est passé très agréablement dans un cadre idyllique et un calme absolu. Peu après 13 h, nos aventuriers ont repris leur monture et sont partis vers Laloubère. Ils étaient les premiers, ça mérite d’être signalé, l’ accueil du club local a été très chaleureux , cela ne les a pas surpris. Le café bien chaud était digne des plus grands « crus » colombiens et les petits gâteaux succulents.
Après quelques échanges avec les locaux , nos flâneurs sont répartis. Ils sont revenus par Tarbes, Oursbelille, Vic Bigorre et ont fini par être de retour à Lafitole à l’heure prévue. Une fois leur randonneuse chargée dans leur fidèle Berlingo, ils ont repris la route des Rouges. A 18h, ils étaient présents à l’AG prêts à écouter religieusement les paroles de leur Président préféré.
Sorties début janvier du duo des Rouges
Dès leur retour de leur séjour à Rodez , ville qu’ils vous recommandent, nos deux baladeurs ont sauté sur leur randonneuse. Profitant d’une météo favorable, ils ont pédalé les 7,10 et 12 janvier. Lors de leur dernière balade, ils ont allié sport et culture. En effet lors de leur sortie, ils ont fait une halte à la cave de St Mont. Ne souriez pas, ils n’ont pas savouré les vins si chers à ¨Pépé Jean Luc! Mais ils ont dégusté l’exposition de la peintre Charlotte de Maupeou à la Galerie Bleue hébergée à la cave.